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Oran: ouverture du 1e Salon international « sport, santé et nutrition »

ORAN - La première édition du salon international "sport, santé et nutrition" s'est ouverte lundi à Oran avec la participation de pas moins de 40 exposants, dont cinq étrangers représentant notamment l’Allemagne, l’Espagne et l’Egypte. Organisé par la société "Oufouk", spécialisée dans l’accompagnement des investisseurs et l’organisation des évènements professionnels, ce salon, qui se poursuivra jusqu’au 18 janvier en cours au Centre des conventions Mohamed-Benahmed, vise à "encourager la pratique sportive dans un cadre sain", a déclaré à l’APS la représentante de l’entreprise organisatrice, Bennabi Chahrazed. "Nous avons remarqué que plusieurs jeunes recourent à des compléments alimentaires nuisibles au corps et à la santé. D’autres usent de produits à haut risque dans l’optique de perdre du poids. Cet évènement, auquel prennent part des professionnels de sport, des nutritionnistes et des médecins, est une aubaine pour les visiteurs pour profiter des conseils prodigués par ces spécialistes", a-t-elle précisé. Des invités de marque sont attendus à ce rendez-vous, à l’instar de l’Egyptien Mamdouh Hassan Elssbiay, plus connu sous le célèbre surnom de "Big Ramy", premier champion du monde arabe en bodybuilding, et le coach français spécialisé dans la condition physique, Didier Reiss. Ces derniers, en plus d’autres professionnels du monde du sport, animeront, en marge de ce salon, des conférences et prodigueront de précieux conseils aux pratiquants, a encore souligné Mme Bennabi. Au niveau des stands du salon, on procède aussi à l’exposition et vente de matériels et équipements sportifs, ainsi qu'à la présentation de cours dans la préparation de repas sanitaires, souligne-t-on de même source. Le salon a connu, au cours de son premier jour, une affluence nombreuse de la part des spécialistes et des amateurs de sport, d’autant plus que l’occasion est propice pour se procurer, entre autres, équipements, articles sportifs et compléments alimentaires certifiés à des prix jugés intéressants, profitant des réductions proposées par certaines entreprises participantes.
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Augmentation du nombre des médecins spécialistes au profit des régions du Sud

ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a annoncé, dimanche à Alger, l'augmentation du nombre des médecins spécialistes au profit des régions du sud, afin de garantir "une couverture sanitaire large et équitable pour toutes les régions du pays". Lors d'une rencontre d'évaluation du Plan d'action du malade (PAM), le ministre a précisé que le budget du secteur pour cette année "a atteint plus de 42 milliards DA", ce qui contribuera à "assurer une couverture sanitaire large et équitable pour toutes les régions du pays". A ce propos, il a fait état de l'affectation de "146 spécialistes aux régions du sud, tout en œuvrant à la formation de 200 spécialistes/an pour les affecter à ces régions". Le ministre s'est, en outre, félicité, des résultats du secteur en matière de promotion des prestations du Service public, affirmant que la transformation des salles de soin en centres sanitaires "a contribué au rapprochement de la Santé du citoyen, notamment pour la sélection des patients dont l'état de santé nécessite une prise en charge au niveau des établissements hospitaliers". Le ministère a mis en place un programme pour la prise en charge des patients cancéreux par la création de petits centres spécialisés, a-t-il ajouté. Concernant la formation, le responsable a souligné que le ministère avait "consentis des efforts considérables pour actualiser les connaissances et se mettre, ainsi, au diapason des avancées réalisées en la matière, dans l'objectif de doter les nouveaux et anciens établissements des compétences nécessaires". Quant à la numérisation du secteur, M. Saihi a rappelé que "l'opération commence à donner ses fruits sur le plan de l'organisation des urgences médico-chirurgicales et de la gestion du dossier du patient". Il a été procédé, lors de cette rencontre, à la présentation des résultats du PAM par le DG des services de la santé au ministère, Pr. Lyes Rehal qui a souligné "la nécessité de poursuivre les efforts afin de promouvoir les conditions de travail et les prestations destinées aux patients".
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Télécommunications: un espace web dédié aux investisseurs

