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Saihi: Tamanrasset, futur pôle de santé par excellence

ALGER - La wilaya de Tamanrasset est en passe de devenir "un pôle de santé par excellence" grâce au renforcement de ses structures sanitaires par plusieurs spécialités et la prise en charge totale de ses habitants, qui n'auront plus à se déplacer dans d'autres wilayas, a affirmé, samedi depuis Tamanrasset, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi. Lors d'une visite de travail et d'inspection dans cette wilaya du grand Sud, accompagné du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari , M. Saihi a précisé que Tamanrasset sera bientôt dotée de plusieurs structures de santé, dont certaines sont déjà en cours d'équipement, tandis que d'autres seront prochainement lancées, ce qui permettra à la wilaya, a-t-il dit, de devenir "un pôle de santé par excellence". Dans une déclaration à la presse en marge de cette visite, le ministre de la Santé a indiqué qu'au cours des quatre (4) dernières années, l'Etat avait consenti de grands efforts dans tous les secteurs, citant à titre d'exemple, après avoir inspecté l'hôpital de 240 lits en cours d'équipement, l'Institut de formation en paramédical, d'une capacité de 300 places pédagogiques, qui sera prochainement équipé, et la réalisation et l'équipement d'un établissement hospitalier spécialisé, d'une capacité de 60 lits, d'un centre de référence dans la vaccination et d'un centre d'oncologie. Il a aussi évoqué l'éventuelle ouverture d'une formation en médecine dans cette wilaya, ainsi que dans d'autres spécialités dont le secteur de la santé a besoin, en collaboration avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le ministre a, par ailleurs, fait état de la relance de tous les projets en suspens, dont la réalisation d'un centre d'hémodialyse et d'une polyclinique à Tazrouk, l'acquisition d'équipements d'imagerie médicale pour l'établissement public hospitalier du chef-lieu de wilaya, l'acquisition de 14 ambulances médicalisées pour l'établissement public de santé de proximité et l'acquisition du reste des lots d'équipements pour l'établissement spécialisé en psychiatrie et pour les blocs opératoires de l'établissement hospitalier public et de l'établissement hospitalier spécialisé mère et enfant. Pour sa part, lors de l'inspection des projets de réalisation de 2.000 places pédagogiques et d'une résidence universitaire de 1.000 lits, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a affirmé que ces installations, qui renforceront l'infrastructure de l'Université de Tamanrasset, contribueront à promouvoir l'enseignement et permettront aux étudiants de s'orienter vers l'innovation, conformément au Plan d'action du Gouvernement, et de transformer leurs idées en projets et produits commercialisables. Ces efforts profiteront in fine aux citoyens aux niveaux local et national, a estimé M. Baddari, soulignant le souci de son département ministériel de développer ce type de projets pour apporter une valeur ajoutée au pays.
