ALGER - Cinq (5) nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n'a été déploré, alors que 2 guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique mercredi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.622 cas, celui des décès demeure inchangé (6.881), alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.904 cas. En outre, un seul patient est actuellement en soins intensifs, note la même source. Lire aussi: Coronavirus: 4 nouveaux cas et aucun décès ces dernières 24h Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Dib Nassima)
ALGER - Quatre (4) nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n'a été déploré, alors que 4 guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique mardi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.617 cas, celui des décès se stabilise à 6.881 cas, alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.902 cas. Lire aussi: Coronavirus: aucun nouveau cas et aucun décès En outre, un seul patient est actuellement en soins intensifs, note la même source. Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
ALGER - Quatre (4) nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n'a été déploré, alors que 4 guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique mardi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.617 cas, celui des décès se stabilise à 6.881 cas, alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.902 cas. Lire aussi: Coronavirus: aucun nouveau cas et aucun décès En outre, un seul patient est actuellement en soins intensifs, note la même source. Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
JIJEL - Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yacine Merabi a réaffirmé mardi à Jijel, la nécessité de revoir le volume horaire de certaines spécialités pour attirer le maximum de stagiaires, de supprimer certaines autres et de les remplacer par des spécialités plus demandées sur le marché du travail. M. Merabi qui a suivi un exposé sur la formation professionnelle dans la wilaya de Jijel, présenté au Centre de la formation professionnelle Chahid Boulhart-Salah au centre-ville de Jijel, dans le cadre de sa visite dans la wilaya, a souligné qu’ "il est temps de revoir le volume horaire dispensé dans l’enseignement de certaines spécialités, de réduire la durée de la formation pour attirer le maximum de stagiaires, et de supprimer certaines autres pour les remplacer par des spécialités plus importantes". Il a ajouté qu' "il n’est pas raisonnable de garder des volumes horaires aussi long dans certaines filières", citant, à titre d’exemple, la filière apiculture qui "n’exige pas trois mois de formation comme c’est le cas présentement, 15 jours suffisent pour cette formation et c’est le cas pour d’autres spécialités". Lire aussi: Consolider le partenariat entre la formation professionnelle et les opérateurs économiques Le ministre a estimé que cette durée prolongée de ces formations a poussé certains stagiaires à ne pas s’y présenter, pour préférer la formation dans les établissements privés. Il a affirmé que les démarches se poursuivent pour supprimer plusieurs spécialités et les remplacer par celles qui sont demandées sur le marché du travail, en particulier les formations qui touchent à l’agriculture, la sécurité hydrique, la numérisation et autres spécialités qui vont dans le sens de l’économie. Il a en outre considéré que ce secteur dans la wilaya de Jijel a besoin d’être renforcé par l’ouverture de nouveaux centres et instituts. Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels poursuivra sa visite dans la wilaya de Jijel, où il présidera une cérémonie de signature de plusieurs conventions avec la société algéro-qatarie de sidérurgie, l’établissement portuaire de Djendjen, ainsi que la visite de plusieurs établissements de la formation professionnelle dans la wilaya.
