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BEM/Bac: toutes les dispositions prises pour assurer le bon déroulement des épreuves

ALGER- Les services du ministère de l'Education nationale ont pris toutes les mesures et dispositions pour le bon déroulement des examens du Brevet d'enseignement moyen (BEM) et du Baccalauréat session juin 2025, a affirmé le secrétaire général (SG) de l’Office national des examens et concours (ONEC), Mohamed Hadj Koula. Dans une déclaration à l'APS, M. Hadj Koula a précisé que "toutes les mesures et dispositions relatives à l'organisation des épreuves du BEM et du Bac (session juin 2025) ont été prises, pour assurer aux candidats des conditions optimales, dont la mobilisation de près d'un million de fonctionnaires du secteur de l'éducation pour l'organisation et l'encadrement de l'opération". Et de préciser que les sites dédiés au téléchargement des convocations pour les examens écrits "demeureront accessibles jusqu'à la fin des deux épreuves", et ce, a-t-il dit, "afin de permettre aux candidats de récupérer leur convocation en cas de perte". A cette occasion, M. Hadj Koula a invité les candidats des deux épreuves, dont le nombre dépasse 1.6 million, "à lire attentivement les instructions sur leurs convocations, et à repérer à l'avance le centre d'examen afin d'éviter tout retard, ainsi qu'à se munir de ladite convocation et de la carte d'identité pour les présenter à l'entrée du centre jusqu'à la fin des épreuves". Il a également souligné "la nécessité pour les candidats de rejoindre les salles d'examens au moins une demi-heure avant le début de chaque examen (matin et après-midi)", soulignant qu'il "est considéré en retard tout candidat arrivant après 8h00 pour le matin, et après 14h00 pour l'après-midi pour le BEM, et après 14h30 pour le Bac". S'agissant de la nature des sujets, "aucun changement n’est prévu par rapport aux années précédentes", a affirmé Mohamed Hadj Koula, précisant que "les sujets des épreuves seront puisés dans les cours dispensés en classes durant l'année scolaire". Il a, à cet égard, appelé les candidats "à éviter d'interagir avec les faux sujets circulant sur les réseaux sociaux", les invitant à "se concentrer plutôt sur la révision et la préparation, les deux examens étant des évaluations ordinaires tout comme les épreuves trimestrielles passées dans les établissements scolaires". Evoquant les principales mesures visant à garantir la transparence des examens, le responsable a rappelé notamment "l’interdiction stricte d’utiliser ou d’introduire dans les centres d’examen tout moyen de communication", soulignant que "la loi prévoit des sanctions à l’encontre de toute personne se présentant à la place d’un autre candidat". Quant au dispositif d’accompagnement psychologique des candidats, M. Hadj Koula a indiqué qu’en coordination avec les services du ministère de la Santé, "des psychologues seront mobilisés, comme chaque année, dans l’ensemble des centres d’examen afin d’aider les élèves à passer leurs épreuves dans le calme et sans aucune pression psychologique". A noter que l’examen du Brevet d’enseignement moyen (BEM) est prévu du 1er au 3 juin 2025, tandis que l’examen du Baccalauréat se déroulera du 15 au 19 juin 2025.
