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Cancer du sein: appel à la création d’un Laboratoire national d’étude des cas familiaux

ALGER - La nécessité de créer un Laboratoire national d'étude des cas familiaux (génétiques) du cancer du sein, le plus répandu en Algérie avec près de 14.000 cas/an, a été mise en avant samedi à Alger. Lors d'une rencontre de sensibilisation au dépistage précoce du cancer du sein, organisée en faveur des femmes journalistes, à la maison de presse Tahar-Djaout, des spécialistes ont appelé à la création d'un Laboratoire national d'étude des cas familiaux de cancer du sein. A cette occasion, la cheffe de service chirurgie générale à l'Etablissement public hospitalier (EPH) "Djilali Rahmouni" (ex- clinique des Orangers), professeur Hamida Guendouz, a mis en exergue "le rôle des médias dans la sensibilisation de la société à cette maladie désormais très répandue", soulignant "la nécessité de créer un Laboratoire national d'étude des cas familiaux représentant entre 10 et 20% du nombre global de cas enregistrés". La spécialiste a déploré, en outre, l'atteinte de jeunes filles de cette pathologie touchant les sujets âgés de 55 ans et plus dans les pays développés, citant, par la même occasion, le progrès réalisé en Algérie en matière de prise en charge de cette maladie, classée "chronique". Lire aussi: Cancer du sein : invitation à institutionnaliser les opérations de dépistage précoce Et d'ajouter que grâce au dépistage précoce, 60% des cas présentent une bonne réponse au traitement et sont pris en charge à temps. Elle a, en outre, expliqué que certains facteurs de risque avaient été scientifiquement prouvés, dont l'âge (vieillissement), le mariage tardif et l'utilisation prolongée de contraceptifs, en plus du facteur génétique, qui représente entre 20 et 30 % des cas, l'obésité, une alimentation riche en graisses et en sucres, ainsi que l'exposition aux radiations et la prise de certains médicaments. De son côté, Dr Amina Abd el Wahab a indiqué que le traitement destiné aux patientes âgées atteintes de cancer du sein n'est pas le même que celui reçu par les jeunes porteuses de la maladie. Elle a également souligné que cette dernière catégorie ne consulte généralement un spécialiste que lorsque la maladie est à un stade avancé, en raison, selon elle, d'une mauvaise orientation et du fait que les spécialistes ne sont pas consultés. Elle a ajouté que "80%" des cas de cancer du sein sont soumis à une intervention chirurgicale et poursuivent le reste du traitement, en Algérie, y compris la radiothérapie. De son côté, la professeure Nadjia Chibane, spécialiste en imagerie médicale à L"EHP "Bachir Mentouri" à Kouba (Alger), a appelé à la réalisation de mammographies chez des spécialistes pour le dépistage de la maladie, et en cas d'impossibilité, elle a recommandé de soumettre les résultats à plusieurs experts pour confirmer la présence ou l'absence de la tumeur. Pour sa part, Linda Amina, nutritionniste, a mis en garde contre la consommation excessive de certains aliments riches en matières grasses, en sucres et en colorants alimentaires, notamment les aliments industriels, tout en recommandant de manger du poisson, des légumes et des fruits, en particulier ceux riches en antioxydants.
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Coup d’envoi du 5e concours de programmation pour étudiants universitaires

