ALGER - Le Groupe Télécom Algérie a lancé son premier incubateur en partenariat avec l'Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB), dans le but d'inculquer "l'esprit entrepreneurial chez les étudiants" et de les inciter à "participer activement au développement de projets novateurs", indique mardi un communiqué du Groupe. La création cet incubateur, "spécialisé dans les technologies de l'information de la communication", s'inscrit dans le cadre d'une "feuille de route incluant d'autres universités prochainement à travers le territoire national", précise le communiqué, ajoutant que cela "symbolise l'engagement mutuel du Groupe Télécom Algérie et de l'USTHB en faveur de l'écosystème de l'entrepreneuriat et des startups". "En alignement avec la feuille de route axée sur le développement de l'écosystème entrepreneurial et de l'innovation, le Groupe Télécom Algérie réaffirme sa détermination à soutenir les universités algériennes et donner la chance à la matière grise pour participer au développement économique et pays", relève la même source, soulignant que "ceci démontre l'engagement continu du Groupe Télécom Algérie dans la promotion du savoir, en encourageant la recherche scientifique". En outre, "cette collaboration renforce le lien entre le secteur économique et académique, créant ainsi un environnement propice à l'innovation et à l'émergence de talents prometteurs", ajoute le communiqué. La cérémonie de signature de la convention-cadre s'est déroulée au siège de l'USTHB (Alger), en présence de M. Khaled Zarat, Président-directeur général du Groupe Télécom Algérie et du Professeur Djamal-Eddine Akretche, recteur de l'USTHB, accompagnés des doyens de l'université et des cadres dirigeants du Groupe Télécom Algérie.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Ait Seddik Baha eddine)
ALGER - Le ministère de la Poste et des Télécommunications a annoncé la publication d'un guide informatif sur le commerce électronique visant à sensibiliser et protéger les citoyens contre les escroqueries et les fraudes auxquelles ils peuvent être exposés lors de leurs achats en ligne. Le guide qui comprend quatre axes principaux abordant le cadre conceptuel et les risques liés aux achats en ligne, fournit aux citoyens des conseils sur la manière de procéder aux opérations de commerce électronique conformément aux dispositions de la loi 18-05 et donne un certain nombre de conseils visant à garantir des achats en ligne sûrs. Il aborde également les principales méthodes et techniques d'escroquerie et de fraude via le web et la manière de réagir face à ces phénomènes dans le but de sensibiliser les citoyens et d'accroître leur vigilance lors de leurs achats en ligne. Ce guide, disponible en téléchargement sur le site web (www.mpt.gov.dz) du ministère en arabe, anglais et français, a été élaboré en collaboration et la contribution des ministères des Finances, du Commerce et de la Promotion des Exportations, de la Gendarmerie nationale, de la Direction générale de la Sûreté nationale, de l'entreprise Algérie Poste et du Groupement monétique.
ALGER - Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab a appelé, jeudi depuis Tunis (Tunisie), à "la modération et à la rationalisation" du recours à l'intelligence artificielle, indique un communiqué du ministère. Dans son allocution de clôture de la Conférence sur les médias organisée par l'Union de radiodiffusion des Etats arabes (ASBU) sous le signe "Les médias à l'ère de l'intelligence artificielle - opportunités et enjeux", M. Laagab a évoqué la problématique du rapport Homme/technologies, soulignant qu'en dépit des appréhensions suscitées par l'ascension "quasi obsessionnelle" de l'intelligence artificielle, il serait judicieux d'y recourir "avec modération et de manière rationnelle". Par ailleurs, M. Laagab a tenu à évoquer la souffrance des Palestiniens frères, précisément à Ghaza, suite à l'agression barbare de l'entité sioniste. Le ministre a, dans ce sens, saisi l'occasion pour se recueillir à la mémoire des martyrs de la profession, les journalistes tombés au champ d'honneur, mettant en avant le "rôle héroïque mené dignement par les journalistes sur le terrain en soutien à la cause palestinienne, afin de faire entendre la voie de la justice et de la vérité", ajoute le communiqué. Les travaux du Conseil exécutif et de l'Assemblée générale de l'ASBU, ont été marquée par une participation "intense" de l'Algérie, représentée par les Directeurs généraux de la Radio algérienne, de l'Etablissement public de télévision (EPTV) et de l'Etablissement public de Télédiffusion d'Algérie (TDA).