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Enseignement supérieur/Pêche: signature d’un accord-cadre de coopération

ALGER - Un accord-cadre de coopération a été signé jeudi à Alger entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, en vue de renforcer la formation dans le secteur de la pêche. L'accord-cadre a été signé par le Secrétaire général (SG) du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhakim Bentellis, et le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, Mohamed Bengrina, en présence des cadres des deux secteurs. A cette occasion, un accord a également été signé entre l'Université de la formation continue (UFC) et la Direction de la formation, de la recherche et de la vulgarisation (DFRV) au ministère de la Pêche et des Productions halieutiques. Dans une allocution à cette occasion, M. Bentellis a indiqué que "le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a adopté une approche fondée sur le rapprochement du milieu socio-économique, dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique reposant sur la formation qualitative et la recherche scientifique appliquée". Dans ce sens, il a souligné que le secteur avait adopté une politique ayant permis à l'université de s'ouvrir à tous les secteurs et de créer l'université-pôle qui assure des spécialités pointues. Concernant la pêche, le SG du ministère de l'Enseignement supérieur a mis en avant la nécessité d'établir des partenariats avec ce secteur en raison de son importance pour la sécurité alimentaire. Pour sa part, M. Bengrina a relevé que le partenariat entre les deux secteurs étaient à même de créer un environnement économique avantageux basé su la formation, la recherche scientifique et l'innovation pour réaliser le décollage économique. Le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques a affirmé, dans ce cadre, la hausse du nombre d'étudiants relevant des différents établissements de son secteur ayant suivi des formations, faisant état d'une augmentation de 19% lors de l'année 2023/2024. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de signature, le recteur de l'Université de la formation continue (UFC), Yahia Djaafri a fait savoir que cette "étape vient encadrer et promouvoir les ressources humaines du secteur tout en répondant à ses besoins en termes de formation". M. Djaafri a révélé la création de quatre (4) spécialités proposées parmi les offres de l'UFC liées au secteur de la Pêche, à savoir l'aquaculture dans les eaux douces, les sciences de la navigation et de la pêche, aquaculture marine, et l'électromécanique maritime, ajoutant que l'UFC prendra en charge l'aspect théorique alors que le secteur de la Pêche s'occupera du volet pratique via des stages pour le transfert du savoir-faire. Les deux accords portent également sur la prise en charge de la formation en matière de promotion et de qualification pour répondre aux besoins du secteur. Par ailleurs, l'inspecteur général du ministère de la Pêche, Farid Harouadi a précisé que l'extension du secteur nécessitait de nouvelles offres de formation au niveau de l'université notamment en aquaculture afin de booster la production et la rentabilité.
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Enseignement supérieur/Pêche: signature d’un accord-cadre de coopération

ALGER - Un accord-cadre de coopération a été signé jeudi à Alger entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, en vue de renforcer la formation dans le secteur de la pêche. L'accord-cadre a été signé par le Secrétaire général (SG) du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhakim Bentellis, et le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, Mohamed Bengrina, en présence des cadres des deux secteurs. A cette occasion, un accord a également été signé entre l'Université de la formation continue (UFC) et la Direction de la formation, de la recherche et de la vulgarisation (DFRV) au ministère de la Pêche et des Productions halieutiques. Dans une allocution à cette occasion, M. Bentellis a indiqué que "le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a adopté une approche fondée sur le rapprochement du milieu socio-économique, dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique reposant sur la formation qualitative et la recherche scientifique appliquée". Dans ce sens, il a souligné que le secteur avait adopté une politique ayant permis à l'université de s'ouvrir à tous les secteurs et de créer l'université-pôle qui assure des spécialités pointues. Concernant la pêche, le SG du ministère de l'Enseignement supérieur a mis en avant la nécessité d'établir des partenariats avec ce secteur en raison de son importance pour la sécurité alimentaire. Pour sa part, M. Bengrina a relevé que le partenariat entre les deux secteurs étaient à même de créer un environnement économique avantageux basé su la formation, la recherche scientifique et l'innovation pour réaliser le décollage économique. Le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques a affirmé, dans ce cadre, la hausse du nombre d'étudiants relevant des différents établissements de son secteur ayant suivi des formations, faisant état d'une augmentation de 19% lors de l'année 2023/2024. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de signature, le recteur de l'Université de la formation continue (UFC), Yahia Djaafri a fait savoir que cette "étape vient encadrer et promouvoir les ressources humaines du secteur tout en répondant à ses besoins en termes de formation". M. Djaafri a révélé la création de quatre (4) spécialités proposées parmi les offres de l'UFC liées au secteur de la Pêche, à savoir l'aquaculture dans les eaux douces, les sciences de la navigation et de la pêche, aquaculture marine, et l'électromécanique maritime, ajoutant que l'UFC prendra en charge l'aspect théorique alors que le secteur de la Pêche s'occupera du volet pratique via des stages pour le transfert du savoir-faire. Les deux accords portent également sur la prise en charge de la formation en matière de promotion et de qualification pour répondre aux besoins du secteur. Par ailleurs, l'inspecteur général du ministère de la Pêche, Farid Harouadi a précisé que l'extension du secteur nécessitait de nouvelles offres de formation au niveau de l'université notamment en aquaculture afin de booster la production et la rentabilité.