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Transparence: le ministère de l’Education nationale et la HATPLC signent une convention de coopération

ALGER-Une convention de coopération autour des mécanismes d'action commune dans le domaine de la transparence, de la prévention et de la lutte contre la corruption, a été signée samedi à Alger entre le ministère de l'Education nationale et la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption (HATPLC). La convention a été signée au siège du ministère par le ministre de l'Education nationale, M. Mohammed Seghir Sadaoui, et la présidente de la HATPLC, Mme Salima Mousserati, en présence des cadres des deux secteurs. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Sadaoui a expliqué que la signature de cette convention intervient en "concrétisation des hautes directives de l'Etat algérien portant adhésion au système d'orientation de toutes les institutions de l'Etat vers un engagement de transparence dans l'exercice des fonctions publiques, dans le but de moraliser la vie publique et d'impliquer tous les fonctionnaires dans l'engagement d'intégrité et de transparence". La convention vise à "ouvrir la voie à l'intégration de la culture de transparence dans les programmes pédagogiques pour former les générations futures à cette valeur ainsi qu'à la culture de protection des institutions publiques et des fonds publics, et à l'exercice des fonctions publiques avec intégrité", a ajouté le ministre. Le ministre a également souligné que la signature de la convention coïncide avec le début de la formation des cadres du ministère, concernant les principes et les orientations contenus dans les lois et les règlements régissant la HATPLC pour la moralisation de la vie publique. De son côté, Mme Mousserati a souligné que cette convention s'inscrit dans le cadre "des efforts continus des institutions de l'Etat pour renforcer la transparence, moraliser la vie publique et promouvoir l'intégrité et la responsabilité dans la gestion des affaires publiques, dont le président Abdelmadjid Tebboune a fait une priorité absolue pour construire une Algérie forte avec ses institutions". Cette démarche, ajoute Mme Mousserati, s'inscrit dans le cadre de "l'ouverture de la HATPLC à tous les secteurs, partant de sa conviction que la lutte contre la corruption est une responsabilité collective qui nécessite la conjugaison des efforts de tous", soulignant "la détermination de son instance à accompagner le secteur dans l'adoption de mécanismes préventifs au sein de son système de gestion". Dans le même contexte, elle a évoqué l'investissement que représente cette convention dans les générations futures à travers l'élaboration d'un plan de formation qui comprend l'enrichissement des programmes éducatifs et l'intégration des questions de lutte contre la corruption chez les jeunes dans les programmes scolaires pour permettre au secteur de l'Education de contribuer, a-t-elle dit, à "la mise en œuvre de la Stratégie nationale de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, lancée le 15 juillet 2023".
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Education: garantir la qualité de l’enseignement pour permettre aux élèves de passer les examens en toute confiance

ALGER- Le ministre de l'Education nationale, M. Mohammed Seghir Sadaoui a affirmé, jeudi à Alger, que les efforts des services de son département visent à garantir la qualité de l'enseignement au sein des établissements scolaires pour permettre aux élèves de passer les examens en toute confiance. Répondant aux questions des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Sadaoui a précisé que le ministère de l'Education nationale "s'engage à assurer les conditions d'un enseignement de qualité au niveau des établissements scolaires nationaux pour permettre aux élèves de passer les examens, notamment les examens finaux, en toute confiance". Pour accompagner les élèves, le ministre a rappelé que les établissements scolaires ont ouvert leurs portes aux élèves pendant les vacances, outre les cours dispensés par l'Office national de l'enseignement et de la formation à distance (ONEFD), via une plateforme spéciale ainsi que les cours diffusés sur certaines chaînes, à l'instar de la chaîne El Maarifa. Concernant le recours de certains élèves aux cours particuliers, M. Sadaoui considère que "la demande de cours supplémentaires en dehors des établissements scolaires ne pose pas de problème tant que cela reste conforme au programme éducatif", précisant que les prérogatives de son secteur, "ne couvrent pas les écoles de langues mais seulement les établissements de l'éducation nationale, publics et privés". Pour ce qui est de la surcharge, M. Sadaoui a rappelé avoir toujours insisté lors de ses visites d'inspection aux établissements scolaires à travers les différentes wilayas du pays, sur une série de mesures inscrites dans ce cadre, à l'instar des classes d'extension pour réduire la pression sur les établissements surchargés, rappelant que son département recense "12 millions d'élèves à travers 30.000 établissements, et plus d'un million de fonctionnaires". S'agissant du dernier statut des fonctionnaires du secteur, le ministre a souligné qu'il comportait de nombreux acquis visant à améliorer les conditions de la famille éducative, mettant en avant que "la qualité de l'enseignement repose sur plusieurs fondements, dont l'amélioration des conditions socioprofessionnelles des fonctionnaires, la fourniture d'équipements aux structures éducatives, l'intensification de la formation et l'amélioration des programmes".
