ALGER - Un (1) nouveau cas de coronavirus (Covid-19) a été enregistré, alors qu'aucun décès n'a été déploré ces dernières 24 heures en Algérie, indique jeudi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.581 cas, celui des décès se stabilise à 6.881 cas, de même que celui des patients guéris qui demeure inchangé (182.868 cas). En outre, aucun patient n'est actuellement en soins intensifs, note la même source. Lire aussi: Coronavirus: 2 nouveaux cas et aucun décès Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Dib Nassima)
ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a mis en avant jeudi à Alger l'importance de la numérisation qui constitue un des axes importants de la modernisation du secteur et de l'amélioration de la qualité de ses programmes et activités. A la question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN), lors d'une plénière consacrée aux questions orales, M. Merabi a précisé que la numérisation du secteur "est l'un des axes importants de son programme et de ses activités pour l'amélioration de la qualité de la formation professionnelle", notamment à travers la modernisation des mécanismes de gestion technique et pédagogique". Dans ce cadre, le ministre a affirmé que le secteur a procédé à la mise en œuvre de cette démarche en lançant la plateforme numérique "Mihnati" dédiée aux demandeurs de formation. Cette plateforme qui propose des offres de formation du secteur, est un outil de préinscription pour l'accès à la formation professionnelle. Une autre plateforme numérique "Massar Mihnati" dédiée aux personnes chargées de la gestion pédagogique des établissements de formation a également été mise en place outre celle dédiée à l'enseignement à distance au profit des demandeurs de formation à distance. Le ministre a annoncé le lancement, prochainement, d'une nouvelle plateforme dédiée aux aspects de gestion administrative et pédagogique des établissements de formation, laquelle servira de trait d'union entre ces établissements et les services de l'administration centrale. Cette plateforme vise, selon M. Merabi, à "unifier le travail administratif et pédagogique, à accélérer la cadence de ces réalisations", et à "assurer le suivi continu et instantané de toutes les activités inscrites au titre de cette plateforme aux niveaux local et central".
ALGER - Des médecins et des spécialistes ont affirmé mercredi à Alger, que l'Algérie avait réussi après l'indépendance à asseoir une politique de santé efficiente pour une meilleure prise en charge de la santé des citoyens, qui a permis l''élimination de plusieurs maladies contagieuses et la réduction du taux de mortalité qui en découle. Lors d'une journée d'étude organisée par le Centre des Archives nationales intitulée "le système de santé en Algérie entre hier et aujourd'hui", dans le cadre du soixantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale, le directeur de la population au ministère de la Santé, Omar Ouali, a déclaré, au nom du secrétaire général du ministère, que l'Algérie a de nombreux acquis en matière de couverture sanitaire, de structures ou d'équipements, outre la mise à disposition de la ressource humaine et de programmes de santé ayant donné des résultats tangibles. Au lendemain de l'indépendance, le pari était d'éliminer les maladies contagieuses, de réduire le taux de mortalité des enfants et de baisser le nombre de transfert des malades à l'étranger. "Au cours des premières années post indépendance, l'Algérie ne comptait que 600 médecins, 186 pharmaciens, 86 chirurgiens et 4834 paramédicaux avant de prendre des décisions au profit du citoyen, dont la création de l'Institut national de santé publique en 1964, l'Institut Pasteur l'année suivante, outre l'organisation de larges campagnes de vaccination à travers le territoire national, la gratuité des soins, la promulgation de la loi 85-05 relative à la santé et la construction de Centres hospitalo-universitaires et des cliniques de proximité", a-t-il souligné. Les années 2000 ont également été marquées, a-t-il ajouté, par une nette amélioration dans le renforcement des ressources humaines et matérielles, l'acquisition d'équipements médicaux et la réorganisation du secteur de la santé par l'ouverture d'établissements de proximité dans le but de rapprocher les services de santé du citoyen. De son côté, l’épidémiologiste et directeur général de la prévention et de la promotion de la santé au ministère de la Santé, le Dr Djamel Fourar, a affirmé que l'Algérie "a réussi à éradiquer la poliomyélite en 2016, avec la certification de l'Organisation mondiale de la santé (OMS)", ajoutant que "le tétanos maternel et néonatal a été éradiqué en 2018, ainsi que le paludisme". "Actuellement, a-t-il dit, nous sommes en processus d'éradication du trachome". M. Fourar a estimé, par ailleurs, que le plan de prévention adopté par l'Algérie pour limiter la propagation du Coronavirus (Covid-19) "lui permettra à l'avenir de faire face à toute autre menace virale qui pourrait survenir dans le monde, grâce aux leçons tirées de l'expérience du Covid" qu'il a qualifiée de "réussie", car "aujourd'hui nous sommes parvenus à l'enregistrement de 3 cas par jour sans risques et aucun décès depuis avril 2022".