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Enseignement supérieur/Pêche: signature d’un accord-cadre de coopération

ALGER - Un accord-cadre de coopération a été signé jeudi à Alger entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, en vue de renforcer la formation dans le secteur de la pêche. L'accord-cadre a été signé par le Secrétaire général (SG) du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhakim Bentellis, et le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, Mohamed Bengrina, en présence des cadres des deux secteurs. A cette occasion, un accord a également été signé entre l'Université de la formation continue (UFC) et la Direction de la formation, de la recherche et de la vulgarisation (DFRV) au ministère de la Pêche et des Productions halieutiques. Dans une allocution à cette occasion, M. Bentellis a indiqué que "le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a adopté une approche fondée sur le rapprochement du milieu socio-économique, dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique reposant sur la formation qualitative et la recherche scientifique appliquée". Dans ce sens, il a souligné que le secteur avait adopté une politique ayant permis à l'université de s'ouvrir à tous les secteurs et de créer l'université-pôle qui assure des spécialités pointues. Concernant la pêche, le SG du ministère de l'Enseignement supérieur a mis en avant la nécessité d'établir des partenariats avec ce secteur en raison de son importance pour la sécurité alimentaire. Pour sa part, M. Bengrina a relevé que le partenariat entre les deux secteurs étaient à même de créer un environnement économique avantageux basé su la formation, la recherche scientifique et l'innovation pour réaliser le décollage économique. Le SG du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques a affirmé, dans ce cadre, la hausse du nombre d'étudiants relevant des différents établissements de son secteur ayant suivi des formations, faisant état d'une augmentation de 19% lors de l'année 2023/2024. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de signature, le recteur de l'Université de la formation continue (UFC), Yahia Djaafri a fait savoir que cette "étape vient encadrer et promouvoir les ressources humaines du secteur tout en répondant à ses besoins en termes de formation". M. Djaafri a révélé la création de quatre (4) spécialités proposées parmi les offres de l'UFC liées au secteur de la Pêche, à savoir l'aquaculture dans les eaux douces, les sciences de la navigation et de la pêche, aquaculture marine, et l'électromécanique maritime, ajoutant que l'UFC prendra en charge l'aspect théorique alors que le secteur de la Pêche s'occupera du volet pratique via des stages pour le transfert du savoir-faire. Les deux accords portent également sur la prise en charge de la formation en matière de promotion et de qualification pour répondre aux besoins du secteur. Par ailleurs, l'inspecteur général du ministère de la Pêche, Farid Harouadi a précisé que l'extension du secteur nécessitait de nouvelles offres de formation au niveau de l'université notamment en aquaculture afin de booster la production et la rentabilité.
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Appel à des stratégies d’urgence pour préserver la sécurité environnementale

ALGER - Les experts et universitaires participant à la conférence nationale sur le thème "Enjeux et défis environnementaux de l'Algérie : une approche globale, des espaces sahariens au littoral", organisé mercredi à Alger, ont mis l'accent sur l'urgence d'accorder une attention particulière aux questions liées à la sécurité environnementale, à travers des stratégies multidisciplinaires. Lors de cette conférence initiée par l'Institut national d'études de stratégie globale (INESG) en collaboration avec l'Ecole nationale supérieure des sciences de la mer et de l'aménagement du littoral (ENSSMAL), à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement, qui coïncide avec le 5 juin de chaque année, les participants ont été unanimes à souligner l'impératif d'élaborer une nouvelle vision permettant de faire face aux défis environnementaux majeurs, notamment les changements climatiques induisant des catastrophes naturelles, tels que les incendies, les inondations, la sécheresse et l'avancée du désert. A ce propos, le secrétaire général