ALGER- Une convention-cadre a été signée, samedi à Alger, entre l'Ecole nationale supérieure des sciences islamiques (Dar El-Coran -Djamaâ El-Djazaïr) et Al-Salam Bank Algeria, visant le renforcement de la coopération scientifique et l'échange des expertises au profit des étudiants de l'Ecole à travers la formation pratique dans le domaine de la finance islamique. La convention a été signée sous la supervision du recteur de Djamaâ El-Djazaïr, par le directeur de l'Ecole nationale supérieure des sciences islamiques, Abdelkader Benazouz et le directeur général d'Al-Salam Bank Algeria, Nasser Hideur. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le recteur de Djamaâ El-Djazaïr, Mohamed Maâmoun Al Kacimi Al Hoceini, a déclaré que Dar El-Coran et Al-Salam Bank auront, dans le cadre de cette convention, des domaines de coopération notamment à travers la spécialité de la finance islamique et l'industrie financière islamique, qui a été instituée dans l'Ecole, soulignant que la spécialité assurance Takaful sera ajoutée à l'avenir en vue de la promouvoir et de diversifier ses branches. Pour sa part, le directeur de l'Ecole nationale supérieure des sciences islamiques, Abdelkader Benazouz, a salué cette initiative qui permettra aux deux institutions d'échanger leurs expertises, à travers la formation pratique au profit des étudiants de l'Ecole au niveau d'Al-Salam Bank. Le directeur général d'Al-Salam Bank Algeria, Nasser Hideur, a affirmé que cette convention était à même de promouvoir la coopération entre les deux institutions à de hauts niveaux à travers l'échange scientifique, de permettre aux experts de la banque à travers l'Ecole d'approfondir leurs connaissances en matière des transactions et de l'industrie financière islamique et d'assurer une formation pratique au profit des étudiants de l'Ecole. Cette convention prévoit également l'organisation de rencontres visant principalement à développer et à promouvoir la finance islamique en Algérie, a-t-il ajouté.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (KHALEF Fatiha)
ALGER- Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed, a présidé, samedi à l'Institut national de recherche en éducation (INRE), la cérémonie de clôture du concours national de promotion de l'innovation dans les établissements d'enseignement, organisé en coordination avec le ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises. Cette cérémonie s'inscrit dans le cadre des efforts du ministère visant à consacrer la culture entrepreneuriale et l'innovation dans le secteur, encourager son développement dans divers domaines éducatifs, ancrer la culture entrepreneuriale dans le milieu scolaire et dans l'esprit des élèves, leur inculquer les rudiments de la pensée économique et élargir leurs connaissances. A cette occasion, le ministre a inauguré le premier incubateur d'affaires dans le secteur de l'éducation nationale, "INCUBEDUC_INRE", au siège de l'INRE, où il a souligné que ce concours est "le premier du genre dans le secteur de l'Education nationale en Algérie dédié aux start-up". Ce concours vise à encourager l'innovation dans divers domaines éducatifs, tels que la pédagogie innovante, la création de contenus éducatifs innovants et de moyens pédagogiques utilisant les technologies numériques et la gestion du système éducatif, et ce "conformément aux orientations des hautes autorités du pays pour créer des entreprises privées capables d'apporter un plus à l'économie nationale". A ce titre, le ministre a rappelé que le président de la République avait exprimé, à maintes occasions, sa "forte volonté politique de développer les domaines de l'innovation et de relancer les start-up, qui constituent un défi majeur dans la matrice des priorités nationales visant à renforcer la cadence du développement économique". Il a également salué "les projets innovants présentés au concours par les starts-up, pour relever le "défi numérique-pédagogique", faisant état de "la sélection de 12 projets sur un total de 77 projets innovants proposés dans le domaine de l'éducation, ayant été évalués par une commission de l'Institut national de recherche en éducation (INRE), avec la participation de différentes catégories (élèves, étudiants, enseignants-chercheurs et chercheurs permanents)". Par ailleurs, un accord a été signé à cette occasion, entre l'INRE et l'Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques (ANPT) relevant du ministère de la Poste et des Télécommunications. Au terme de la cérémonie, des lauréats du concours ont été distingués, dont la plus jeune participante, une collégienne, pour un projet d'une plateforme numérique de prestations de l'enseignement privé dans les différentes spécialités, ainsi que des membres de la commission de l'INRE, qui a supervisé l'opération de sélection des meilleurs projets innovants.
