ALGER - L'examen national d'attestation de niveau des apprenants à distance pour les cycles moyen et secondaire 2023 a débuté, mardi à Alger, avec la participation de plus de 444 000 candidats répartis sur 1660 centres d'examen à l'échelle nationale et encadrés par 2497 encadreurs. Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed qui a donné le coup d'envoi de l'examen au CEM Mohamed Amine Lamoudi (El Harrach), a affirmé que cet examen pour lequel tous les moyens ont été mobilisés se déroule dans de "bonnes" conditions. Au total, 444.888 candidats tous niveaux confondus, se présentent pour ce test, répartis sur 1660 centres d'examen, a indiqué le ministre précisant qu'il y a 17 centres de correction. M. Belaabed a en outre indiqué que les résultats seront annoncés le 31 mai en cours. Le ministre a salué à cette occasion les efforts de l'établissement d'enseignement à distance en tant qu'établissement "stratégique" sur lequel le ministère compte pour dispenser les cours à distance et qu'il tend à développer en le dotant de tous les outils de travail "efficaces". M. Belaabed a ajouté que cet examen "offre une deuxième chance à nos enfants qui ont quitté les bancs de l'école", saluant "les bons" résultats obtenus par les candidats qui ont réussi le test de niveau de 3e année secondaire, à l'examen du Baccalauréat ces dernières années.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Dib Nassima)
SETIF - Les participants au 1er congrès international sur l’oncologie et la radiothérapie, clôturé samedi à l’auditorium Mouloud Kacem Nait Belkacem de l’université Sétif-2, ont affirmé "la nécessaire adoption des techniques nouvelles par certains des services de radiothérapie des centres anti-cancer du pays". Les intervenants durant cette rencontre scientifique, initiée par l’Algerian Society for Radiation Oncology (ASRO) ont recommandé de "promouvoir le traitement radio-thérapeutique au niveau de ces services afin d’assurer de meilleurs soins aux patients et de tirer avantage des expériences acquises à l’échelle nationale et internationale dans ce domaine". Pour Pr. Khadidja Boudaoud, présidente de l’ASRO, son association peut contribuer à la formation et à la fourniture de ces équipements nouveaux aux services de radiothérapie de sorte à réduire les délais d’attente du traitement. Elle a souligné que des ateliers ont été tenus au niveau des services de radiothérapie de Bechar, Tlemcen et El Oued sur l’utilisation de nouvelles techniques d'irradiation de haute précision permettant de délivrer une dose plus élevée sur une tumeur tout en préservant les tissus sains voisins. La même spécialiste a appelé à recourir à la technique de visioconférence au niveau des ateliers de radiothérapie afin d’unifier les méthodes travail à leur niveau. Elle a également souligné que le thème de la prochaine édition de 2024 de cette rencontre sera "la radiothérapie chez les patients enfants et adolescents" en plus d’autres sujets liés au traitement des cancers du sein et de la prostate et à la sécurité et la qualité aux techniques de radiothérapie. Cette rencontre scientifique de trois jours (27-29 avril), inscrite dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie sectorielle de promotion de la santé et de la prévention, a donné lieu à la présentation de plusieurs communications sur le développement de la radiothérapie en Algérie et l’association des deux traitements de radiothérapie et de chimiothérapie. Des chirurgiens, anatotomopathologistes, des physiciens médicaux et des spécialistes en radiothérapie d’Algérie, de Tunisie, de France et des Etats-Unis ont pris part aux travaux de ce premier congrès international sur l’oncologie et la radiothérapie par mode présentiel et par visioconférence.