du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhakim Bentellis, a mis en avant l'importance de ce thème en relevant que "l'Algérie est un pays continent et vulnérable au phénomène du réchauffement, avec une variété de climats qui nécessitent la mise en place de stratégies et de programmes pour préserver l'environnement". Tout en rappelant l'importance accordée à la préservation de l'environnement en Algérie, il a appelé les chercheurs universitaires à se rapprocher du tissu socio-économique pour contribuer au "développement d'une Algérie durable et résiliente". Pour sa part, la directrice de l'ENSSMAL, Lynda Boutekrabt, a insisté sur l'insertion de l'éducation environnementale et du développement durable (EEDD) dans les programmes d'enseignement et dans le secteur de la formation professionnelle, ainsi que l'ensemble des acteurs publics, privés et mouvements associatifs. Selon l'intervenante, un projet national collectif fédérateur porteur d'exemplarité s'impose. De son côté, le directeur du laboratoire de recherche au sein de l'ENSSMAL, Samir Grimes, a mis l'accent, dans sa communication, sur la gestion environnementale des grands projets économiques, affirmant que les études d'impact environnemental exigées pour la réalisation de ces projets devraient être accompagnées de programmes complémentaires de suivi et d'évaluation dans la phase d'exploitation. Outre cet aspect, M. Grimes a soulevé la question de la gestion des centres d'enfouissement technique des déchets (CET), qui devaient être, selon lui, soutenus par des projets d'unités de tri, de recyclage et de valorisation. Lors de cette conférence, il a été question de se focaliser sur les projets inscrits dans le cadre de développement de l'axe In Salah - Tamanrasset, présenté par le président du Conseil scientifique de l'INESG, Djoudi Bouras, dans lequel il a évoqué les divers enjeux dans ce territoire qui regorge de ressources et de richesses. Il s'agit, selon lui, des projets énergétiques avec les connexions de gazoducs et des lignes électriques, la route transsaharienne, le transfert d'eau, le projet du chemin de fer, ainsi les activités aurifères et agricoles. Ces projets impliquent, selon M. Bouras, de concevoir une "nouvelle stratégie multipolaire de développement de cet axe pour impulser une dynamique transfrontalière" appelée à être un centre "focal majeur" et une "porte ouverte" sur la zone de libre-échange économique africaine (ZLECAF). Cette conférence, qui vu la participation des représentants d'institutions nationales, de la société civile, de la sphère économique et des experts universitaires, a été organisée en quatre principaux panels, consacrés aux thèmes de "questions de l'eau, l'agriculture", "économie circulaire, consommation responsable et gestion des déchets", "risques majeurs, adaptation et résilience du territoire", ainsi qu'un panel consacré à la question de "l'habitat durable et transition énergétique et conscience environnementale". Ces panels ont permis d'engager des débats riches et des échanges d'idées, ainsi que la présentation d'expériences sur les questions inhérentes à la préservation de l'environnement en l'Algérie, notamment l'équation de préservation des ressources hydriques et le développement des filières agricoles dans le Sud du pays, les enjeux de développer l'économie circulaire, la consommation des énergies, ainsi que la prise en charge des risques majeurs. Aussi, les problématiques de l'habitat durable et de la transition énergétique ont fait l'objet de discussions et de présentations des projets lancés par divers organismes publics et privés en vue d'amorcer un changement dans la consommation énergétique de manière à réduire le gaspillage et d'encourager des énergies nouvelles et alternatives aux hydrocarbures. Les intervenants ont insisté, à cette occasion, sur l'élaboration de procédures et de textes réglementaires visant à instaurer la culture de rationalisation des ressources naturelles, ainsi que leur préservation. Les recommandations émises lors de cette conférence feront l'objet d'une feuille de route qui sera transmise prochainement aux autorités publiques, a assuré, par ailleurs, la directrice de l'ENSSMAL faisant état de lancement prochain d'un projet de pôle d'excellence au sein de l'Ecole dédié à la formation continue des hauts cadres de l'Etat sur les questions de l'environnement.