KHENCHELA - Pas moins de 150 étudiants représentant 20 universités du pays participent à la 5ème édition du concours de programmation pour étudiants universitaires dont le coup d’envoi a été donné samedi à l’université Abbas-Laghrour de Khenchela. Le Pr. Abdelouahed Chala, recteur de l’université hôte, a officiellement lancé ce concours organisé dans le grand auditorium sous le slogan "réfléchis, crée, analyse" et mis sur pied par le comité régional, en Algérie, de l’Académie arabe des sciences et de la technologie de la Ligue des Etats arabes. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le Pr. Chala a fait part de son espoir de voir le plus grand nombre possible d’équipes participantes se qualifier pour les compétitions arabo-africaine et internationale devant être organisées en Egypte en octobre et novembre prochains. Il a ajouté que ce concours permettra aux étudiants participants de développer leurs propres compétences en utilisant des méthodes de solution méthodologique et des algorithmes informatiques pour résoudre des problèmes industriels en élaborant des programmes pour arriver à la meilleure solution, le plus rapidement possible, et en utilisant le moins d’espace possible de mémoire informatique. Pour sa part, Imane Rahmani, représentante du comité régional de l’Académie arabe des sciences et technologies, a indiqué que 50 équipes totalisant 150 étudiants et 50 encadreurs représentant des universités et des écoles supérieures de 20 wilayas du pays se disputeront le "sésame" pour une participation à la compétition arabo-africaine. Elle a également rappelé aux représentants des équipes participantes les règles du concours, notamment l’interdiction d’utiliser tout moyen électronique ou ressource papier, notant que des professeurs et des experts spécialisés affiliés à l’Académie arabe des sciences et de la technologie présideront le jury du concours qui annoncera dimanche, l’identité des lauréats des premières places de cette activité scientifique. La première journée de cet événement scientifique a donné lieu à une virée des étudiants participants dans différents lieux touristiques de la wilaya de Khenchela, avant l’organisation, à la bibliothèque centrale de l’université Abbas-Laghhour, d’un concours expérimental, de mise en condition. Auparavant, le jeune Oussama Kantari, un enfant de Khenchela, directeur de plusieurs startups dans le domaine de l’informatique, avait présenté aux étudiants participants son expérience dans le domaine des logiciels, leur prodiguant de nombreux conseils en prévision de la compétition scientifique proprement dite qui débutera dimanche.
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Rentrée universitaire: réception de 40.000 nouvelles places pédagogiques et de plus de 21.000 lits

ALGER - Le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique sera  doté, à l'occasion de la rentrée universitaire 2023-2024, de 40.000 nouvelles places pédagogiques et de plus de 21.000 lits, en vue d'améliorer la capacité d'accueil des étudiants, a indiqué le Directeur des Finances au ministère de l'Enseignement supérieur, Abdelhakim Djebrani. Dans une déclaration à l'APS, M. Djebrani a affirmé que le secteur de l'Enseignement supérieur accordait une importance majeure à l'amélioration de ses structures à même d'accroître la capacité d'accueil des étudiants et de répondre à leurs besoins. A cet égard, plusieurs structures pédagogiques et de services seront réceptionnées, à l'instar des structures d'hébergement en vue de satisfaire les besoins académiques et socioculturels de cette catégorie. D'une valeur totale de 44,75 milliards de dinars, le nombre des nouvelles places pédagogiques s'élève à 40.000 réparties sur huit (8) wilayas. Ces places viendront renforcer le secteur dans les wilayas de Tizi Ouzou avec 3.000 places, Tébessa (8.000), Alger (16.000), Jijel (3.000), Annaba (1.000), Guelma (2.000), Oran (1.000) et Souk Ahras (6.000). Le responsable a fait état, en outre, de l'achèvement des travaux de réalisation et d'équipement d'une grande partie des structures, tandis que certaines sont en cours d'équipement pour leur mise en exploitation prochainement. En ce qui concerne l’hébergement, le secteur devra réceptionner 21.500 lits au niveau de 9 wilayas, à savoir: 4000 lits à Tébessa, 3000 à Tiaret, 4000 à Tizi Ouzou, 2000 à Sétif, 1500 à Ouargla, 3000 à Guelma, 1000 à El Tarf, 1000 à Aïn Defla, et 1000 autres à Tipasa. La valeur totale du programme s'élève à 25,75 milliards Da, a-t-il souligné, rappelant que les travaux ont été entièrement achevés au niveau des résidences universitaires, à l'exception de celle de Tipasa où le taux d'avancement des travaux a atteint 95%. Le responsable a passé en revue les services et les activités assurés au profit des étudiants, citant notamment les services de soutien socio-psychologique, les workshops, les activités culturelles, sportives et scientifiques, le but étant de "permettre aux étudiants de se forger une expérience globale, d'établir des contacts et une interaction entre eux et de les encourager à échanger leurs connaissances". Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avait fixé la date de la rentrée universitaire 2023-2024 au 23 septembre 2023.
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Santé: installation des inspections régionales relevant de l’inspection générale du ministère