ALGER - Neuf (09) nouveaux cas de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n'a été déploré, alors que quarte (04) guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique mardi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.578 cas, celui des décès se stabilise à 6.881 cas, alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.864 cas. Lire aussi: Coronavirus: un nouveau cas et aucun décès ces dernières 24h En outre, aucun patient n'est actuellement en soins intensifs, note la même source. Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a donné mardi à Alger le coup d'envoi pour le lancement de nouvelles plateformes numériques visant à moderniser le secteur et à promouvoir l'innovation. Lors du lancement de ces plateformes au siège du ministère, M. Baddari a mis l'accent sur l'importance de "faciliter la réussite de l'étudiant dans les différentes étapes de son cursus universitaire, de l'orientation à l'obtention du diplôme et l'insertion professionnelle, tout en encourageant l'innovation pédagogique et la modernisation de la gouvernance dans ses différents aspects". Le lancement de ces plateformes s'inscrit, selon le ministre, dans le cadre de l'exécution du schéma directeur numérique adopté par le ministère et composé de 7 axes stratégiques, 16 programmes stratégiques et 102 programmes opérationnels à réaliser d'ici décembre 2024, offrant ainsi des opportunités de services aux différents acteurs universitaires". Le ministre a indiqué que "29 plateformes au total ont été lancées par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à ce jour", ce qui est, a-t-il dit, un succès réalisé les ingénieurs et les enseignants du secteur". Les nouvelles plateformes, lancées aujourd'hui, proposent des services en matière de gestion des ressources humaines, de bibliothèques universitaires, d'hébergement, de suivi des investissements du secteur et de la formation doctorale initiale, en sus d'une plateforme destinée aux élèves de l'enseignement secondaire intitulée "Is'aalni".
ALGER - Le diététicien et spécialiste du diabète, Karim Messous a recommandé de suivre un régime alimentaire sain et de prendre des repas sans graisses et sucreries en vue d'éviter la pression sur le corps et faciliter la digestion notamment en ce mois sacré du Ramadhan. Dans une déclaration à l'APS, le même spécialiste a fait observer que la société algérienne change souvent ses comportements alimentaires et exagère dans la prise de repas très caloriques, dépassant celles dont le corps a besoin et sont souvent coûteuses économiquement et sans valeur nutritionnelle, en raison de contenu élevé en sucreries et en graisses, outre le fait qu'ils soient mauvais pour la santé. M. Messous a, en outre, expliqué que le corps du jeûneur a souvent envie de prendre différentes nourritures, ce qui requiert de la personne de maîtriser ces envies et d'organiser ses repas, de manière rationnelle, et sans excès en vue d'éviter la pression sur le corps d'une part, et de faciliter la digestion, d'autre part. Il a également recommandé d'atténuer la faim, lors de la rupture du jeûne, en se contentant de prendre une ou trois dattes et en évitant les boissons industriels riches en colorants alimentaires et en sucreries, tout en les remplaçant par des fruits naturels qui sont bénéfiques. S'agissant du plat principal, le spécialiste préconise une soupe accompagnée de "bourak", idéalement avec une farce aux légumes à l'instar des épinards, étant une source d'énergie parfaitement saine, en évitant une farce riche en fromages et en viandes hachées, un poids sur l'appareil digestif puisqu’ils représentent une source de mauvais gras avec des effets délétères sur la santé. Il a également mis en garde contre la surconsommation d'eau, au moment de la rupture du jeûne, il faut donc se contenter d'une petite quantité afin de faciliter l'opération de digestion, d'éviter de couper la faim et permettre au corps d'absorber facilement cette quantité. Par ailleurs, le spécialiste a appelé à organiser et répartir les repas entre le S'hour et l'Iftar en vue de laisser le temps nécessaire au corps pour la digestion, mettant l'accent sur l'importance du S'hour qui protège le corps d'une éventuelle déshydratation tout au long de la journée et atténue la sensation de faim. A ce propos, il conseille de manger et diversifier sa consommation en légumes, étant riches en vitamines et en sels minéraux, outre leurs propriétés antioxydantes et la facilité de leur digestion. Dans ce cadre, il a insisté sur l'importance de ne pas surconsommer les repas riches en sucres et en gras qui pourraient engendrer des nausées lors du jeûne, voire une hyperglycémie et une hypertension, en sus d'une prise de poids.