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CN: présentation de la stratégie de la formation professionnelle devant la commission ad-hoc

ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi a présenté mardi, devant les membres de la Commission de l'éducation, de la formation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, la stratégie et les perspectives, ainsi que les mesures de numérisation du secteur. Lors de cette rencontre présidée par le président de la commission, Laid Madoui, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Besma Azouar et le vice-président du Conseil de la nation, Ahmed Kherchi, le ministre a fait état de "la mise en place d'une stratégie à même d'adapter l'axe directeur du domaine de la formation professionnelle aux exigences du développement à travers l'élaboration de programmes, l'actualisation des outils de formation et l'encadrement des formateurs tout en adoptant des mesures en faveur de la numérisation et de la modernisation du secteur". Un plan de formation a été mis en place au niveau local "en tenant compte des spécificités géographiques et du tissu économique de chaque région", a fait savoir le ministre ajoutant qu'il s'agit, en outre, d'œuvrer à "l'amélioration, à l'adaptation et à la mise à jour des programmes de formation". Il a également évoqué les mesures et moyens mis en place par le secteur au profit des demandeurs de formation, rappelant qu'au cours de l'année de formation écoulée, "environ 300.000 places pédagogiques ont été ouvertes, dont 482 au profit des personnes aux besoins spécifiques au niveau national, réparties selon la nature, les modes et les dispositifs de formation". Il a souligné que dans le cadre de la stratégie de numérisation, le secteur avait adopté des mesures visant "à moderniser la gestion pédagogique et administrative et les activités des établissements de formation", citant le lancement de plusieurs plateformes numériques, dont "Mihnati" destinée aux demandeurs de la formation et "Dalil" contenant des informations sur les établissements de formation, les spécialités, filières et programmes de formation. Evoquant les perspectives futures du secteur, le ministre a cité en particulier "le projet de jumelage entre les établissements de formation visant à favoriser l'échange entre formateurs et stagiaires et à relancer l'action participative", "le renforcement du partenariat entre le secteur et les opérateurs économiques, à la faveur d'études conjointes pour définir les programmes et méthodes", outre "le développement de la formation à distance, du mode d'apprentissage et la modernisation de ses mécanismes". A l'ouverture de la séance, le président de la commission a souligné l'importance de ce thème comptant "parmi les priorités tracées dans le programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune qui a fait de la formation professionnelle un moyen de promotion des opportunités d'emploi de jeunes, dynamiser l'économie et la production nationale".
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Constantine: ouverture de la 2e édition du salon ConstanTIC

CONSTANTINE - La 2ème édition du Salon du digital, de la numérisation et des technologies de l'information et de la communication, ConstanTIC, s'est ouverte mardi à Constantine avec la participation de plus de 20 exposants spécialisés dans les équipements de l'information, de la communication et du digital. Placée sous le parrainage du ministère de l'Economie de la Connaissance, des Start-up et des Micro- entreprises et du ministère de la Poste et des Télécommunications, la manifestation a été ouverte par le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda accompagné des autorités locales. M. Sayouda a visité les différents stands du Salon qui présente les technologies de contrôle à distance des structures via l'internet et des applications numériques, les équipements pour les transactions électroniques, les produits nouveaux de gestion des entreprises et de numérisation de leurs services ainsi que d'accompagnement des malades et de suivi de leurs parcours thérapeutiques. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie d'ouverture, Mohamed Seifeddine Salhi, directeur général de l'entreprise "MediaSmart", initiatrice du Salon, a indiqué que cette édition réunit "des pionniers mondiaux des technologies numériques destinées, notamment aux entreprises administratives soucieuses d'opérer la transition numérique, de développer leurs prestations publiques et de numériser leurs services conformément aux orientations des autorités supérieures du pays". L'objectif du Salon consiste également à présenter les technologies numériques modernes et faciliter leur acquisition par les professionnels du secteur et même les particuliers et à offrir aux start-up un espace pour dévoiler leurs innovations et conclure des partenariats avec les différentes entreprises économiques et industrielles, a-t-il ajouté. Le programme du Salon comporte des conférences et workshops interactifs animés par les experts internationaux autour de divers thèmes dont l'e-commerce, la sécurité digitale et l'intelligence artificielle (IA) offrant ainsi aux participants une expérience didactique pratique pour développer leurs connaissances et échanger leurs expériences avec des experts industriels. La manifestation qui se poursuivra jusqu'à jeudi prochain offrira aussi, a-t-il ajouté, "un espace de rencontre" ouvert aux entreprises et demandeurs d'emploi et un autre destiné aux organismes publics partenaires du développement du secteur, aux agences spécialisées, aux prestataires de services, aux experts et aux consultants outre un espace visant à permettre aux entreprises d'intégrer un réseau de coopération et de nouer des relations et des partenariats stratégiques.