ALGER - Le ministère de la Poste et des Télécommunications a lancé, samedi à Alger, une campagne de sensibilisation nationale aux risques de l'utilisation des réseaux sociaux, et ce avec la participation de plusieurs secteurs ministériels et organismes nationaux. Le coup d'envoi de cette campagne, qui s'étalera jusqu'au 10 mai, a été donné par le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki et le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, à la Faculté des sciences de l'information et de la communication de l'Université d'Alger 3 "Ibrahim Sultan Cheibout". A cette occasion, le ministre de la Poste et des Télécommunications a fait savoir que cette campagne tend à "prodiguer aux utilisateurs des réseaux sociaux des recommandations de prévention à même de réduire les risques encourus dans ces espaces virtuels, notamment en ce qui concerne l'escroquerie et la fraude", ainsi que "leurs effets négatifs" sur l'individu et la cohésion du tissu familial et social. "Un riche programme" a été tracé à travers les wilayas du pays, comprenant "des activités de proximité au niveau des universités, des écoles et des instituts supérieurs, des établissements éducatifs, des centres de formation professionnelle, des centres culturels islamiques, des écoles coraniques, des maisons de jeunes et des centres culturels, outre des caravanes qui sillonneront plusieurs villes et villages", a-t-il précisé. A cet égard, le responsable a indiqué que des espaces et des stands seront dédiés, au niveau des lieux publics, afin de sensibiliser les citoyens aux "dangers du mésusage des réseaux sociaux" et de les informer sur les moyens et les recommandations de prévention, en sus de l'importance d'impliquer les médias et les mosquées dans cette campagne de sensibilisation. Par ailleurs, M. Bibi Triki a souligné que l'Algérie avait réalisé, au cours des quatre dernières années, une "avancée remarquable" dans la concrétisation du programme tracé, dans le cadre de la mise en œuvre des engagements du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour la consolidation de l'infrastructure des télécommunications et la généralisation de l'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC), et à Internet en particulier. Pour sa part, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a insisté sur l'importance de "la conjugaison des efforts de tout un chacun pour sensibiliser les différentes franges de la société, en particulier les jeunes, à une bonne utilisation des réseaux sociaux et aux effets négatifs du mésusage de ces supports". Cette campagne a été lancée lors d'une journée d'information, en présence de responsables d'institutions et d'établissements publics, marquée par des interventions sur la mise en exergue des différents aspects inhérents à ce sujet, notamment le cadre juridique de la cybercriminalité et le rôle des services de sécurité dans la lutte et le traitement de ces crimes.
ALGER - Le Directeur de l'enseignement primaire au ministère de l'Education nationale, Mohamed Daifallah a affirmé, samedi, que toutes les mesures avaient été prises pour assurer le bon déroulement des examens de fin d'année scolaire. "Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie sectorielle de transition numérique, il a été renoncé pour la première fois au dépôt du dossier papier en se contentant des inscriptions numériques aux épreuves scolaires nationales (session juin 2024) qui se dérouleront du 3 au 5 juin pour le Brevet d'enseignement moyen (BEM) et du 9 au 13 du même mois pour le Baccalauréat", a précisé M. Daifallah dans une déclaration à l'APS. Le même responsable a indiqué que les inscriptions "Zero papier", ont eu lieu "très tôt" cette année, soulignant que les parents de candidats "ont payé les droits d'inscription par voie électronique via la carte Edahabia d'Algérie Poste, à partir du 21 novembre 2023, avant de confirmer ces inscriptions en deuxième phase (21 décembre)". Il s'agit, actuellement, de la troisième phase, a-t-il ajouté, rappelant que le ministère de l'Education nationale "a rouvert les deux sites d'inscription pour retirer les convocations à l'épreuve d'éducation physique et sportive pour les candidats libres à partir du 16 avril, sachant que l'opération se poursuivra jusqu'au 7 mai prochain". Quant à l'opération de retrait des convocations pour les épreuves écrites des candidats scolarisés et libres, le même responsable a indiqué qu'"elle interviendra durant la première semaine du mois de mai", ajoutant que "le début de retrait des convocations pour passer les épreuves du BEM est prévu le 5 mai, tandis que le retrait des convocations pour le BAC/session 2024 se fera a partir du 9 mai." M. Daifallah a affirmé, concernant les procédures matérielles et techniques de ces deux examens, que l'Office nationale des examens et concours (ONEC) avait "arrêté les centres d'examen et s'est assuré de leur disponibilité ainsi que les conditions règlementaires et matérielles y afférentes, en effectuant des visites de terrain au niveau de tous les centres à travers le territoire national". Il a souligné, dans le même contexte, que la dernière étape consistera en l'organisation, dans les prochains jours, d'ateliers de formations au profit des encadrants des centres d'examens et de correction, dans le respect des spécificités de chaque région, notamment s'agissant de la climatisation". Il a, par ailleurs, évoqué "les modifications introduites à l'examen d'évaluation des acquis des élèves du cycle primaire, au volet organisationnel et pédagogique, conformément à la circulaire N 355 relative à l'organisation de cet examen durant l'année scolaire 2023/2024". M. Daifallah a précisé, dans ce cadre, que les modifications introduites consistent en "la réduction des jours de l'examen à 3 jours", à savoir les 12, 13 et 14 mai".