ALGER, 18 - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a affirmé, jeudi à Alger, que son secteur avait adopté une politique visant à permettre à l'université de contribuer à la création de la richesse, ce qui s'est traduit, a-t-il dit, par la création de 96 incubateurs d'affaires et de 100 centres de développement de l'entrepreneuriat (CDE). Lors d'une plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales, M. Baddari a précisé que son secteur enregistre d'importants chiffres en matière de renforcement des entités de recherche, de développement et de valorisation économique présentes dans les établissements universitaires et de recherche, dont notamment la création de 96 incubateurs d'affaires, de plus de 3.000 espaces pour les start-ups et de plus de 100 CDE. Le secteur qui accorde un intérêt majeur au soutien à la recherche scientifique, compte 1.801 laboratoires de recherche, 47 unités de recherche, 30 centres de recherche, 183 services communs et plus de 60 laboratoires de fabrication, a-t-il ajouté. A cette occasion, il a affirmé que ces centres constituent des outils de développement des compétences des étudiants, inscrits ou diplômés, car les étudiants diplômés ont la possibilité de poursuivre leurs recherches et d'être accompagnés par les laboratoires de recherche pour obtenir des résultats sous forme de label de projet innovant, de brevet d'invention ou de fourniture de solutions aux besoins socioéconomiques, a-t-il dit. Par ailleurs, M. Baddari a souligné la poursuite du renforcement de l'encadrement du secteur par l'ouverture de concours de recrutement pour 2.000 postes, l'année en cours, dont 1.725 réservés aux maîtres-assistants classe B. Il a, en outre, rappelé les opérations de recrutement qu'a connues le secteur en 2023, dont l'ouverture de 7.630 postes budgétaires pour un concours de recrutement sur titre des diplômés non-salariés en doctorat et en magister.
TIZI-OUZOU - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a souligné jeudi à Tizi-Ouzou que son secteur consacre "un intérêt particulier" aux métiers du tourisme. Dans une intervention à l'ouverture de la rencontre nationale sur les métiers de l'hôtellerie, de la restauration et du tourisme sous le thème "vision moderne pour des perspectives prometteuses", M. Merabi a souligné l'intérêt de l'Etat aux métiers du tourisme comme vecteur économique important pour le pays. "Le secteur du tourisme et de l'artisanat est une des alternatives pour le développement économique du pays, d'où l'intérêt particulier que lui accorde le secteur de la formation professionnelle pour assurer un apprentissage de qualité pour ses métiers", a-t-il dit. Le ministre a indiqué, à ce propos, que le secteur de la formation professionnelle dispense pas moins de 27 spécialités dédiées au tourisme à travers une quinzaine d'établissements au niveau national. La rencontre, à laquelle ont pris part 300 participants de 13 wilayas, est marquée par l'organisation de trois ateliers regroupant des formateurs, des opérateurs économiques dans le domaine, des représentants des secteurs du tourisme et de l'artisanat, de la culture, de l'environnement et des spécialistes. Des recommandations sur les besoins et les attentes du secteur seront élaborées et remises aux pouvoirs publics à l'issue de ces ateliers.
ALGER - Plus de 1.300 codes ont été répertoriés dans la nomenclature des activités éligibles au statut de l'auto-entrepreneur dont les demandes d'inscription seront ouvertes ce samedi sur la plateforme de l'ANAE, a indiqué mercredi à Alger, le ministre de l'Economie de la connaissance, des Startups et des Micro-entreprises, Yacine El-Mahdi Oualid. Lors d'une session ouverte de questions-réponses organisée virtuellement, pour répondre aux interrogations concernant le nouveau statut de l'auto-entrepreneur, mais aussi les startups et leur financement, M. Oualid a déclaré que la plateforme de l'Agence nationale de l'auto-entrepreneur (ANAE) dédiée aux inscriptions pour l'obtention de la carte d'auto-entrepreneur, "a répertorié plus de 1.300 codes d'activité, répartis sur sept domaines". Ces domaines sont : Conseil, expertise et formation, Services numériques et activités connexes, Prestations à domicile, Services à la personne, Services de loisirs et récréation, Services aux entreprises, ainsi que les Services culturels, de communication et d'audiovisuel. La liste d'activité est appelée à être actualisée par l'ANAE, selon son appréciation à ajouter d'autres métiers. Dans ce sens, le ministre a expliqué que les employés de la fonction publique ne sont pas éligibles, "pour le moment", au statut d'auto-entrepreneur, mis à part les universitaires (enseignants et chercheurs) autorisés à prétendre à ce statut. Néanmoins, M. Oualid a révélé que les fonctionnaires, "pourront à l'avenir bénéficier de ce statut" du fait que cette possibilité "est en cours d'étude". Enumérant les avantages dont bénéficieront les auto-entrepreneurs, M. Oualid évoquera un régime "particulier" de cotisation à la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS), avec une cotisation "minimale correspondant à un revenu équivalent au salaire national minimum garanti (SNMG)". Il expliquera, également, qu'une affiliation à la Caisse nationale de sécurité sociale des travailleurs salariés (CNAS) "ne posera pas de problème pour prétendre au statut d'auto-entrepreneur, vu que ce sont des caisses différentes", idem pour les personnes déjà affiliés à la CASNOS qui pourront "cumuler les cotisations". A noter que les auto-entrepreneurs profiteront de l'exemption de l'obligation de disposer d'un local et de s'inscrire au registre du commerce, de la possibilité d'ouvrir un compte bancaire, ainsi que d'un régime fiscal préférentiel, étant soumis au régime d'impôt forfaitaire unique (IFU) avec un taux de 0,5% du chiffre d'affaires, comme prévu dans la loi de finance 2024. M. Oualid parlera, en outre, d'"une facturation sans taxes de la valeur ajoutée (TVA), au profit des détenteurs de ce statut". Questionné sur l'activité de chauffeur de véhicules de transport avec chauffeur (VTC), il indiquera que cette activité sera éligible au statut d'auto-entrepreneur, précisant, cependant, qu'une loi qui définira les qualifications des chauffeurs VTC "est en phase finale de préparation par le ministère des Transports". Cette loi viendra compléter, en quelque sorte, la loi sur l'auto-entrepreneur, concernant les conditions d'exercice de cette activité.