ALGER - Aucun nouveau cas de coronavirus (Covid-19) n'a été enregistré et aucun décès n'a été déploré, alors que 4 guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique dimanche le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés demeure ainsi inchangé, soit 271.568 cas, celui des décès également (6.881 cas), alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.859 cas. Lire aussi: Coronavirus: 5 nouveaux cas et aucun décès En outre, aucun patient n'est actuellement en soins intensifs, note la même source. Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
ALGER - Le ministère de l'Education nationale a annoncé, mercredi dans un communiqué, les horaires de travail applicables durant le mois sacré de Ramadhan dans les établissements éducatifs à travers le pays. Pour les wilayas d'Adrar, Laghouat, Biskra, Bechar, Tamanrasset, Ouargla, Illizi, Tindouf, El-Oued, Ghardaïa, Timimoune, Bordj Badji Mokhtar, Ouled Djellal, Béni Abbès, In Salah, In Guezzam, Touggourt, Djanet, El-Meghaier et El-Menia, les horaires de travail sont fixés de 7h00 à 14h00, précise le communiqué. Dans les autres wilayas du pays, les horaires de travail sont fixés de 8h30 à 15h30. Pour ce qui est de l'enseignement primaire dans les écoles à vacation unique, la durée des cours sera réduite de trente (30) minutes avec une pause d'une heure et 15 mn entre le matin et l'après-midi. Quant aux écoles primaires à double vacation, la durée des cours du matin sera réduite à 1h45, tandis que celle de l'après-midi sera réduite à 1h30mn. Dans les deux cycles moyen et secondaire, la séance pédagogique d'une heure sera réduite de quinze (15) minutes, a précisé le communiqué, ajoutant que l'emploi du temps sera réparti sur deux tranches englobant 4 cours chacune, avec une pause d'une heure entre le matin et l'après-midi.
ALGER - Le ministère de l'Education nationale a annoncé, mercredi dans un communiqué, les horaires de travail applicables durant le mois sacré de Ramadhan dans les établissements éducatifs à travers le pays. Pour les wilayas d'Adrar, Laghouat, Biskra, Bechar, Tamanrasset, Ouargla, Illizi, Tindouf, El-Oued, Ghardaïa, Timimoune, Bordj Badji Mokhtar, Ouled Djellal, Béni Abbès, In Salah, In Guezzam, Touggourt, Djanet, El-Meghaier et El-Menia, les horaires de travail sont fixés de 7h00 à 14h00, précise le communiqué. Dans les autres wilayas du pays, les horaires de travail sont fixés de 8h30 à 15h30. Pour ce qui est de l'enseignement primaire dans les écoles à vacation unique, la durée des cours sera réduite de trente (30) minutes avec une pause d'une heure et 15 mn entre le matin et l'après-midi. Quant aux écoles primaires à double vacation, la durée des cours du matin sera réduite à 1h45, tandis que celle de l'après-midi sera réduite à 1h30mn. Dans les deux cycles moyen et secondaire, la séance pédagogique d'une heure sera réduite de quinze (15) minutes, a précisé le communiqué, ajoutant que l'emploi du temps sera réparti sur deux tranches englobant 4 cours chacune, avec une pause d'une heure entre le matin et l'après-midi.
CONSTANTINE - L’insuline en flacons, auparavant importée de l’étranger sera désormais cataloguée comme un produit "100% algérien" à la faveur du lancement à partir de ce dimanche de la production de ce médicament par l’unité de Saidal à Constantine, a indiqué la directrice du site de production de ce groupe public, Dr Feryal Kherrab. Il s’agit d’une "production totale et non pas un conditionnement ou un remplissage", a affirmé la même responsable, dans un entretien à l'APS, mettant l’accent sur l’importance de l’opération dans la consolidation de la souveraineté nationale sanitaire à travers notamment la réduction de la facture d'importation des médicaments. L’unité Saidal Constantine produira, à compter du 19 mars courant, une quantité de 1 million d’unités de vente d’insuline humaine rapide utilisée dans les hôpitaux (en flacons), a souligné Dr Kherrab, précisant que ce chiffre (1 million d’unités de vente) concerne la production arrêtée pour l’exercice en cours (2023). Le volume de production sera, par la suite, fixé en fonction des besoins du marché, selon la même responsable qui a affirmé que Saidal dispose de tous les moyens nécessaires lui permettant de répondre à toutes les demandes exprimées en la matière. Ce médicament sera produit par un personnel algérien qualifié et formé, a fait savoir Dr Kherrab, précisant que l’équipe chargée de la fabrication de l’insuline en flacons a bénéficié, début février, d’une formation complémentaire en Fédération de Russie sur le contrôle qualité. A ce titre, elle a indiqué que l’opération de production de l’insuline en flacons à Constantine sera menée par une équipe de production et une autre équipe chargée du contrôle de qualité, saluant les efforts déployés par le ministère de tutelle qui a mis à la disposition des responsables concernés par l’opération toutes les facilitations et moyens nécessaires. La même responsable a rappelé que la production de l’insuline en flacons avait été décidée en 2022 et un partenaire russe choisi (le fournisseur de principe actif), puis, a-t-elle détaillé, l’Etat algérien a décidé de passer au transfert technologique complet pour une production entièrement algérienne. La directrice du site 1 du groupe Saidal Constantine a affirmé que l’investissement a été mené avec "zéro achat en équipement, car l’opération se fait avec les installations déjà existantes", précisant que c’est la formation qui a été le "maillon fort de cette chaine de production qui vient confirmer que les efforts déployés par l’Etat dans ce cadre étaient fructueux". L’opération constitue un "retour" à l’activité initiale du site 1 à Constantine où était produite l’insuline depuis 2006 avant qu’elle ne soit interrompue en 2013, a rappelé la même responsable, estimant qu’il s’agit là d’une "remontée" à travers laquelle l'Algérie va consolider sa souveraineté sanitaire.