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3270 écoles dotées de tablettes électroniques à l’échelle nationale

ALGER - Un total de 3270 écoles ont été dotées de tablettes électroniques à l'échelle nationale, a fait savoir, samedi, le directeur des systèmes d'information au ministère de l'Education nationale, Amara Ghalem. Intervenant en marge de la conférence nationale sur "l'évaluation de la transition numérique dans le secteur de l'Education nationale", dont les travaux se poursuivent pour deux jours, M. Ghalem a déclaré à l'APS que "le ministère avait misé sur l'équipement d'au moins une école par commune à travers le territoire national en tablettes électroniques". Soulignant que "le nombre des écoles équipées en tablettes à ce jour s'élève à 3270", l'intervenant a ajouté que le ministère compte couvrir "50% des écoles primaires par ces équipements avant la prochaine rentrée scolaire". Il a évoqué, dans ce sens, "les étapes importantes franchies par le ministère de l'Education nationale en matière de numérisation de plusieurs procédures réglementaires, administratives et de services, à travers la conception et le développement de plusieurs plateformes numériques". Parmi les réalisations accomplies, la plateforme des enseignants (Ostad.education.dz), celle dédiée à l'évaluation des acquis (Taqiim.education.dz), la plateforme "Mawidy" dédiée à la prise de rendez-vous pour l'authentification des diplômes, le service dédié aux questionnaires et aux sondages d'opinion et la nouvelle version du site web du ministère, annoncée, samedi, à l'occasion de la conférence. Ghalem a également rappelé que le secteur a adopté la politique "zéro papier" dans les procédures d'inscription aux examens officiels. Quant aux parents d'élèves, le même responsable a évoqué "l'espace élèves" à travers lequel ils peuvent consulter les bulletins de notes, les demandes de transfert, d'orientation et de réorientation, mettant en avant la volonté du secteur de numériser à 100% toute l'opération afin d'éviter les déplacements. A noter que le processus de transition numérique dans le secteur de l'Education a franchi plusieurs étapes depuis 2010, dont la numérisation des inscriptions aux examens scolaires nationaux et des concours de recrutement en 2016 ainsi que d'autres mesures telles que le e-paiement. Le secteur avait procédé également à "la numérisation de plus de 60 documents officiels", a ajouté M. Ghalem.
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Des projets innovants et des structures de recherche scientifique inaugurés par Baddari à Constantine

CONSTANTINE - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a inauguré, samedi au cours d’une visite de travail à Constantine, des projets innovants et des structures de recherche scientifique. Le ministre a entamé sa visite dans la circonscription administrative d'Ali Mendjeli, où il a inauguré, à l’Ecole nationale polytechnique, une pépinière d'entreprises et le centre de développement de l'entrepreneuriat, deux projets qui permettent aux étudiants et aux professeurs de transformer leurs idées innovantes en start-up et en projets économiques prometteurs, conformément à la stratégie visant à consolider la culture entrepreneuriale au sein de l'Université algérienne. Baddari s’est également enquis du fonctionnement des ateliers de fabrication, d'installation et de réparation d’appareils techniques, et des moyens de production disponibles destinés à contribuer au renforcement des capacités de l'Université à transformer le savoir en produits technologiques. Il a écouté, à cette occasion, un exposé relatif à trois prototypes de projets innovants réalisés par des étudiants et des professeurs de l'Ecole polytechnique, ainsi qu’aux brevets déposés, reflet du dynamisme de l'Ecole nationale polytechnique en matière de recherche et d'application. Le ministre a également inspecté la plate-forme technologique de cette Ecole d’enseignement supérieur, prenant connaissance des moyens dédiés à la recherche appliquée et au développement des matériaux, avant de saluer les efforts déployés en vue de renforcer la contribution de l'Université à l'économie nationale. Le ministre a également été informé, au siège du Technopôle Hill de Constantine, des programmes et des projets prévus pour consolider l’implication de l'Université dans le tissu économique et social, afin d'atteindre les objectifs de développement durable et d'économie innovante. Baddari a ensuite visité, à la Faculté des arts et de la culture, une exposition consacrée aux clubs de théâtre universitaire et aux start-up actives dans le domaine du théâtre et des arts où il a salué la créativité artistique en tant que moteur du mouvement estudiantin. Dans une déclaration à cette occasion, le ministre a souligné qu'en plus de sa mission principale de formation, l'université algérienne s'emploie dans le cadre de sa modernisation, à "encourager et à favoriser l'innovation qui occupe désormais une place centrale". Une évolution, a-t-il souligné, concrétisée par la création d'une filiale économique à l'Ecole nationale polytechnique de Constantine, résultat d'efforts continus pour transformer les idées des étudiants et des professeurs en start-up et en micro-entreprises, ainsi que pour déposer des brevets aptes à être commercialisés et valorisés.