ALGER - La commission du Réseau algérien de transparence "Narakom", lancé en octobre denier, a été installée mardi à Alger, sous la supervision de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption. Dans une allocution à cette occasion, la présidente de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, Mme Salima Mousserati a indiqué que cette démarche "intervient en consolidation du rôle de la société civile dans la prévention et la lutte contre la corruption pour la réalisation des objectifs escomptés et le renforcement des valeurs de citoyenneté, conformément à ce que prévoit la Constitution de 2020 pour l'édification de l'Algérie nouvelle". La même responsable a rappelé la loi fixant l'organisation de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption qui prévoit la création d'un réseau interactif visant à associer la société civile, unifier et promouvoir ses activités en matière de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption. Selon Mme Mousserati, le Réseau "Narakom" est "un mécanisme créé en vertu des références juridiques pour renforcer la démocratie participative et atteindre les plus hauts niveaux d'efficacité dans la gestion des affaires publiques", ajoutant qu'associer la société civile à cette démarche constitue "un défi et se veut un des nombreux mécanismes visant à réaliser le développement escompté". De son côté, le directeur de la coopération internationale à l'autorité, Abdellatif Benaïda, a indiqué que le Réseau "Narakom" est "une alliance entre les acteurs de la société civile et l'autorité et vise à suivre la mise en œuvre de la stratégie nationale de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, à inculquer la culture de signalement et à encourager la formation", ce qui est à même de renforcer le rôle de la société civile en la matière, a-t-il dit.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a indiqué, mardi à Alger, que son secteur accompagnera les innovations des centres de recherche pour aider à la concrétisation et à la commercialisation de leurs produits innovants. Dans une allocution prononcée en marge de sa visite au Centre de recherche sur l'information scientifique et technique (CERIST), M. Baddari a précisé que "dans le cadre du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à relier l'économie à l'innovation, une dynamique a été imprimée au domaine universitaire et de la recherche afin de créer un nouvel équilibre économique", assurant que la prochaine étape sera celle de "la commercialisation des produits innovants". Mettant en avant la "valeur universelle" de certaines innovations des centres de recherche, le ministre a affirmé que "les centres de recherche réalisent aujourd'hui des travaux concrets au bénéfice des citoyens, qu'il importe de mettre en valeur". Dans une déclaration à l'APS, M. Baddari a relevé que "le secteur prépare les métiers de demain en misant sur la maîtrise des technologies, comme l'informatique, l'intelligence artificielle et le traitement des Big data", affirmant que "les technologies de pointe figurent au centre des priorités du secteur, pour faire de l'innovation un soft power qui fait entendre la voix de l'Algérie et une plus-value pour l'économie nationale à travers la concrétisation et la commercialisation des produits innovants sur le marché local et international". "Les centres de recherche sont actuellement dans la phase de modélisation, tandis que la fabrication et la commercialisation passent par la création d'entreprises économiques au niveau de ces centres ou la vente de brevets d'invention aux opérateurs économiques pour leur fabrication et leur commercialisation", a-t-il expliqué. Au cours de la visite, plusieurs produits de recherche provenant de différents centres de recherche nationaux ont été présentés. Dans le domaine de la santé, les chercheurs du Centre national de biotechnologie ont présenté un projet de production de micro puces imitant les cellules du corps humain et facilitant la découverte de nouveaux médicaments. Il s'agit du premier projet du genre au niveau national et africain et seulement 90 laboratoires dans le monde ont développé cette technologie. Des dispositifs médicaux utilisant des indicateurs biologiques pour aider les médecins dans le diagnostic précoce du cancer du côlon et le choix du traitement approprié ont également été présentés. Dans le domaine de la sécurité alimentaire, un système d'irrigation intelligent intégré à un générateur d'ozone pour la culture de la betterave sucrière a été présenté. Ce système vise à réduire la consommation d'eau tout en augmentant la production. Des recherches visant à améliorer la production des légumineuses et des aliments pour animaux grâce à des variétés résistantes à la sécheresse ont également été présentées.