ALGER - Les inspections régionales relevant de l'Inspection général de la Direction centrale du ministère de la Santé ont été installées jeudi à Alger, a-t-on appris du même ministère. En application du décret exécutif n  216-23, du 7 juin 2023 paru dans le numéro 40 du journal officiel, et de la décision du 17 juillet 2023 parue dans le numéro 59, les inspections régionales relevant de l'inspection générale de la Direction centrale ont été installées au niveau du ministère. Ces inspections s'occuperont, dans la limite de leurs compétences territoriales, du travail d'inspection, de contrôle, et de surveillance des organes, des structures et institutions privées et publiques relevant du secteur de la santé, ou placés sous l'autorité de l'inspecteur général de la santé, ajoute la même source. La mission des inspecteurs régionaux -ajoute le communiqué- consistera à veiller sur l'utilisation rationnelle et idoine des ressources humaines, financières et matérielle, ainsi que des équipements médicaux pour la réalisation des objectifs tracés, en plus du control des conditions générales d'hygiène et de sécurité sanitaire dans les organes et institutions de santé publique et privées, ainsi que dans les institutions de formation relevant du secteur de la santé.
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Dermatite atopique: nécessité d’introduire de nouveaux médicaments

ALGER - La cheffe de service Dermatologie à l'hôpital Mustapha-Pacha, Pr Samira Zoubiri a appelé, mercredi à Alger,  à l'introduction de nouveaux médicaments sur le marché algérien pour améliorer la prise en charge des patients. Intervenant lors d'un séminaire organisé à l'occasion de la journée mondiale de la dermatite atopique (14 septembre de chaque année), Pr Zoubiri a indiqué que cette maladie "peut atteindre les enfants et les adultes des deux sexes leur causant souvent une gêne dans leur quotidien, d'où la nécessité d'introduire de nouveaux médicaments à même d'améliorer leur état de santé". Evoquant les nourrissons exposés à cette maladie, la spécialiste a souligné le taux élevé chez les enfants âgés entre 3 et 6 ans. La dermatite atopique se manifeste sous forme de taches de rougeur sur les joues et bien d'autres parties du corps causant des démangeaisons sévères et des perturbations de sommeil, a expliqué Mme Zebiri. La spécialiste a cité, par la même, plusieurs facteurs dont certains sont d'ordre génétique, rappelant également la déshydratation de la peau, la pollution environnementale, la consommation du tabac et le stress qui ne font que compliquer la maladie. Elle peut causer aussi la sinusite et l'allergie. Rappelant que les symptômes de la dermatite se manifestent chez l'adulte au niveau des mains, Mme Zoubiri a mis l'accent sur la nécessité d'une prise en charge psychologique du malade compte tenu de ses répercussions sur la santé psychologique pouvant aller jusqu'à la dépression.
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Intelligence artificielle et médias: enjeux éthiques et moraux en débat à Alger

ALGER - Les enjeux éthiques et moraux de l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) dans les médias ont fait l'objet d'un débat, mercredi à Alger, lors de la 1ère édition du forum Mediacom sur les défis des médias à l'ère de la numérisation. Il a été relevé à cette occasion, que l'IA est en train de "révolutionner" de nombreux secteurs d'activité, dont les médias, et que si certains craignent que l'IA ne remplace les journalistes, d'autres pensent qu'elle va au contraire les libérer pour se consacrer à des tâches essentielles. Des intervenants ont fait observer que cette nouvelle technologie est déjà largement utilisée dans le domaine du journalisme, pour des tâches aussi diverses que la traduction, la synthèse de données, la vérification de l'information ou la création de contenu tels que les articles, vidéos ou infographies, "ce qui peut libérer les journalistes pour se concentrer sur des tâches plus créatives", ont-ils estimé. Lire aussi: Les défis des médias à l'ère du numérique en débat à Alger Ils ont considéré, en outre, que "l'IA n'est pas une menace pour les journalistes, mais un allié qui peut les libérer des tâches les plus répétitives ou les plus techniques, offrant ainsi de nouvelles opportunités, posant toutefois des enjeux éthiques et moraux importants". A cet égard, différents intervenants ont exhorté les journalistes à assumer la responsabilité du contenu produit par l'IA, en s'assurant que le contenu soit exact et impartial, d'où la nécessité de respecter les normes éthiques du journalisme. Ils ont plaidé à ce propos, à ce que les journalistes s'engagent dans une réflexion éthique sur l'utilisation de l'IA, à établir des codes de déontologie et des normes professionnelles pour l'utilisation de cette technologie. Les travaux de la 1ère édition du forum Mediacom sur "les défis des médias et de la communication à l'ère du numérique et des nouvelles technologies" ont débuté mardi à Alger, et dureront trois jours.
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Les défis des médias à l’ère du numérique en débat à Alger