ALGER - Un accord de coopération a été signé, samedi au siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, entre l'Algérie et la Zambie, portant sur l'échange d'expertises et le développement du partenariat entre les deux pays dans ce secteur. A cette occasion, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a précisé que cet accord visait à concrétiser un partenariat effectif à travers l'élaboration d'offres de formations universitaires entre l'Algérie et la Zambie et l'échange d'expertises, d'étudiants et d'encadreurs. Il a rappelé, à cet égard, que pas mois de 67 étudiants zambiens suivaient leurs études supérieures dans des universités algériennes, dont 44 inscrits au titre de l'année en cours. A travers cet accord, les deux pays entendent parvenir à un jumelage entre leurs universités par le biais de "l'élaboration de programmes de formation communs" et de "la délivrance de diplômes algéro-zambiens", a expliqué M. Baddari. L'accord prévoit également le transfert de l'expérience algérienne dans le domaine de la recherche scientifique reposant sur "l'innovation et la contribution au développement économique national et à la création de richesse", a-t-il ajouté, mettant en avant le rôle de l'Algérie dans l'accompagnement, notamment des pays africains, pour la réalisation de la prospérité. Pour sa part, le ministre zambien de l'Education, Douglas Munsaka Syakalima, a salué les efforts de l'Algérie pour le développement de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, relevant que l'accord "permettra à son pays de tirer parti de l'expérience algérienne concluante dans ce domaine". M. Syakalima a en outre souhaité voir le partenariat entre la Zambie et l'Algérie s'étendre à d'autres domaines à l'avenir.
ALGER- Le Haut-Commissariat à la Numérisation et Huawei Consortium ont signé, samedi à Alger, un accord portant réalisation du Centre national algérien des prestations numériques (Data Center). Dans une déclaration à la presse, Mme Meriem Benmouloud , Haut Commissaire à la numérisation, qui a présidé la cérémonie de signature en présence de l'ambassadeur de la Chine en Algérie, M. Li Jian et du PDG de la société Huwaei Télécommunications-Algérie, a indiqué que la signature de cet accord permettra "d'avancer à pas fermes vers la concrétisation des orientations judicieuses du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à parvenir à la gouvernance numérique, avec la modernisation des institutions de l'Etat et l'amélioration de ses prestations". Pour la responsable, la réalisation de ce projet "permettra d'héberger et de centraliser les données nationales à l'intérieur du pays, à même de contribuer au renforcement de la souveraineté numérique du pays" et à la consolidation de la coopération entre les deux pays, liés par un partenariat stratégique global". Mme Benmouloud a affirmé, dans ce cadre, que le transfert d'expertises dans ce domaine de projets à haute technologie nécessiterait l'implication des acteurs dans la numérisation et des partenaires économiques algériens. Ce projet permettra, a-t-elle ajouté, d'obtenir une infrastructure de technologies de pointe en vue d'assurer l'accès, de manière numérique unifiée et unique, aux prestations publiques et d'héberger les solutions et les données, créer une base de données et introduire l'exploitation des technologies avancées comme l'intelligence artificielle (IA) et les Big Data. De son côté, l'ambassadeur chinois a affirmé que Huawei Consortium œuvrera, à travers ce projet, au transfert des nouvelles technologies en matière de numérisation, afin que des compétences algériennes puissent en bénéficier.
ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a fait état, samedi à Alger, de la création de centres de référence pour la protection "Mère-enfant" dans toutes les wilayas du pays pour servir de point de départ à différentes activités liées à la mère et à l'enfant. Lors d'une Journée d'études organisée par le ministère de la Santé à l'occasion de la célébration de la Journée nationale de la protection de la Mère et de l'Enfant, sous le slogan "Protection de la Mère et de l'Enfant, un engagement renouvelé", M. Saihi a affirmé que l'approche stratégique relative à la protection de cette catégorie constitue une priorité de la santé publique et fait partie intégrante de la deuxième édition du programme national de prise en charge du malade, soulignant que le succès de cette stratégie est tributaire de "la création de centres de référence pour la protection Mère-Enfant dans chaque wilaya". Ces centres, précise-t-il, seront "un point de départ pour différentes activités liées à la Mère et à l'Enfant afin de promouvoir la coordination entre l'action locale et nationale pour la mise en œuvre du programme national", ajoutant que l'approche nationale adoptée à cet effet repose sur "l'aspect préventif", au vu de l'importance de cette frange de la société. Le ministre a, également, indiqué que "la numérisation de toutes les opérations liées à cette catégorie sera achevée d'ici le début de l'année prochaine", citant à ce propos "la numérisation de toutes les opérations de vaccination et le dépassement du stade du carnet de santé". La célébration de cette Journée nationale s'inscrit dans le cadre des "efforts visant à conférer le caractère institutionnel à cette journée instituée en vertu de l'arrêté ministériel du 7 avril courant". A cette occasion, la représentante du Bureau de l' UNICEF en Algérie, Katarina Johansson a mis en avant les efforts de l'Algérie en matière de protection de la Mère et de l'Enfant, estimant l'institution d'une journée à cet effet "réaffirme l'engagement de l'Algérie à garantir le droit de l'enfant à la prise en charge sanitaire conformément aux conventions internationales en vigueur". Mme Johansson a affiché "la disponibilité de son organisme à accompagne les efforts nationaux". De son côté, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, Nouhou Amadou a "salué" les efforts de l'Algérie dans ce domaine qui est au cœur des priorités du système de santé en Algérie qui connait des avancées sur tous les plans. Plusieurs interventions ont été données à cette occasion sur l'état et les perspectives de la protection de la santé de la Mère et de l'Enfant, les meilleures pratiques en la matière, la numérisation de la vaccination et le planning familial.
ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a fait état, samedi à Alger, de la création de centres de référence pour la protection "Mère-enfant" dans toutes les wilayas du pays pour servir de point de départ à différentes activités liées à la mère et à l'enfant. Lors d'une Journée d'études organisée par le ministère de la Santé à l'occasion de la célébration de la Journée nationale de la protection de la Mère et de l'Enfant, sous le slogan "Protection de la Mère et de l'Enfant, un engagement renouvelé", M. Saihi a affirmé que l'approche stratégique relative à la protection de cette catégorie constitue une priorité de la santé publique et fait partie intégrante de la deuxième édition du programme national de prise en charge du malade, soulignant que le succès de cette stratégie est tributaire de "la création de centres de référence pour la protection Mère-Enfant dans chaque wilaya". Ces centres, précise-t-il, seront "un point de départ pour différentes activités liées à la Mère et à l'Enfant afin de promouvoir la coordination entre l'action locale et nationale pour la mise en œuvre du programme national", ajoutant que l'approche nationale adoptée à cet effet repose sur "l'aspect préventif", au vu de l'importance de cette frange de la société. Le ministre a, également, indiqué que "la numérisation de toutes les opérations liées à cette catégorie sera achevée d'ici le début de l'année prochaine", citant à ce propos "la numérisation de toutes les opérations de vaccination et le dépassement du stade du carnet de santé". La célébration de cette Journée nationale s'inscrit dans le cadre des "efforts visant à conférer le caractère institutionnel à cette journée instituée en vertu de l'arrêté ministériel du 7 avril courant". A cette occasion, la représentante du Bureau de l' UNICEF en Algérie, Katarina Johansson a mis en avant les efforts de l'Algérie en matière de protection de la Mère et de l'Enfant, estimant l'institution d'une journée à cet effet "réaffirme l'engagement de l'Algérie à garantir le droit de l'enfant à la prise en charge sanitaire conformément aux conventions internationales en vigueur". Mme Johansson a affiché "la disponibilité de son organisme à accompagne les efforts nationaux". De son côté, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, Nouhou Amadou a "salué" les efforts de l'Algérie dans ce domaine qui est au cœur des priorités du système de santé en Algérie qui connait des avancées sur tous les plans. Plusieurs interventions ont été données à cette occasion sur l'état et les perspectives de la protection de la santé de la Mère et de l'Enfant, les meilleures pratiques en la matière, la numérisation de la vaccination et le planning familial.