SKIKDA - Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a affirmé lundi à Skikda qu'il faudrait enraciner l’esprit entrepreneurial chez les jeunes dès le début de leur cursus de formation. Présidant l’ouverture d’une journée d’étude sur "le rôle de la formation professionnelle dans l’entrepreneuriat, de l’innovation à l’investissement" à l’amphithéâtre de l’Institut national spécialisée d’Azzaba (Est de Skikda), le ministre a estimé que "l’enracinement de l’esprit entrepreneurial s’opère par l’intensification des sorties de terrain vers les entreprises économiques proches des établissements de formation". "Ces sorties de terrain aideront les jeunes à découvrir tôt le monde de l’entreprise et développeront chez eux l’esprit d’innovation de sorte à les encourager à lancer leurs propres projets d’investissement qui seront une valeur ajoutée au processus de développement économique du pays", a soutenu le ministre, assurant que le secteur de la formation œuvre à rendre ses stagiaires aptes à s’adapter aux changements que connait l’entreprise économique et à intégrer les technologies modernes. "La nouvelle approche du secteur se base sur l’accompagnement des stagiaires avant, durant et après leur formation, à commencer par l’orientation dans le choix du métier puis en dispensant une formation conforme aux normes pédagogiques requises et sanctionnée par l’intégration du monde du travail et l’engagement de leurs propres projets", a expliqué M. Merabi. Le ministre a ajouté que pour concrétiser effectivement ce processus, il est impératif de penser à enraciner l’esprit entrepreneurial chez les jeunes par la mise en place d’un environnement propice aux affaires qui assure la transparence et la promotion de l’emploi et de l’innovation et au travers l’intégration de modules d’initiation à l’entrepreneuriat. Pour cela, le secteur a instauré au niveau local un dispositif appelé la Maison de l’entrepreneuriat et de l’insertion qui constitue un espace d’échange des idées et des expériences entre stagiaires et diplômés bénéficiaires des divers dispositifs d’aide à l’emploi mis en place par les pouvoirs publics, a-t-il noté. Cette maison, a encore relevé M. Merabi, constitue un espace d’information, d’orientation, d’initiation à l’entrepreneuriat et d’accompagnement des porteurs d’idées innovantes vers la création de micro-entreprises et de start-up qui contribuent au développement du pays conformément aux directives générales des autorités publiques. Pour mettre en valeur les innovations des diplômés du secteur, un Salon national de la formation et de l’enseignement professionnels a été lancé avec à ce jour deux éditions constituant une occasion aux diplômés du secteur pour exposer leurs innovations avec la participation des divers secteurs et des opérateurs économiques dans le but d’en favoriser leurs éventuels exploitations et développement, a souligné M. Merabi. La rencontre a abordé les divers aspects liés à la formation et au développement de l’entrepreneuriat, aux coopératives agricoles, aux étapes de création d’une micro-entreprise. Le ministre poursuivra sa visite par l’inspection de plusieurs structures relevant de son département dans les daïras de Skikda et El Hadaïk.
ALGER - Le président de l'Académie algérienne d'allergollogie Pr. Merzak Ghernaout, a estimé que la mise en place d'un traitement consensuel pour chaque type d'allergie était nécessaire pour s'adapter aux développements dans ce domaine et améliorer la prise en charge de ces maladies. Dans une déclaration à l'APS, le Pr. Ghernaout a affirmé que l'académie a repris ses activités à l'arrêt pendant plusieurs années et tend à mettre en place un traitement consensuel pour tous les types d'allergie répandus en Algérie. Ce traitement s'avère "nécessaire", a-t-il dit, vu la multiplicité des types d'allergies et l'apparition de nouveaux traitements dans le monde. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recense plusieurs types d'allergie dont certains sont liés à l'environnement (pollution), d'autres provoqués par des comportements individuels comme le tabagisme, d'autres sont liés à des facteurs héréditaires ou à la prise de certains médicaments, produits industriels ou alimentaires. Parmi les types d'allergie qui se propagent durant le printemps et l'automne, il y a ceux liés à l'éclosion des plantes en raison du pollen, principal allergène. Les différents types d’allergie -classée selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) parmi les pathologies qui grèvent les systèmes de santé- touchent toutes les catégories de la société dans le monde. Les symptômes de l’allergie se manifestent par une rougeur de l’œil et des paupières, un écoulement, une obstruction des narines, enrouement de la gorge, en plus d’une dyspnée. Ces symptômes peuvent causer "une grande gêne" chez les personnes atteintes, selon Pr.Gharnaout. Le même spécialiste qui est également recteur de la Faculté de médecine d’Alger, a indiqué que le pollen est parmi les facteurs qui provoquent l’allergie, comme la sinusite, la rougeur des yeux et des paupières, en plus de la dyspnée chez les asthmatiques durant la saison du printemps. Selon ce spécialiste, ces deux pathologies (allergie et asthme) sont classées parmi les pathologies chroniques et consomment un nombre considérable de médicaments, d’autant qu’ils nécessitent un traitement à long terme, ajoutant que le diagnostic est facile et que tous les médicaments sont disponibles en Algérie. Il a également assuré qu’une grande partie de ces pathologies sont bien prises en charge et que les traitements disponibles ont donné des résultats satisfaisants, précisant qu’un taux faible de personnes atteintes nécessite la thérapie immunitaire.
ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki a affirmé, mardi à Alger, que son secteur était prêt à doter les jeunes des moyens technologiques les plus sophistiqués en vue de renforcer leurs capacités. "Le secteur de la Poste et des Télécommunications est prêt à doter les jeunes des moyens technologiques les plus sophistiqués en vue de renforcer leurs capacités", a déclaré le ministre à la presse au sortir de sa rencontre avec le président du Conseil supérieur de la Jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui. Lors de cette rencontre, le ministre a dit qu'"il a été question de l'examen des mécanismes de constituer une commission de coordination, de coopération et de suivi entre le ministère et le CSJ afin de suivre la mise en œuvre des différents programmes juvéniles et l'adoption de solutions pratiques pour répondre aux préoccupations enregistrées par le CSJ". A cet effet, "les perspectives et les aspirations du secteur en termes de numérisation ont été examinées ainsi que le recours du Conseil supérieur de la Jeunesse à l'expérience des cadres du ministère dans ce domaine", a fait savoir M. Bibi Triki. S'exprimant à l'occasion, M. Hidaoui a souligné l'importance de "la communication permanente avec les différents partenaires et cadres du ministère de la Poste pour promouvoir la jeunesse et faciliter l'accès des jeunes créateurs aux nouvelles technologies".
ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki a affirmé, mardi à Alger, que son secteur était prêt à doter les jeunes des moyens technologiques les plus sophistiqués en vue de renforcer leurs capacités. "Le secteur de la Poste et des Télécommunications est prêt à doter les jeunes des moyens technologiques les plus sophistiqués en vue de renforcer leurs capacités", a déclaré le ministre à la presse au sortir de sa rencontre avec le président du Conseil supérieur de la Jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui. Lors de cette rencontre, le ministre a dit qu'"il a été question de l'examen des mécanismes de constituer une commission de coordination, de coopération et de suivi entre le ministère et le CSJ afin de suivre la mise en œuvre des différents programmes juvéniles et l'adoption de solutions pratiques pour répondre aux préoccupations enregistrées par le CSJ". A cet effet, "les perspectives et les aspirations du secteur en termes de numérisation ont été examinées ainsi que le recours du Conseil supérieur de la Jeunesse à l'expérience des cadres du ministère dans ce domaine", a fait savoir M. Bibi Triki. S'exprimant à l'occasion, M. Hidaoui a souligné l'importance de "la communication permanente avec les différents partenaires et cadres du ministère de la Poste pour promouvoir la jeunesse et faciliter l'accès des jeunes créateurs aux nouvelles technologies".