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Projet de loi sur la numérisation, un jalon important dans le processus de transformation numérique

ALGER - La Haut-commissaire à la numérisation, au rang de ministre, Mme Meriem Benmouloud, a affirmé, mardi à Alger, que le projet de loi sur la numérisation était un jalon important dans le processus de transformation numérique dans notre pays, au regard de ce qu'il apportera notamment en matière d'encadrement de l'ensemble du secteur de la numérisation. A l'ouverture des travaux d'un séminaire sur l'élaboration du projet de loi sur la numérisation, en présence du ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, du Conseiller auprès du président de la République, chargé de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle et de la culture, Mohamed Seghir Saâdaoui et de représentants de nombre d'instances officielles, la ministre a affirmé que "le projet de loi sur la numérisation permet d'asseoir un système juridique unifié en vue d'organiser et d'encadrer le secteur de la numérisation". La ministre a, par là même, souligné que le système juridique renfermait un large arsenal juridique qui ne répond pas à l'ensemble des besoins du secteur, ce qui va être rattrapé à travers le projet de loi sur la numérisation, évoquant la possibilité de sa promulgation avant la fin de l'année en cours. La responsable a, dans ce cadre, expliqué que "l'élaboration de la stratégie nationale de la transformation numérique a été parachevée et adoptée dans un premier temps, en attendant son approbation prochainement au niveau du Conseil des ministres". Par ailleurs, la ministre a évoqué le centre national des services numériques, en cours de réalisation, comme étant "un projet d'envergure" au vu des projets qu'il prévoit, à l'instar de la création d'un portail national des services numérique à accès unique et la réalisation d'un échange numérique intersectoriel entre 16 secteurs, qui repose sur un échange instantané, automatique et sécurisé des informations. Au cours des ateliers de cette rencontre, les représentants des différents secteurs s'emploient à enrichir les thèmes de la rencontre et à en revêtir l'aspect juridique afin de finaliser le projet de loi sur la numérisation. Pour sa part, le directeur de la coopération, des affaires juridiques et des archives au Haut-commissariat à la numérisation, Abderezak Ghelis, a évoqué le processus suivi par le Haut-commissariat pour la concrétisation de la transition numérique à travers le lancement du projet du Centre national algérien des services numériques en partenariat avec le groupe chinois "Huawei", l'élaboration de la stratégie nationale de transition numérique et la préparation du projet de loi sur la numérisation. Ce projet vise à soutenir les efforts de l'Etat pour mettre en place une stratégie nationale de transition numérique, et à réaliser une approche multidimensionnelle sur la manière de réaliser la souveraineté numérique de l'Etat. Les thèmes initiaux proposés pour le projet de loi sur la numérisation portent sur l'administration numérique, la communication numérique gouvernementale, les services publics numériques, l'économie numérique incluant le e-commerce, la protection des consommateurs, l'innovation, l'entrepreneuriat numérique, l'inclusion financière, la société numérique, les transactions numériques à travers la protection des enfants et des constantes de la société de l'impact des TIC, l'organisation des technologies émergentes telles que l'intelligence artificielle, le contenu numérique et les instances de régulation.