ALGER- Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a présidé, jeudi à Alger, une rencontre consacrée à l'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive. Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux de cette rencontre, tenue au siège du ministère de la Santé, M. Saihi a souligné "l'intérêt que porte le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la promotion de la santé et à la prise en charge des malades", en voulant pour preuves "l'affectation d'un budget conséquent au secteur et l'ouverture de plus de 600 structures de santé depuis 2021", ce qui a permis, a-t-il dit, d'"améliorer les prestations sanitaires". Et de souligner la nécessité de "consentir davantage d'efforts pour répondre aux aspirations des citoyens dans les différentes régions du pays". Pour ce faire, M. Saihi a souligné l'importance de "la création de pôles et de services de santé pour améliorer la prise en charge des malades, notamment dans les wilayas du sud du pays". Après avoir rappelé les principaux facteurs de risque des cardiopathie en Algérie, dont la mauvaise alimentation et la sédentarité, le ministre a insisté sur la nécessité d'appuyer le rapport d'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive par des données et des chiffres précis permettant une évaluation minutieuse du niveau de réalisation des objectifs de ce plan, lancé il y a trois ans. M. Saihi a en outre réaffirmé l'importance du "renforcement de la formation continue du personnel du secteur, notamment les médecins généralistes, pour assurer une prise en charge optimale des malades, y compris ceux atteints de cardiopathies". Le ministre de la Santé a, par ailleurs, procédé à l'inauguration de deux unités de pédopsychiatrie au niveau de l'Etablissement hospitalier spécialisé en santé mentale Mahfoud-Boucebci de Chéraga, assurant, à cette occasion, que l'Etat "ne ménage aucun effort en matière de prise en charge des malades et suit les progrès scientifiques enregistrés dans les différentes spécialités médicales, comme la santé mentale des adolescents et des enfants souffrant de certains problèmes de santé dus aux nouveaux comportements induits par l'utilisation à mauvais escient des technologies de l'information et de la communication". Il a, dans ce contexte, fait état de "l'existence d'une coordination gouvernementale pour la prise en charge rapide des enfants scolarisés et la formation des médecins dans de nouvelles spécialités scientifiques adaptées aux exigences de la pédopsychiatrie".
ALGER- Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a présidé, jeudi à Alger, une rencontre consacrée à l'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive. Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux de cette rencontre, tenue au siège du ministère de la Santé, M. Saihi a souligné "l'intérêt que porte le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la promotion de la santé et à la prise en charge des malades", en voulant pour preuves "l'affectation d'un budget conséquent au secteur et l'ouverture de plus de 600 structures de santé depuis 2021", ce qui a permis, a-t-il dit, d'"améliorer les prestations sanitaires". Et de souligner la nécessité de "consentir davantage d'efforts pour répondre aux aspirations des citoyens dans les différentes régions du pays". Pour ce faire, M. Saihi a souligné l'importance de "la création de pôles et de services de santé pour améliorer la prise en charge des malades, notamment dans les wilayas du sud du pays". Après avoir rappelé les principaux facteurs de risque des cardiopathie en Algérie, dont la mauvaise alimentation et la sédentarité, le ministre a insisté sur la nécessité d'appuyer le rapport d'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive par des données et des chiffres précis permettant une évaluation minutieuse du niveau de réalisation des objectifs de ce plan, lancé il y a trois ans. M. Saihi a en outre réaffirmé l'importance du "renforcement de la formation continue du personnel du secteur, notamment les médecins généralistes, pour assurer une prise en charge optimale des malades, y compris ceux atteints de cardiopathies". Le ministre de la Santé a, par ailleurs, procédé à l'inauguration de deux unités de pédopsychiatrie au niveau de l'Etablissement hospitalier spécialisé en santé mentale Mahfoud-Boucebci de Chéraga, assurant, à cette occasion, que l'Etat "ne ménage aucun effort en matière de prise en charge des malades et suit les progrès scientifiques enregistrés dans les différentes spécialités médicales, comme la santé mentale des adolescents et des enfants souffrant de certains problèmes de santé dus aux nouveaux comportements induits par l'utilisation à mauvais escient des technologies de l'information et de la communication". Il a, dans ce contexte, fait état de "l'existence d'une coordination gouvernementale pour la prise en charge rapide des enfants scolarisés et la formation des médecins dans de nouvelles spécialités scientifiques adaptées aux exigences de la pédopsychiatrie".