ALGER - Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, a affirmé samedi que l'Algérie et la Tunisie avaient convenu d'élargir la coopération bilatérale pour profiter des expériences des deux pays dans les domaines de la santé, de la sécurité au travail et des relations professionnelles. Présidant la célébration de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail (28 avril), en présence du ministre de la Santé, Abdelhak Saïhi et du président de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire, professeur Kamel Senhadji, M. Bentaleb a souligné "qu'il a été convenu d'élargir les domaines de coopération entre l'Institut tunisien de la santé et de la sécurité professionnelles et l'Institut national de la prévention des risques professionnels (INPRP) et l'Institut national du travail (INT)" en vue de "soutenir le programme exécutif du protocole de coopération conjoint entre l'Algérie et la Tunisie dans le domaine du travail et des relations professionnelles 2022-2024". L'objectif de cette coopération est de tirer profit des expériences des deux pays dans les domaines de la santé, de la sécurité professionnelles, de l'emploi et des relations professionnelles, notamment en matière de formation d'inspecteurs du travail dans la prévention contre les risques professionnels. M. Bentaleb a indiqué que les services de son ministère "oeuvrent avec les experts du bureau de l'Organisation internationale du travail (OIT) à Alger à actualiser le fichier national de la sécurité et de la santé professionnelle conformément aux recommandations de l'Organisation, notamment en ce qui concerne le cadre promotionnel de la sécurité et de la santé au travail, et ce en concertation avec les organisations syndicales des travailleurs, et patronats les plus représentés". Le ministre a précisé que l'actualisation de ce dossier prévoit "un inventaire global de la situation au niveau national en termes de santé et de sécurité au travail", en plus de fournir "les informations et données nécessaires relatives à la législation et aux mécanismes de concrétisation des programmes nationaux sur la santé et la sécurité professionnelles".
ALGER - Cinq (5) nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n'a été déploré, alors que quatre guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique samedi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.712, celui des décès demeure inchangé (6.881), alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.956 cas, précise le communiqué. En outre, un seul patient se trouve actuellement en soins intensifs, note la même source. Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d'hygiène et la distanciation physique.
ALGER - L'évaluation des acquis pour plus de 920.000 élèves de cinquième année du cycle primaire (2022-2023) débutera dimanche, une première dans l'histoire de l'Ecole algérienne suite à la suppression de l'examen de fin de cycle primaire. L'évaluation des acquis du cycle primaire, prévue jusqu'au 25 mai, s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d'action du gouvernement relatif à la révision du système d'évaluation national, avait déclaré le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed, en marge d'une visite de travail, jeudi, dans la wilaya de Batna. Selon le ministre, cette évaluation n'est pas stressante pour l'élève car les cours auront lieu normalement et le volume horaire des évaluations de toutes les matières ne dépasse guère 13 heures sur 112 heures de cours, soit 11% seulement. L'évaluation des acquis, obligatoire pour tout élève de cinquième année primaire, revêt une importance pédagogique car elle permet de donner plus de chances aux élèves d'achever leur parcours scolaire et de réduire le taux de redoublement en première année du cycle moyen. Le système d'évaluation des acquis du cycle primaire permet de déterminer avec précision les capacités des élèves sans recourir à la notation et de rattraper ainsi leurs lacunes avant leur admission au cycle moyen, avait indiqué le directeur de l'enseignement primaire au ministère de l'Education nationale, Difallah Mohamed. Lire aussi: Fin de cycle primaire: début dimanche des évaluations écrites pour plus de 920.000 élèves Les élèves de cinquième année primaire effectueront par intermittence les évaluations écrites des acquis de ce cycle d'enseignement. Ils seront répartis sur plus de 33.000 groupes éducatifs encadrés par près de 80.000 enseignants. Les élèves seront évalués sur les acquis dans huit matières : la langue arabe, tamazight, la langue française, les mathématiques, l'éducation islamique, l'histoire-géographie, l'éducation scientifique et l'éducation civique. Le ministère de l'Education nationale avait approuvé, ces dernières semaines, les dispositions liées à l'organisation et au déroulement de cet examen, en chargeant ses directeurs de wilayas de suivre l'opération d'impression des sujets, les grilles de correction et les grilles d'appréciation avec les inspecteurs des circonscriptions de l'Education en vue de garantir la transparence".