ALGER - Le ministère de la Postes et des Télécommunications a lancé un espace dédié aux investisseurs sur son nouveau site web "www.mpt.gov.dz", mettant en évidence les opportunités d'investissement offertes par le secteur, indique dimanche un communiqué du ministère. "En contribution du secteur de la Poste et des Télécommunications à la mise en œuvre des engagements du Président de la République relatifs à l'amélioration du climat des investissements et à la création des conditions appropriées pour libérer l'esprit d'initiative et diversifier l'économie nationale, un espace a été réservé sur le nouveau site du ministère (www.mpt.gov.dz) mettant en évidence les opportunités d'investissement offertes par le secteur", précise le communiqué. Cet espace inscrit sous la rubrique "Espace investisseur", vise à mettre en évidence "les opportunités d'investissement offertes par le secteur et à fournir un guide expliquant l'ensemble des procédures relatives à la demande de licences pour les activités de la poste et des communications électroniques, ainsi que les procédures relatives à la certification des équipements de la poste et des communications électroniques et celles relatives aux équipements sensibles des télécommunications", note la même source.
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L’usine de production de cristaux d’insuline, devant être réalisée à Batna, est « l’unique en Afrique »

BATNA - L’usine de production de cristaux d’insuline, prévue dans la wilaya de Batna, est "l’unique en Afrique", a souligné dimanche le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, lors d'une visite d'inspection sur le terrain choisi à la cité Kechida (Batna) pour l’implantation de cette future unité relevant du groupe Saïdal. L’Algérie "sera parmi les premiers pays africains à fabriquer ce produit", a indiqué le ministre, ajoutant que "ce qui n’était qu’un rêve il y a une dizaine d’années, sera bientôt une réalité, bien matérialisée sur le terrain". S’agissant de la capacité de production de l’usine, estimée à 1.500 kg par an de cristaux d’insuline, M. Aoun a indiqué que les besoins de l’Algérie en insuline, en tant que produit fini, sont estimés à 500 kg ce qui permettra de destiner le reste à l’exportation. Le ministre a également souligné que sa seconde visite à l’unité commerciale de Saïdal, à Batna, "reflète tout l’intérêt de (son) département pour le développement de l’industrie dans cette wilaya qui commence à s’imposer en tant que wilaya industrielle par excellence", et "une impulsion à la fabrication de médicaments, et d’insuline en particulier". Il a insisté, à cette occasion, sur la nécessité d’entamer la réalisation de l’usine "avant le début du mois de juin prochain", d’autant, a soutenu le ministre, que toutes les conditions sont réunies. Il a souligné, à ce propos, que le démarrage de la production de ce produit "permettra le parachèvement de la chaîne de production d’insuline au niveau national, de la matière première jusqu’aux stylos à insuline". Selon les explications fournies au ministre par les responsables centraux et locaux du groupe Saïdal, la future usine de production de cristaux d’insuline, fruit d’un investissement de 13 millions de DA, à réaliser sur une superficie de 6.000 m2 près du siège de l’unité commerciale de l’entreprise, dans la zone industrielle de Kechida, aura une capacité de production de 1.500 kg par an de cristaux d’insuline. Les travaux de réalisation de l’usine, qui générera 200 emplois à sa mise en service, seront entamés "au cours du premier semestre de cette année", pour un délai de 36 mois, "avec un transfert total de technologie", a-t-on assuré in situ. M. Aoun avait entamé sa visite à Batna par l’inspection d’une usine de production de céramique, dans la commune de Fesdis, où il a longuement écouté des explications autour de l’activité de l’unité, les matières premières utilisées, ses capacités de production, ainsi que les pays vers lesquels le produit a été exporté. Le ministre a remis, à cette occasion, l’autorisation définitive d’exploitation à l’opérateur ayant initié cette usine, avant de rappeler les instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, quant à la levée de tous les obstacles entravant les projets d’investissement. Après avoir remis, à Oued Chaâba, une autorisation exceptionnelle d’exploitation au propriétaire de l’usine "Sariak Auto Handler-Baic" de production de véhicules motorisés, M. Aoun s’est rendu à Barika où il a inauguré une zone d’activités (Barika-2) et écouté un certain nombre de préoccupations soulevées par des investisseurs de la région. Le ministre devait poursuivre sa visite à Batna en inspectant la zone industrielle de la commune d’Ain Yagout pour y inaugurer une unité de production de céramique.
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Valoriser les résultats de la recherche scientifique pour ériger l’Université en locomotive de l’économie nationale

ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a mis l'accent, dimanche à Alger, sur la nécessité de valoriser les résultats de la recherche scientifique et de les commercialiser pour ériger l'Université en locomotive de l'économie nationale. Présidant une conférence consacrée à la présentation des résultats de la recherche scientifique et du bilan des activités de la Commission nationale de coordination et de suivi de l'innovation et des incubateurs universitaires, M. Baddari a précisé que pour ériger l'Université en locomotive de l'économie nationale, "il convient de valoriser les résultats de la recherche scientifique et de travailler à leur commercialisation à travers l'établissant de ponts de coopération avec le partenaire économique, public ou privé". Après avoir incité les étudiants à s'orienter vers l'innovation et l'économie de la connaissance, M. Baddari a appelé ces derniers à profiter des facilitations offertes par les autorités dans le domaine de la création de leurs start-up et à créer ainsi des postes d'emplois pour eux-mêmes et leurs pairs. Le ministre a, également, affirmé que la nouvelle approche de l'université vise à rendre cette dernière une institution sociétale au service de son environnement socioéconomique, à travers les solutions scientifiques et pratiques aux problématiques posées, face aux défis imposés dans différents domaines, relevant que cela s'inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre du 41e engagement du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Par ailleurs, il a rappelé les mesures prises pour permettre aux centres de recherche scientifique de commercialiser les modèles de recherche afin de concrétiser le principe de valorisation des résultats de la recherche scientifique au service de l'économie nationale. A cette occasion, le bilan des activités de la Commission nationale de coordination ui veille à la mise en œuvre de l’arrêté ministériel n-1275 (un diplôme, une start-up/un diplôme, un Brevet), a été présenté, où 1.700 projets ont été enregistrés pour la création de micro-entreprises, en sus de 405 projets "labellisés" et plus de 1.400 brevets d'invention. Il s'agit également de 3.800 projets enregistrés sur la plateforme startup.dz, et l'examen de 6.075 projets relatifs à l'innovation dans les trois cycles universitaires (licence, master, doctorat). Au cours de cette conférence, des exemples de projets des programmes nationaux de recherche (sécurité alimentaire, sécurité énergétique et santé des citoyens) ont été présentés, ainsi que des modèles de projets sur les volets sociaux et économiques, à l'instar du projet de conception d'un appareil de traitement des déchets médicaux utilisant la technologie de l'ozone réalisé par l'Université de Sidi Bel Abbès.
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Appel à traduire les œuvres écrites en tamazight pour leur donner une visibilité

ALGER - Des participants à une rencontre sur la traduction, ont appelé à traduire les œuvres écrites en tamazight vers d'autres langues et la création d'une néologie lexicale en tamazight pour donner une large visibilité aux œuvres écrites dans cette langue nationale. S'exprimant lors d'un atelier sur le rôle de la traduction dans la diffusion des œuvres littéraires et scientifiques écrites en langue amazighe, l'universitaire Ali Lounis, a expliqué que "le néologisme est un procédé indispensable dans le processus de normalisation et de l'évolution des langues". Pour cet enseignant de tamazight, la traduction vers cette langue et l'utilisation d'une terminologie "correcte" devront contribuer à mettre à la disposition des lecteurs et utilisateurs de cette langue des "lexiques répondant aux évolutions technologiques et aux domaines de la science", désormais explorés par les auteurs en tamazight. L'universitaire a constaté que la traduction (vers tamazight) entraine parfois des "incohérences syntaxiques" et par conséquent, une terminologie "erronée" consacrée par l'usage. De son côté, l'universitaire Ramdane Touati, a estimé que "le néologisme fait évoluer la langue amazighe" à travers notamment l'emprunt lexical, un procédé utilisé par toutes les langues écrites, tout en mettant en garde contre le recours abusif à cette pratique. Le chercheur Aziri Boudjemaa, a évoqué, pour sa part, le processus de traduction à travers des procédés utilisant notamment l'intelligence artificielle. Relevant une création néologique dans la langue amazighe, il a fait remarquer que tamazight est encore "en phase d'aménagement linguistique", malgré une production littéraire écrite "importante depuis 1980". M. Aziri, qui a traduit "L'wali g'Oudrar" (Le saint de la montagne), premier roman en tamazight de Belaid Ath Ouali (1909-1950), publié en 1940, a estimé que "beaucoup de romans écrits en tamazight gagneraient en visibilité s'ils sont traduits". Des étudiants du département de traduction de l'université de Béjaïa, universitaires et des praticiens de la traduction, ont participé à cet atelier, organisé dans le cadre du programme culturel accompagnant les festivités officielles célébrant, Yennayer, le nouvel an amazigh 2974.
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Dahleb: 412 structures de gestion des déchets ménagers réalisées jusqu’en 2023