MEDEA - Le secteur des œuvres universitaires a "réussi" à relever le défi de la numérisation de ses services, prévue par le plan d’orientation mis en œuvre par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour la rentrée universitaire 2023/2024, a affirmé, mardi à Médéa, le directeur général de l’Office national des œuvres universitaires (ONOU), Mourad Korichi. "Les efforts entrepris dans le cadre du principe de 'zéro papier' ont permis d’améliorer considérablement la qualité des services des œuvres universitaires et à transcender les obstacles et écueils rencontrés sur le terrain", a fait savoir le responsable de l'ONOU lors d’une rencontre régionale des directeurs de wilayas des œuvres universitaires du centre organisée au pôle universitaire de Médéa. Il a indiqué que les plateformes numériques créées pour faciliter l'accès des étudiants aux différents services proposés, que ce soit la gestion des ressources humaines, l’hébergement, le contrôle d'accès aux résidences universitaires, la bourse universitaire, la gestion et le suivi de la restauration ou le transport d’étudiants, ont "grandement facilité la prise en charge des étudiants et à surmonter les difficultés qui existaient auparavant ". M. Korichi a relevé que 421 résidences universitaires ont été dotées de système électronique de reconnaissance faciale, ajoutant que ce système sera généralisé à l’ensemble des restaurants intégrés (sis dans l'enceinte des cités universitaires) lors de la deuxième phase de la numérisation, outre l’entrée en service des autres plates-formes dédiées aux services d’hébergement et de transport, a-t-il précisé. Il a également annoncé que des restaurants universitaires centraux seront bientôt équipés de lecteur électronique de carte d’étudiant multiservices pour "remplacer progressivement les tickets électroniques", en usage actuellement. 98 restaurants universitaires centraux seront touchés dans une première phase, et ensuite 66 restaurants intégrés, a-t-il précisé, expliquant que "le but de l’opération est d’améliorer encore davantage les services offerts aux étudiants". Une vingtaine de directeurs de wilayas du centre du pays ont pris part à la rencontre régionale dédiée à l'évaluation du déroulement de la rentrée universitaire 2023/2024 et au débat autour de la poursuite des efforts déployés en matière d’œuvres universitaires et les moyens de les promouvoir afin de réunir les meilleures conditions d’enseignement aux étudiants.
ALGER - Algérie Télécom a annoncé le lancement d'iBox, une solution de stockage de données conçue pour satisfaire les exigences en matière de gestion des données, indique, lundi, l'entreprise publique dans un communiqué. Cette nouvelle solution de stockage, élaborée par ICOSNET, est "accessible dans l'ensemble du réseau commercial et la boutique en ligne d'Algérie Télécom ‘idoomarket-at.dz’", précise la même source. Disponible sur l'application mobile (Android et iOS) et sur le Web, elle "offre la possibilité de sauvegarder et partager en ligne des fichiers tels que des documents, des photos et des vidéos". Cette solution, qui s'adresse à différents profils d'utilisateurs (particuliers et professionnels), propose 3 packs distincts mis à la disposition des utilisateurs, "permettant ainsi le téléchargement et le partage de fichiers à volonté", ajoute le communiqué. Il s'agit du pack "iBox" offrant 100 Go d'espace de stockage, idéal pour le grand publique cherchant à conserver, en toute sécurité, leurs fichiers, du pack "iBox Pro", proposant 500 Go d'espace de stockage pour 5 utilisateurs, adaptée aux utilisateurs nécessitant un stockage supplémentaire pour leurs projets et le pack "iBox Business", d'une capacité de 1024 Go, pour 10 utilisateurs, spécialement conçu pour répondre aux besoins notamment des entreprises requérant un espace de stockage étendu pour la gestion de leurs données professionnelles. "Hébergé en Algérie, iBox offre une sécurité et confidentialité optimales des données", affirme Algérie Télécom qui invite les usagers à visiter son site web pour plus d'informations.