ALGER - La deuxième édition de la Coupe d'Algérie de robotique a débuté, samedi à l'Université des sciences et technologies Houari-Boumediene d'Alger (USTHB), avec la participation de 18 équipes représentant 4 Universités. Donnant le coup d'envoi des éliminatoires de la Coupe d'Algérie de robotique, organisée sous l'égide des ministères de l'Enseignement supérieur, de l'Economie de la connaissance et de la Jeunesse et des Sports, le conseiller du recteur de l'USTHB, Abderraouf Souker, a précisé que "le but de ces initiatives scientifiques est de favoriser l'interaction entre les étudiants des Universités algériennes et l'échange de connaissances entre jeunes créatifs". Il s'agit également d'apporter une plus-value dans le domaine de la recherche scientifique dans les spécialités en lien avec la robotique a-t-il ajouté. L'organisation de telles compétitions permet de "mettre à profit les expériences concluantes dans les secteurs industriel, social et économique" et de "créer des emplois et des start-up à même de contribuer à booster l'économie nationale", a-t-il dit. De son côté, le doyen de la Faculté de génie électrique à l'USTHB, Kamel Boudjid, a affirmé que "l'organisation de la deuxième édition de la Coupe d'Algérie de robotique s'inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique visant à encourager les jeunes dans les domaines de l'intelligence artificielle et du numérique" et à "accompagner les compétences algériennes (étudiants et startupers) dans la concrétisation de leurs projets". Il a mis en avant "l'intérêt accordé par l'Etat à l'intelligence artificielle dans diverses disciplines" pour "valoriser les nouvelles technologies et généraliser les sciences techniques, tout en donnant des opportunités aux étudiants et jeunes diplômés". 18 équipes de 4 universités et plus de 65 candidats de l'USTHB et des Universités de Batna, d'Oran et de Ghardaïa participent aux éliminatoires de cette compétition.
ALGER - L'Algérie dispose d'un important dispositif législatif sur lequel s'appuie la politique nationale en matière de sécurité et de santé au travail et engage des projets pour conforter le cadre réglementaire et renforcer les mesures préventives mises en œuvre, a-t-on appris auprès du ministère du Travail, de l'Emploi et la Sécurité sociale. Ainsi, une actualisation du "profil national" en matière de sécurité et de santé au travail est en cours. Il est destiné à servir de "document de référence" pour l'élaboration des futurs plans d'action en matière de sécurité et de santé au travail, a indiqué à l'APS la sous-directrice de la prévention des risques professionnels au ministère du Travail, de l'Emploi et la Sécurité sociale, Lamia Bouteldja. Le "profil national" constitue un outil essentiel pour l'application d'une approche systématique de la gestion de sécurité et de santé au travail et sera utilisé comme base d'identification des priorités d'action et outil de mesure des progrès, grâce à sa mise à jour périodique, a précisé la même responsable. Il a pour objectif de "fournir des informations sur la sécurité et la santé au travail en ce qui concerne notamment la législation, le mécanisme d'examen de la politique de sécurité et de santé au travail, les activités des différents partenaires concernés et les acteurs concernés", a-t-elle ajouté. Par la même occasion, Mme Bouteldja a relevé que la prévention est "une priorité majeure et permanente" dans la politique nationale de sécurité et de santé au travail et représente "un droit fondamental" pour la protection des travailleurs contre les risques professionnels. Une des dispositions de l'article 66 de la constitution stipule que "le droit à la protection, à la sécurité et à l'hygiène dans le travail, est garanti par la loi", a-t-elle soutenu. Elle a également rappelé certaines conventions à caractère international, dont la convention concernant la sécurité et la santé des travailleurs et la convention internationale du travail sur la sécurité et la santé qui couvre toutes les activités relatives au secteur de la construction. La même responsable a affirmé que les principes énoncés par ces conventions trouvent leur pleine traduction dans les textes législatifs et réglementaires spécifiques aux domaines de la sécurité et de la santé au travail en Algérie. D'autres dispositions ont été mises en œuvre dans la politique nationale pour améliorer la prévention des risques professionnels et promouvoir la sécurité et la santé au travail, à l'instar des activités engagées, notamment par l'institut national de prévention des risques professionnels (INPRP), l'organisme de prévention des risques professionnels dans les activités du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique (OPREBATPH). Par ailleurs, des actions de contrôle, menées par l'Inspection générale du travail contribuent également à l’amélioration des conditions de travail en matière de sécurité et de santé au travail, à travers le contrôle de l’état d’application de la législation et de la règlementation de travail en matière d’hygiène, de sécurité et de médecine du travail, a indiqué le sous-directeur de contrôle et des conditions de travail à l'Inspection générale du travail, Lyes Rahmani. Au titre de l'année 2022, l'inspection du travail a effectué, selon la même responsable, 128.618 visites d’inspection et de contrôle des conditions de travail et mené des actions d'information et de sensibilisation sur les dispositions de la loi en matière de prévention des risques professionnels.