ALGER - La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fazia Dahleb a affirmé lundi à Alger, que dans le cadre du programme national de gestion des déchets ménagers, 412 structures ont été réalisées jusqu'en 2023 pour préserver la propreté des espaces publics et améliorer le cadre de vie du citoyen. La ministre intervenait ainsi lors d'une séance d'audition par la commission de l'Agriculture, de la Pêche et de la Protection de l'environnement à l'Assemblée populaire nationale (APN), consacrée à la présentation d'un exposé sur la stratégie et les perspectives de développement du secteur de l’Environnement et des Energies renouvelables. Ces réalisations se traduisent par la mise en place de 117 centres d'enfouissement technique (CET) des déchets ménagers et assimilés, 52 CET de déchets solides, 156 décharges réhabilitées, 16 centres de recyclage et 10 centres de transfert. Ce bilan comprend la réalisation de 15 centres de tri, 31 unités de traitement du lixiviat des déchets et 15 unités de compostage, a-t-elle ajouté rappelant que la stratégie nationale de gestion des déchets ménagers adoptée jusqu'à l'horizon 2035 est basée sur la récupération et le recyclage des déchets "qui constitue un domaine d'investissement économique prometteur en Algérie". S'agissant de la gestion et de la valorisation de déchets spéciaux et de déchets dangereux, les services du ministère ont procédé à l'accompagnement des opérateurs économiques dans ce domaine et ce par l'accréditation de 464 entreprises de collecte des déchets spéciaux et de déchets spécifiques et dangereux, dont 114 en 2023, et l'agrément de 170 entreprises de transport des déchets spécifiques et dangereux, dont 44 autorisations au cours de l'année dernière. En outre, 35 entreprises ont été habilitées pour exporter des déchets spécifiques et dangereux, dont 5 en 2023 et 18 autres ont été autorisées pour exporter ces déchets dont 7 en 2023, selon le bilan présenté. Mme Dahleb a indiqué, à ce propos, que son secteur a adopté une stratégie nationale intégrée de gestion des déchets à l'horizon 2035, dont l'objectif global est d'atteindre une "société à zéro déchets, de développer une économie circulaire et une économie verte, et de garantir l'accompagnement à travers des plans nationaux de mise en œuvre et des outils de suivi et d'évaluation efficaces". Lire aussi: Environnement: un nouveau plan d'action pour l'amélioration de la gestion des déchets Dans son exposé sur les projets liés aux énergies renouvelables, la ministre a expliqué que le projet d'installation de centrales solaires au niveau des toits du siège du ministère de l'Environnement et des Energies Renouvelables, des directions et des maisons de l'environnement au niveau national, ainsi que des sièges des institutions placées sous tutelle (82 sièges au total d'une capacité productive globale de 1 mégawatt), a été lancé en mai 2023. Le taux d'avancement des travaux est de 30%, a-t-elle dit. Plusieurs opérations ont également été réalisées dans le domaine des énergies renouvelables, notamment le raccordement au réseau des petites centrales solaires destinées aux agglomérations dans les zones enclavées, en particulier dans le Sud (2000 unités), ainsi que l'installation de l'éclairage public à l'énergie solaire dans les régions montagneuses et enclavées (5000 points lumineux), outre le lancement d'études pour la réalisation d'une centrale géothermique et de valorisation énergétique des déchets organiques en préparation du lancement d'un projet pilote de création d'une unité de production de biogaz. Evoquant la stratégie nationale de gestion intégrée des déchets et sa valorisation à l'horizon 2035, la ministre a indiqué que cette stratégie permettrait à l'Algérie de réduire d'environ 10% les déchets ménagers et similaires, de valoriser 47% de ces déchets ménagers et spéciaux, ainsi que 60% des déchets non dangereux, pour une valeur financière pouvant atteindre 88 Mds Da, avec la possibilité de créer 30.000 emplois directs et 70.000 emplois indirects.
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Introduire des médicaments innovants pour le traitement de l’hypertension pulmonaire