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Education : lancement de trois nouvelles plateformes électroniques pour accélérer la transformation numérique dans le secteur

ALGER - Le ministre de l'Education nationale, M. Mohammed Seghir Sadaoui, a annoncé, samedi à Alger, le lancement de trois (3) nouvelles plateformes électroniques visant à améliorer les services et à accélérer la transformation numérique dans le secteur. Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux de la Conférence nationale sur "l'évaluation de la transformation numérique dans le secteur de l'éducation nationale", qui se tient au Centre international de conférences Abdelatif-Rahal (CIC, Alger), en présence de membres du Gouvernement et de représentants d'instances officielles, le ministre a indiqué que la création de ces plateformes a vocation à accélérer la transformation numérique dans le secteur, précisant qu'il s'agit de la nouvelle version du site du ministère, de la plateforme "mawidy" dédiée à la prise de rendez-vous pour l'authentification des diplômes et d'un service dédié aux questionnaires et aux sondages d'opinion. A cette occasion, M. Sadaoui a réaffirmé l'engagement de son département en faveur d'une transformation numérique "globale et efficace" reposant sur "une vision claire" incarnant la volonté d'adopter une approche de concertation pour donner corps à cette transformation. Dans ce contexte, le ministre a rappelé les différents services numériques proposés par son secteur pour faciliter les démarches administratives pour les élèves (inscriptions, transferts, orientation, réintégration, retrait des relevés de notes originaux), mais aussi au profit du personnel du secteur (retrait des attestations de travail). Il a également cité le système numérique d'évaluation des acquis du cycle de l'enseignement primaire, les opérations liées au mouvement annuel de mutation, les inscriptions aux examens officiels et aux concours de recrutement, les aspects liés au paiement en ligne et les plateformes d'enseignement à distance. Sadaoui a aussi rappelé l'équipement de plusieurs écoles primaires en tablettes électroniques, soulignant "la poursuite de cette opération qui s'inscrit dans le cadre de la stratégie du secteur visant à améliorer la qualité de l'enseignement à travers l'intégration des TIC dans l'environnement scolaire". Ces mesures, a-t-il dit, interviennent "en application des orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à consacrer les principes de transparence et à éliminer toute opacité dans la gestion de la chose publique", rappelant que le président de la République "suit de près l'avancement des processus de transformation numérique dans tous les secteurs". Le ministre a, par ailleurs, mis en avant l'engagement du secteur à accélérer la transformation numérique et à recourir, à l'avenir, à des techniques de pointe, telles que la réalité virtuelle, la réalité augmentée et l'intelligence artificielle.