ALGER - L'Algérie dispose d'un important dispositif législatif sur lequel s'appuie la politique nationale en matière de sécurité et de santé au travail et engage des projets pour conforter le cadre réglementaire et renforcer les mesures préventives mises en œuvre, a-t-on appris auprès du ministère du Travail, de l'Emploi et la Sécurité sociale. Ainsi, une actualisation du "profil national" en matière de sécurité et de santé au travail est en cours. Il est destiné à servir de "document de référence" pour l'élaboration des futurs plans d'action en matière de sécurité et de santé au travail, a indiqué à l'APS la sous-directrice de la prévention des risques professionnels au ministère du Travail, de l'Emploi et la Sécurité sociale, Lamia Bouteldja. Le "profil national" constitue un outil essentiel pour l'application d'une approche systématique de la gestion de sécurité et de santé au travail et sera utilisé comme base d'identification des priorités d'action et outil de mesure des progrès, grâce à sa mise à jour périodique, a précisé la même responsable. Il a pour objectif de "fournir des informations sur la sécurité et la santé au travail en ce qui concerne notamment la législation, le mécanisme d'examen de la politique de sécurité et de santé au travail, les activités des différents partenaires concernés et les acteurs concernés", a-t-elle ajouté. Par la même occasion, Mme Bouteldja a relevé que la prévention est "une priorité majeure et permanente" dans la politique nationale de sécurité et de santé au travail et représente "un droit fondamental" pour la protection des travailleurs contre les risques professionnels. Une des dispositions de l'article 66 de la constitution stipule que "le droit à la protection, à la sécurité et à l'hygiène dans le travail, est garanti par la loi", a-t-elle soutenu. Elle a également rappelé certaines conventions à caractère international, dont la convention concernant la sécurité et la santé des travailleurs et la convention internationale du travail sur la sécurité et la santé qui couvre toutes les activités relatives au secteur de la construction. La même responsable a affirmé que les principes énoncés par ces conventions trouvent leur pleine traduction dans les textes législatifs et réglementaires spécifiques aux domaines de la sécurité et de la santé au travail en Algérie. D'autres dispositions ont été mises en œuvre dans la politique nationale pour améliorer la prévention des risques professionnels et promouvoir la sécurité et la santé au travail, à l'instar des activités engagées, notamment par l'institut national de prévention des risques professionnels (INPRP), l'organisme de prévention des risques professionnels dans les activités du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique (OPREBATPH). Par ailleurs, des actions de contrôle, menées par l'Inspection générale du travail contribuent également à l’amélioration des conditions de travail en matière de sécurité et de santé au travail, à travers le contrôle de l’état d’application de la législation et de la règlementation de travail en matière d’hygiène, de sécurité et de médecine du travail, a indiqué le sous-directeur de contrôle et des conditions de travail à l'Inspection générale du travail, Lyes Rahmani. Au titre de l'année 2022, l'inspection du travail a effectué, selon la même responsable, 128.618 visites d’inspection et de contrôle des conditions de travail et mené des actions d'information et de sensibilisation sur les dispositions de la loi en matière de prévention des risques professionnels.