ALGER - Des pneumologues, des spécialistes en médecine interne et des associations de malades ont appelé, samedi à Alger, à l'introduction de médicaments innovants au protocole de traitement, pour améliorer la situation des patients souffrant d'hypertension pulmonaire. Les intervenants à une journée scientifique sur l'hypertension pulmonaire, ont indiqué que parmi 14 médicaments prescrits pour le traitement de cette pathologie, 3 seulement sont agréés en Algérie, appelant à renforcer la liste de médicaments utilisés pour le traitement de cette maladie. Dans ce contexte, Pr Rachida Yahiaoui, pneumophtisiologue au CHU de Beni Messous, a qualifié l'hypertension pulmonaire de "maladie rare qui nécessite une prise en charge complète par un traitement innovant", relevant l'existence de cas de cette maladie relatifs aux personnes atteintes de malformation cardiaque et d'autres liés à l'infection par le VIH/SIDA, ainsi que d'autres cas liés aux kyste hydatique. Dans son exposé, Pr Mercier Olaf, spécialiste en transplantation cardio-pulmonaire, a expliqué les différentes étapes d'une greffe pulmonaire au profit des personnes atteintes d'hypertension pulmonaire, précisant que cette opération nécessite l'intervention de plusieurs spécialités, outre un suivi scrupuleux du patient. Pour sa part, Dr Nabila Slimani, spécialiste en médecine interne à l'hôpital de Birtraria, a salué l'organisation de telles rencontres qui vont contribuer, a-t-elle dit, à la formation d'un réseau de spécialistes et d'associations de malades, en vue de faire connaitre cette pathologie rare, soulignant l'importance du diagnostique précoce pour éviter toute complication. Par la même occasion, la présidente de l'Association nationale de l'hypertension pulmonaire, Khadidja Benali, a exprimé sa satisfaction quant aux efforts des autorités publiques pour la prise en charge de cette maladie et de son inscription à la liste des maladies rares.
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Informations fallacieuses relayées sur des cas de Covid-19: démenti du ministère de la Santé

ALGER - Le ministère de la Santé a affirmé, samedi dans un communiqué, que la situation relative à la prévalence du Covid-19 était "tout à fait ordinaire", démentant toutes les informations relayées au sujet de l'apparition de prétendus cas "à très fort impact sur les citoyens" "Certains réseaux sociaux ont relayé des déclarations fallacieuses attribuées à un professeur de médecine à Alger, faisant état de l'apparition de cas de Covid-19, très contagieux et à très fort impact sur les citoyens, suscitant un sentiment d'inquiétude chez ces derniers", lit-on dans le communiqué. "Ces déclarations sont complètement infondées et n'ont pas été proférées par ce professeur, ni émané d'une quelconque instance habilitée à le faire", a souligné le ministère. Le ministère porte à la connaissance des citoyens que la situation est "tout à fait ordinaire" et "le taux d'incidence est de 1 à 2 cas d'atteinte par jour", appelant "à ne pas faire cas de ces déclarations et informations infondées, dont le seul but et de semer la panique parmi les citoyens".
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Poste: évolution significative des prestations et services depuis 2020

ALGER - Le secteur de la Poste en Algérie a connu une évolution significative durant les quatre dernières années avec une hausse des infrastructures et des services, selon un bilan rendu public samedi par le ministère de la Poste et des Télécommunications. En effet, le nombre de bureaux de poste fixe a atteint 4245 au début de l'année 2024 contre 3999 au début de 2020, soit une augmentation de 246 bureaux, précise la même source, ajoutant que le nombre de bureaux de poste mobile a plus que doublé atteignant les 89 début 2024 contre 39 début 2020. Concernant les guichets automatiques bancaires (GAB) d'Algérie Poste, leur nombre a également enregistré une évolution passant de 1400 à 1993 durant la même période, relève le ministère qui note que les espaces libre-service sont actuellement au nombre de 62 alors qu'ils n'existaient pas début 2020. Le ministère de la Poste et des Télécommunications a, par ailleurs, recensé 12,5 millions de détenteurs de la carte Edahabia début 2024, alors que ce nombre ne dépassait pas les 6 millions en 2020. Le nombre de transactions financières via la carte Edahabia a aussi progressé, passant de 5 à 66 millions durant la même période.