ALGER - Des intervenants à la 1ère édition du forum Mediacom sur les défis des médias à l'ère de la numérisation ont mis l'accent, mardi à Alger, sur l'importance de promouvoir davantage le secteur afin de lui permettre de jouer efficacement son rôle dans le développement socio-économique du pays. Cette rencontre de trois jours, à laquelle ont pris part des acteurs du secteur de la communication ainsi que des représentants d'entreprises économiques et financières, est un espace consacré à l'"interaction active sur les questions relatives à l'impact des nouvelles technologies numériques sur les médias et les sociétés", a indiqué un représentant du ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, parrain de l'évènement. "Le ministère de l'Economie de la connaissance attache une grande importance aux sujets qui feront l'objet d'échanges lors de ce premier événement du genre, tels que les problèmes de l'intelligence artificielle dans le domaine des médias et les pratiques médiatiques à la lumière des transformations dans le domaine des technologies de la communication", a-t-il expliqué, estimant que cet espace débat est devenu nécessaire pour comprendre leurs effets et réfléchir à de nouveaux modèles. Dans le même sens, des intervenants ont relevé un "bouleversement" du paysage médiatique induit par le numérique avec l'émergence de nouveaux acteurs et l'évolution des attentes du public, ajoutant que cela pose des défis aux médias traditionnels, qui "doivent s'adapter à ce nouvel environnement pour continuer à exister et à jouer un rôle important dans la société". Lire aussi: Début des travaux du 1er forum Mediacom à Alger A cet égard, il a été proposé une forte présence des médias sur le Net, notamment à travers les plateformes numériques les plus populaires, telles que les réseaux sociaux, les moteurs de recherche et les sites d'actualités, tout en créant du contenu de qualité adapté à ces plateformes afin de toucher un public plus large. L'importance de former les publics aux médias numériques, afin qu'ils puissent les utiliser de manière critique et responsable a été également mise en exergue par des intervenants qui ont proposé de dispenser l'éducation aux médias dès le plus jeune âge. Par ailleurs, M. Ibrahim Baaziz, expert dans le domaine juridique, a mis en avant les avancées juridiques dans le domaine médiatique, citant le texte de loi organique relatif à l'information qui veille à garantir le libre exercice de l'activité journalistique, tout en appelant à la mise en œuvre des textes d'application. De son côté, Mme Malika Atoui, universitaire, a souligné l'importance de la formation des journalistes, notamment à l'ère des nouvelles technologies, afin de pouvoir jouer un rôle essentiel dans la société. "Cette formation doit toucher notamment les étudiants et être axée sur la recherche de l'information, l'écriture, la déontologie et le respect de l'éthique", a-t-elle ajouté.
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Mostaganem: 2es Journées nationales médico-chirurgicales mercredi

MOSTAGANEM - La Faculté de médecine de l'Université "Abdelhamid Ibn Badis" de Mostaganem abritera à partir de mercredi les 2èmes Journées nationales médico-chirurgicales, auxquelles prendront part environ 150 chirurgiens et chercheurs dans divers domaines médicaux, a-t-on appris des organisateurs. Cette manifestation scientifique verra la participation d'environ 150 chirurgiens et chercheurs de dix universités de différentes régions du pays à travers une quarantaine de communications orales et une centaine affichées, a indiqué le président du comité d'organisation, Pr Benkada Mohamed Benamar. La rencontre, à laquelle prendront part également des médecins de plusieurs centres hospitalo-universitaires et établissements hospitaliers, vise à échanger les connaissances et expériences entre chirurgiens de différentes facultés de médecine et à faire connaître les derniers développements liés à la formation médicale, notamment dans les domaines de la neurochirurgie, médecine interne, orthopédie et urgences médico-chirurgicales. Le programme de cette manifestation scientifique comprend l'organisation d'ateliers mercredi et de conférences jeudi, qui aborderont l'oncologie et les maladies chroniques comme le diabète, la tension artérielle, les urgences médico-chirurgicales, avec la participation d'environ 300 étudiants en médecine de diverses universités. Initiées par la faculté de médecine de l’université de Mostaganem, ces journées nationales médico-chirurgicales sont enfin organisées pour une deuxième édition après  plusieurs reports dans les années écoulées en raison de la pandémie du Covid-19.
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Rencontre internationale sur l’adaptation des capacités universitaires au marché du travail