BECHAR - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Bidari, a souligné, jeudi à Bechar l’importance du rôle des établissements universitaires et de recherche, dans l’accompagnement des collectivités locales en termes de développement socio-économique. ''L’université ‘Tahri Mohamed’ de Bechar (UTHM) à l’instar des autres établissements universitaires et de recherche du pays, doit être un établissement de proximité ouverte sur son environnement et au service des collectivités locales dans le but de contribuer au développement socioéconomique", a indiqué le ministre lors d’une exposition des œuvres innovantes réalisés au sein des différentes facultés de cet établissement de l’enseignement supérieur, dans le cadre de sa visite dans la wilaya, accompagné des autorités locales. Ces projets de recherche, réalisés en vertu de l’arrêté interministériel n 12-75 portant projet "Diplôme-Start-up" à travers la mise en place de l’incubateur de l’université de Bechar, ont permis à 109 étudiants de concrétiser leurs mémoires de fin d’études de licence et master dans plusieurs domaines économiques et scientifiques, pouvant contribuer à l’essor économique et social des collectivités locales, selon la responsable de l’incubateur, Ikram Baghdadi. Le membre du gouvernement qui s’est rendu auparavant au chantier de réalisation et équipement de la nouvelle faculté de médecine de 2.000 places doté d’une enveloppe de plus de deux (2) milliards de DA et dont la réception est prévue en mars 2024, a été attentif aux explications fournies sur ce projet qui accuse un taux d’avancement physique estimé à 55%. Le ministre a, à cette occasion, donné des instructions pour respecter les délais de livraison de cette structure de formation du personnel médical destiné à renforcer les structures de santé tant de la wilaya de Bechar, que celles du Sud-ouest du pays. M Bidari, s’est enquis de l’actuelle faculté de médecine de l’UTMB, qui totalise 294 étudiants inscrits de la 1ère à la 7ème année, dont 42 médecins-résidents, encadrés par 33 enseignants qui seront prochainement renforcés, en application des directives du premier responsable du département ministériel. Le ministre a, dans le cadre de sa tournée, inspecté la nouvelle cité universitaire pour filles de 1000 places au pôle université de Lahmar, réalisée et équipée au titre du programme sectoriel avec un cout de 996 millions de DA. A l’école normale supérieure (ENS) de Bechar, le ministre a procédé à l’inauguration officielle du bureau local de la stratégie numérique qui a déjà à son actif la numérisation des services de l’ENS, exécution des programmes de numérisation du ministère de tutelle, aussi connu sous l’appellation de Schéma directeur de numérisation (SDN). En outre, le ministre a inauguré la maison de l’intelligence artificielle (IA) et qui aura comme mission le développement des programmes initiés par les étudiants et chercheurs dans ce domaine. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique présidera, au terme de sa visite de travail dans la wilaya de Bechar, une séance de travail avec les membres de la famille universitaire.
ALGER - Le ministre de l'Economie de la connaissance, des start-up et des micro-entreprises, Yacine El-Mahdi Oualid participe en tant que représentant du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune au 6e "Sommet transform Africa" prévu du 26 au 28 avril à Victoria Falls (Zimbabwe), a indiqué, jeudi, un communiqué du ministère. Dans ses nombreuses interventions lors du Sommet, M. Oualid "a valorisé les efforts de l'Algérie dans le soutien de l'innovation et des élites créatives à la faveur des politiques publiques visant à adopter une économie basée sur la connaissance, des lois et législations mises en place en faveur des start-up et des projets innovants depuis 2020, outre les efforts visant à renforcer la coopération Afrique-Afrique dans ce domaine", souligne le ministère. Le ministre a également rencontré ses homologues africains qui ont mis en avant "l'importance de l'Algérie dans ce domaine", affirmant la nécessité de mettre en œuvre la déclaration d'Alger sur les start-up issue de la 1ere conférence africaine des start-up tenue en décembre 2022 en Algérie", ajoute la même source. Placé sous le thème "Communication, innovation et transfert", le Sommet vise "à permettre aux pays membres de se doter d'économies intelligentes plus concurrentielles, flexibles, ouvertes et innovantes". Le Sommet regroupe des dirigeants africains et les ministres chargés de l'économie numérique et des start-up, ainsi que des dirigeants mondiaux et régionaux représentant les Gouvernements, le secteur des Affaires et les organisations internationales dans le but d'asseoir une dynamique pour accélérer la révolution numérique en cours en Afrique, ajoute le communiqué. Le Sommet est organisé par l'initiative "Smart Africa Alliance", en coopération avec l'Etat du Zimbabwe, conclut le communiqué.