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Le ministre de la Santé reçoit la représentante du Fonds des Nations Unies pour la population en Algérie

ALGER- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a reçu la représentante du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) en Algérie, Faiza Bendriss, indique un communiqué du ministère. Cette rencontre, tenue au siège du ministère en présence de cadres de l'administration centrale, a été "l'occasion d'évoquer les moyens de renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de la santé", précise le communiqué. Dans ce cadre, la représentante de l'UNFPA en Algérie a qualifié le ministère de la Santé de "partenaire essentiel avec lequel la coopération doit être renforcée et élargie à l'avenir", saluant "les compétences algériennes qui lui ont permis d'acquérir d'importantes expertises et connaissances". Elle a également indiqué que "le Fonds est disposé à mettre son expérience à la disposition de l'Algérie pour développer une vision stratégique plus efficace, notamment dans les domaines de la formation et du transfert d'expertises". De son côté, le ministre de la Santé a souligné "l'importance du partenariat entre l'Algérie et l'UNFPA", se félicitant du "rôle de l'organisation dans le soutien aux programmes de santé nationaux". Il a en outre mis l'accent sur "la nécessité de poursuivre cette coopération pour renforcer les acquis en matière de santé et suivre les évolutions mondiales". Dans le même sillage, M. Saihi a mis en avant "l'importance d'établir une feuille de route définissant clairement les priorités et fixant des objectifs atteignables dans le cadre de la vision commune des deux parties". De plus, il a relevé la nécessité de "se concentrer sur le renforcement des capacités des personnels de la santé à travers des programmes de formation avancés, en phase avec les développements scientifiques et techniques, afin de garantir l'amélioration de la qualité des services de santé et une réponse efficace aux défis actuels". Enfin, M. Saihi "s'est dit optimiste quant à l'avenir de la coopération entre l'Algérie et le Fonds des Nations Unies pour la population", soulignant que "le travail conjoint permettra d'accomplir de plus grandes réalisations dans le domaine de la santé, notamment à travers l'investissement dans la formation continue et la mise en place de mécanismes efficaces pour le suivi de la mise en œuvre des projets communs".
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L’apport des start-up à l’industrie pharmaceutique évoqué lors d’une réunion de travail entre MM. Kouidri et Ouadah

ALGER- Le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, a coprésidé, lundi, avec le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, une réunion de travail consacrée à la présentation de projets de start-up et de porteurs de projets innovants proposant des solutions technologiques et des idées novatrices en faveur de l'industrie pharmaceutique, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique. Lors de cette rencontre, M. Kouidri a mis en avant "la dynamique que connaît le secteur dans ses efforts visant à garantir la sécurité sanitaire et à réguler l'importation", soulignant "l'impératif d'associer les start-up et les micro-entreprises, en leur offrant la possibilité de contribuer à cette dynamique et en les intégrant dans l'économie nationale, conformément aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune". Saluant le développement significatif des start-up en Algérie, le ministre a encouragé ces dernières à "contribuer au développement des intrants pharmaceutiques permettant la production de matières premières à même de promouvoir la production locale et de réduire la facture des importations". De son côté, M. Ouadah a souligné "l'importance d'établir des ponts de communication entre les entreprises pharmaceutiques et les jeunes porteurs de projets afin d'identifier les besoins et de proposer rapidement des solutions technologiques". Rappelant que "la création d'une start-up se fait en un temps record, tant en matière d'enregistrement que de financement", il a appelé les industriels à "se rapprocher des start-up pour les orienter en fonction de leurs besoins", selon le communiqué. Après avoir rappelé que son secteur comptait atteindre 20.000 start-up d'ici 2029, M. Ouadah a mis en relief, dans une déclaration, "la complémentarité" entre les deux départements ministériels qui permet aux start-up et aux micro-entreprises de contribuer à la production des intrants et des matières premières nécessaires au secteur de l'industrie pharmaceutique, et ce, dans le cadre de la promotion de l'innovation et de la numérisation. De leur côté, les porteurs de projets et les propriétaires de start-up ont présenté un ensemble de solutions technologiques et numériques qui ont vocation à soutenir l'activité de l'industrie pharmaceutique, tant en termes de gestion que de production. Entre autres propositions présentées par les entreprises participantes, figure un système d'information reliant les entreprises industrielles aux différents centres décisionnels dans le secteur de l'industrie pharmaceutique, lequel permet un suivi efficace des chaînes de production, de distribution et de gestion, ainsi que des solutions numériques dans le domaine du diagnostic médical et de la culture cellulaire intelligente.