MOSTAGANEM - Une rencontre internationale d’évaluation du projet de coopération européenne avec comme thème "l'adaptation des capacités universitaires au marché du travail", se tient à l’université "Abdelhamid Ibn Badis" de Mostaganem, a-t-on appris du vice-recteur chargé des relations extérieures, de la coopération, de l’animation et de la communication de cet établissement d’enseignement supérieur. Cette rencontre, inscrite dans le cadre du projet "renforcement des capacités des étudiants universitaires en prévision de l’adaptation au marché du travail régional dans le cadre du développement durable" et du projet de coopération européen "Erasmus", enregistre la participation de sept universités de Mostaganem et de Tlemcen (Algérie), l’université technique de Riga Latvia (Lettonie), l’université technique de Dresde (Allemagne), l’université du Nil (Egypte), l’université pour la technologie "Princesse Sumaya" et l’université des sciences et technologie d’Irbid (Jordanie). Les participants aborderont, quatre jours durant, les activités dans le cadre de ce projet et leur concrétisation, notamment en ce qui concerne la création du centre de formation destiné aux étudiants en architecture, a-t-on indiqué. Lire aussi: USTO/Erasmus: plus de 200 mobilités d’étudiants, d’enseignants et de travailleurs vers des universités européennes En outre, les experts participants procèderont à l’évaluation des résultats des différentes initiatives et à l’encouragement de la coopération et d’échange d’expériences entre les différentes universités participantes à cette rencontre, ouverte ce lundi. Ce projet vise à former un groupe de diplômés universitaires pour acquérir, en plus de connaissances académiques, le savoir-faire dans les domaines sociaux pour les adapter aux différents, environnements du travail, a ajouté la même source.
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Plus de 90 exposants au 2e Salon du e-commerce et des services en ligne

ALGER - La 2e édition du Salon du e-commerce et des services en ligne (ECSEL), prévu du 20 au 24 septembre 2023 au Palais des expositions (Alger), verra la présence de plus de 90 exposants avec la participation d'experts internationaux pour animer des conférences sur le commerce et les services en ligne, ont indiqué lundi les organisateurs de cet évènement. Lors d'une conférence de presse, le représentant du commissariat du Salon "ECSEL", Redouane Hammou a souligné que les exposants qui prendront part à cette 2e édition activent dans le e-commerce, mais aussi dans de nombreux domaines à l'instar des services logistiques et technologiques et des établissements financiers. Organisé sous l'égide des ministères du Commerce et de la Promotion des exportations, de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, de la Poste et des Télécommunications et de la Numérisation et des Statistiques, le Salon prévoit environ 50.000 visiteurs qui seront accueillis sur une surface de 4.700 m2. Pour M. Hammou, le "succès" de la 1ere édition du Salon, qui a réuni 60 exposants, a incité plusieurs entreprises à organiser la 2e édition afin d'exposer leurs services aux visiteurs. L'objectif de ce salon, poursuit-il, est d'unifier "les efforts en vue de développer le secteur du commerce et les services électroniques en encourageant leur utilisation par les citoyens et les entreprises". Cet événement permettra également d'organiser le pris "ECSEL" pour le meilleur service électronique, et d'accompagner les porteurs de projets à travers le programme des conférences. Le même intervenant a indiqué que 13 débats et conférences seront animés par des professionnels algériens activant dans les domaines du commerce et des services électroniques contre 4 conférences animées durant la première édition. Il a également annoncé qu'une conférence intitulée ECSEL Talks sera organisée au niveau de la salle Ali Maâchi, qui va abriter, par visioconférence, la Conférence du marketing digital (WebCongress), regroupant les acteurs majeurs dans le domaine de la technologie au niveau mondial, ajoutant que le partenariat entre les deux organisations constituait le premier pas de la Conférence en Afrique.