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Belaabed: respecter le temps imparti aux candidats lors des examens officiels

ANNABA - Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed, a insisté, lundi à Annaba, sur la nécessité de respecter le mode de déroulement des examens officiels, et sur le respect du temps imparti aux candidats. Le ministre, qui s’enquérait du déroulement des épreuves du Brevet d’enseignement moyen (BEM, session juin 2024), au collège d’enseignement moyen (CEM) Omar El Mokhtar, en supervisant le début de la seconde épreuve de la matinée du premier jour de l’examen (Physique et technologie), a souligné que le respect du temps imparti pour les examens représente "un droit des élèves et doit, de ce fait, être scrupuleusement respecté" . Il a mis l’accent, à cet égard, sur la "nécessité de décacheter les enveloppes contenant les sujets de l’examen selon le timing du code des examens". M. Belaabed a relevé, dans une déclaration aux médias, que les "préparatifs de cet examen national ont pris en compte tous les aspects garantissant le déroulement normal des épreuves", avant de saluer, dans le même contexte, "les efforts déployés à différents niveaux pour réunir les conditions nécessaires au bon déroulement de l’examen du BEM qui reste", a-t-il ajouté, un" important jalon de la réussite, reflétant la qualité des préparatifs et la contribution positive des différents partenaires, notamment les parents d'élèves, dans l'accompagnement de leurs enfants". S’agissant de l'organisation de l’examen du BEM, le ministre a rappelé que 18 centres de collecte des copies d'examen ont été ouverts le 1er juin et que le processus de correction débutera le 11 du même mois. Pour rappel, à Annaba, 14.547 candidats passent les épreuves du BEM dans 57 centres d’examen, sur un total de 818.439 candidats à l'échelle nationale. Les candidats libres représentent 2% du nombre total de candidats au niveau national, a-t-on souligné.
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Béjaia: coup d’envoi du Salon national de l’innovation

BEJAIA - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a donné, samedi, à partir de Béjaia, le coup d’envoi du Salon national de l'innovation à travers toutes les wilayas du pays, conviées à suivre la cérémonie organisée au siège de la wilaya, au moyen d’une vidéo conférence. Cette manifestation, qui va durer trois jours, est un "carrefour d’exposition et d’échange entre les porteurs de projets, notamment les lauréats et les diplômés du secteur et les partenaires économiques", a déclaré le ministre. "L’objectif du Salon est de développer la culture de l’entreprenariat dans un climat de compétitivité créative", a souligné M. Merabi, expliquant que "l’occasion est de donner l’opportunité aux porteurs de projet de faire connaitre leurs produits et de renforcer leurs acquis professionnels pour mieux les développer, d’une part, et d’autres part, pour permettre aux investisseurs locaux de s’en emparer". A ce titre, il a mis l’accent sur la nécessité de focaliser sur les innovations technologiques, seules à même de permettre de relever les défis mondiaux qui s’imposent, a-t-il estimé. M. Merabi a insisté, dans ce sens, sur la nécessité de s'adapter à l’air du temps, en faisant preuve d’innovation et de création à tous les niveaux, qu’il s’agisse d’idées, de gestion des projets ou des moyens à mettre en œuvre. Le ministre a, à l'occasion, rappelé les efforts déployés par le secteur afin que ses stagiaires et diplômés autant que l'encadrement, soient au diapason. Il a, à ce propos, évoqué l’attention "soutenue" accordée à la dynamique de numérisation des activités du secteur, de ses structures et moyens, qui relève d’une stratégie numérique globale qui vise "une grande transformation de tout le système et les méthodes du passé". Le ministre a saisi l'occasion de sa présence à Bejaia pour se rendre au centre de formation professionnelle et d'apprentissage (CFPA) "Lakehal Younès", où se tient le salon, constatant de visu les promesses juvéniles dans divers domaines scientifiques et économiques. Beaucoup de projet d'innovation connaissent une réussite remarquable, à l’instar d’une entreprise de cycles et motocycles dont le succès l'a désormais implantée à l’étranger notamment en Côte-d’Ivoire et au Sénégal, selon les explications fournies sur place. A noter que le Salon national de l'innovation a mis en évidence pas moins d’une trentaine de petites entreprises qui, par leur succès, vont contribuer à la dynamique du développement local.