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L’éradication de la tuberculose en Algérie, un engagement constant de l’Etat

ALGER- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a affirmé, lundi à Alger, que l'éradication de la tuberculose pulmonaire en Algérie est un engagement constant de l'Etat, relevant une "baisse significative" du nombre de cas de cette maladie en Algérie. Présidant la cérémonie de célébration de la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose (24 mars de chaque année), le ministre de la Santé a précisé que "la concrétisation de l'engagement d'éradiquer la tuberculose en Algérie repose sur plusieurs axes, notamment le renforcement du système de surveillance et l'amélioration du diagnostic de cette maladie en utilisant des outils innovants". La lutte contre cette maladie se fait également, ajoute M. Saihi, à travers "une prise en charge optimale des patients, la fourniture de médicaments antituberculeux, ainsi que la promotion de la recherche en la matière". A cette occasion, qui a vu la présence du représentant du bureau de l'Organisation mondiale de la santé en Algérie, Phanuel Habimana, des membres du Comité national de lutte contre la tuberculose, ainsi que d'un groupe d'experts, le ministre a souligné "une baisse significative" des cas de tuberculose pulmonaire contagieuse (-10 cas pour 100.000 habitants)". Il a également affirmé que la célébration de la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose, organisée cette année en Algérie sous le slogan "Engageons-nous, travaillons ensemble pour éradiquer la tuberculose", constitue "une opportunité pour une compréhension approfondie de cette maladie et des problèmes qui y sont liés", avec "la mobilisation des professionnels de la santé et la sensibilisation de la population à l'impact dévastateur de cette maladie sur la santé". Après avoir indiqué que la célébration de cette journée est aussi une occasion de "mettre en lumière les efforts mondiaux et nationaux déployés dans le cadre des objectifs de développement durable (ODD) pour éradiquer la tuberculose d'ici 2030", M. Saihi a souligné que "plus de 4.100 personnes perdent la vie chaque jour à cause de cette maladie au niveau mondial".
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Signature d’une convention de coopération entre l’université de Ghardaïa et ICE de Londres

GHARDAIA- Une convention de coopération a été signée entre l’Université de Ghardaïa et Islington Centre for English (ICE) sis à Londres, dans le but de promouvoir des stages et formations en anglais au profit des professeurs, cadres et étudiants de l’université, a-t-on appris jeudi auprès du rectorat de l’Université de Ghardaïa. Paraphée à distance par le directeur adjoint des relations extérieures et de la coopération de l’université de Ghardaïa, Dr Abderrahmane Chenini, et du responsable administratif de Islington Centre for English, la convention s’inscrit dans le cadre de la stratégie de formation mise en place par le secteur de l’Enseignement supérieur au profit des enseignants, chercheurs, cadres et étudiants de l’université afin de renforcer leurs connaissances en langue anglaise devenue un outil de transfert technologique et un élément important en matière de communication, a indiqué M. Chenini. En vertu de cette convention, l’université de Ghardaïa ambitionne de créer un climat propice à la réalisation des objectifs de développement scientifique engagés par la tutelle, en plus d’appuyer les efforts déployés en matière de publications, de recherches et d’études pour assurer progressivement l’enseignement dans la langue anglaise, a-t-il souligné. Et d’ajouter que Islington Centre for English (ICE) propose des formations de qualité en langue anglaise, enseignées par des professeurs de renommée et adaptées aussi bien aux professeurs qu’aux étudiants.