ALGER - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a procédé, mardi à Alger, en compagnie du ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun et la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fazia Dahleb, au lancement de deux bases de données sur l’exploitation des plantes médicinales et la biodiversité marine. A cette occasion, M. Baddari a précisé que "ces deux plateformes s’inscrivent dans le cadre de la réalisation de la sécurité sanitaire et alimentaire", la première base de données mise à la disposition du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique compte 1004 espèces végétales à partir desquelles 16.000 composés organiques sont extraits, ce qui profite à l’industrie pharmaceutique et aide à réaliser la sécurité sanitaire pour atteindre l’autosuffisance. Quant à la deuxième base de données sur la biodiversité marine, le ministre a indiqué qu’elle sera mise à la disposition du ministère de l’Environnement en vue de l’exploiter industriellement et alimentairement dans le cadre de la santé du citoyen et de l’environnement. Pour sa part, M. Aoun s’est félicité de la plateforme dédiée aux plantes médicinales, indiquant que les laboratoires nationaux sont capables d'élaborer des études efficaces et d'extraire des produits. Il a annoncé le lancement prochainement en compagnie du ministre de l’Enseignement supérieur, du recensement des herbes médicinales pouvant contribuer au développement de l’industrie pharmaceutique en Algérie, relevant les moyens financiers et matériels exigés par cette opération. Pour sa part, Mme Dahleb a indiqué que cette démarche vise à relancer la production des plantes médicinales au regard de leur importance dans l’économie nationale sur fond de hausse de la demande mondiale, d'autant que ces plantes comptent de multiples usages notamment dans l’industrie pharmaceutique et la cosmétologie. La ministre a appelé les opérateurs et les chefs d’entreprises spécialisés dans la fabrication de médicaments et des produits cosmétiques à tirer profit des études élaborées au niveau des universités et des centres de recherche pour valoriser la recherche scientifique. Par ailleurs, le coup d’envoi des activités de recherche sur les plantes médicinales a également été donné au niveau de la wilaya de Tissmsilt connue pour sa biodiversité notamment au niveau du parc national Theniet El Had, en attendant l’évaluation de l’opération dans 6 mois. Une convention de coopération a été signée à cette occasion entre le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de l’Environnement en vue de relancer les bases de la coopération bilatérale et mettre en place les programmes de recherche scientifique liés aux domaines de l’environnement et des énergies renouvelables en cours d’exécution.
ALGER - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a procédé, mardi à Alger, en compagnie du ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun et la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fazia Dahleb, au lancement de deux bases de données sur l’exploitation des plantes médicinales et la biodiversité marine. A cette occasion, M. Baddari a précisé que "ces deux plateformes s’inscrivent dans le cadre de la réalisation de la sécurité sanitaire et alimentaire", la première base de données mise à la disposition du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique compte 1004 espèces végétales à partir desquelles 16.000 composés organiques sont extraits, ce qui profite à l’industrie pharmaceutique et aide à réaliser la sécurité sanitaire pour atteindre l’autosuffisance. Quant à la deuxième base de données sur la biodiversité marine, le ministre a indiqué qu’elle sera mise à la disposition du ministère de l’Environnement en vue de l’exploiter industriellement et alimentairement dans le cadre de la santé du citoyen et de l’environnement. Pour sa part, M. Aoun s’est félicité de la plateforme dédiée aux plantes médicinales, indiquant que les laboratoires nationaux sont capables d'élaborer des études efficaces et d'extraire des produits. Il a annoncé le lancement prochainement en compagnie du ministre de l’Enseignement supérieur, du recensement des herbes médicinales pouvant contribuer au développement de l’industrie pharmaceutique en Algérie, relevant les moyens financiers et matériels exigés par cette opération. Pour sa part, Mme Dahleb a indiqué que cette démarche vise à relancer la production des plantes médicinales au regard de leur importance dans l’économie nationale sur fond de hausse de la demande mondiale, d'autant que ces plantes comptent de multiples usages notamment dans l’industrie pharmaceutique et la cosmétologie. La ministre a appelé les opérateurs et les chefs d’entreprises spécialisés dans la fabrication de médicaments et des produits cosmétiques à tirer profit des études élaborées au niveau des universités et des centres de recherche pour valoriser la recherche scientifique. Par ailleurs, le coup d’envoi des activités de recherche sur les plantes médicinales a également été donné au niveau de la wilaya de Tissmsilt connue pour sa biodiversité notamment au niveau du parc national Theniet El Had, en attendant l’évaluation de l’opération dans 6 mois. Une convention de coopération a été signée à cette occasion entre le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de l’Environnement en vue de relancer les bases de la coopération bilatérale et mettre en place les programmes de recherche scientifique liés aux domaines de l’environnement et des énergies renouvelables en cours d’exécution.