SIDI BEL ABBES - Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine El Mahdi Walid, a souligné, mardi, l’importance de la coopération et la coordination des efforts entre l’université et les entreprises industrielles. Présidant par visioconférence l’ouverture d'un Colloque national sur "la relation entre l’industrie et la recherche scientifique et l’innovation : enjeux, expériences et recommandations", organisé à Sidi Bel Abbes, le ministre a mis l’accent sur l’importance de la coopération entre l’université et les entreprises industrielles, notamment après que l’université Djillali-Liabes de Sidi Bel Abbes ait accédé au leadership dans le classement mondial des domaines académiques à Shanghai, édition 2023. Il a appelé à coordonner les efforts entre les chercheurs, les universitaires et les opérateurs économiques et industriels, afin d'exploiter les innovations et la recherche scientifique dans le domaine industriel et motiver les chercheurs à mettre en œuvre leurs projets scientifiques dans le domaine et à surmonter les obstacles auxquels ils font face, en leur assurant un accompagnement. Les participants à cette rencontre ont, à cette occasion, souligné la nécessité de renforcer le partenariat entre la recherche scientifique et l'industrie, avec la signature d’accords de coopération entre les universités et les entreprises industrielles pour développer la production industrielle. Les intervenants, notamment des chercheurs universitaires, des investisseurs et des représentants d'entreprises industrielles, ont souligné l'importance de créer une plateforme d'échange et de réflexion entre chercheurs, universitaires, investisseurs et gérants d’entreprises industrielles, afin de transférer les expériences et les innovations, et de les exploiter dans le domaine industriel, permettant de développer l’industrie et la relance du secteur économique. Le vice-président de l'Académie algérienne des sciences et technologies, Mohamed Hichem Kara, a insisté sur la nécessité pour les chercheurs, les universitaires et les pionniers de l'innovation, d'interagir avec les investisseurs, les gérants d’entreprises industrielles et les décideurs, afin d'échanger des idées, des connaissances et instaurer une vision participative pour relancer le domaine industriel en le renforçant par la recherche scientifique innovante. Il a appelé à recueillir les avis des experts pour établir une coopération fructueuse dans le tissu industriel et explorer les futures opportunités de coopération. Le chercheur, Professeur Ammar Tilmatine de l'Université de Sidi Bel Abbes a appelé, de son côté, à la contribution des entreprises industrielles et économiques pour soutenir la recherche scientifique et les innovations, et à mettre en valeur les expériences et les attentes des chercheurs pour le développement du tissu industriel. Cette rencontre de deux jours, organisée à l'initiative de l'Académie Algérienne des Sciences et de la Technologie en coopération avec l'Université de Sidi Bel Abbes et l'Ecole Polytechnique d'Alger, comprend la présentation de conférences par des chercheurs et des experts dans les domaines industriel et économique, ainsi que des gérants d’entreprises, sur plusieurs thèmes, notamment "les relations entre l’industrie et la recherche scientifique en Algérie", "les futures opportunités de coopération entre chercheurs et industriels" et "les obstacles les plus importants auxquels sont confrontées les entreprises industrielles".
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Ait Seddik Baha eddine)
OUM EL BOUAGHI - Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a affirmé, mardi dans la wilaya d’Oum El Bouaghi, que la numérisation de son secteur constituait "une base pour développer la performance du service public". M. Merabi qui présidait, à l’entame de sa visite de travail, l’ouverture, au Centre culturel islamique Messaoudi-Abbes, d’une journée portes ouvertes au profit de la société civile, autour des spécialités de la formation professionnelle, à travers la plateforme "Tasyir" (gestion), a souligné que la numérisation du secteur vise à "développer le service public, à améliorer la gouvernance, à renforcer l’efficacité et à bonifier la qualité des services". Le ministre a évoqué la plateforme "Tasyir", développée par le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels, la considérant comme "un nouveau système d’information permettant de suivre tous les aspects de la gestion aux plans pédagogique, administratif et financier à travers les établissements de formation répartis sur l’ensemble du territoire national". Il a ajouté que l’objectif de la plateforme consiste à "obtenir, opportunément, des indicateurs corrects sur lesquels il est possible de s’appuyer aux niveaux local et central", ainsi qu’à "présenter localement les différentes spécialités du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels". Les participants à cette journée portes ouvertes destinée à la société civile ont saisi l’occasion pour soulever un certain nombre de préoccupations relatives, entre autres, à l’inscription de projets de réalisation de structures de formation dans les communes qui en sont dépourvues, et à l’ouverture de nouvelles spécialités. Le ministre a également supervisé la signature de conventions de coopération entre la direction de wilaya de la formation et de l’enseignement professionnels et d’autres directions, telles que la Société de distribution de l’électricité et du gaz, au bénéfice des stagiaires et des diplômés des établissements de formation. Il a aussi visité, au Centre de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) Abdelhafid-Sanhadri, une exposition d’objets et de différents produits confectionnés par des femmes rurales et des femmes au foyer ayant auparavant reçu une formation dans des établissements du secteur. M. Merabi devait poursuivre sa visite dans la wilaya d’Oum El Bouaghi en inspectant l’établissement de milieu ouvert relevant de l’administration pénitentiaire, une entreprise de confection de vêtements relevant de la direction des industries militaires, à Ain Beïda, et deux structures industrielles dans la commune d’Ain M’lila.
ORAN - Les travaux du 3ème Congrès de la Société algérienne de chirurgie du genou, de la hanche et de l’arthroscopie (SAGHA), qui a porté sur le thème des prothèses totales de la hanche et du genou, ont été clôturés, dimanche à Oran. Des spécialistes Algériens, et étrangers ont animé, durant trois jours, des conférences, des symposiums et des ateliers sur divers thèmes autour de la chirurgie orthopédique, notamment les prothèses totales du genou et de la hanche, ainsi que l’arthroscopie. Des spécialistes ont souligné, en marge de cet évènement, les dangers de la consommation des corticoïdes, sans avis médical, pour augmenter le poids, notamment sur les os. En effet, des dizaines de cas de jeunes filles, présentant de graves problèmes osseux, ont été observés suite à la consommation de corticoïdes pour des raisons non-médicales et sans l’avis d’un spécialiste. Le Pr Lyes Aït El Hadj, président de la SAGHA et chef de l’unité des urgences à l’hôpital "Boukheroufa Abdelkader" de Ben Aknoun à Alger, a indiqué dans une déclaration à l’APS, en marge de cet évènement, que sur 600 opérations chirurgicales bilatérales et simultanées de pose de prothèses totales de la hanche qu’il a effectué, depuis 2013, une centaine concernait de jeunes filles qui ont consommé des corticoïdes de manière excessives et sans avis médical. Il s’agit de jeunes filles âgées entre 18 et 22 ans, qui ont consommé des corticoïdes pour augmenter leurs poids, a-t-il déploré, ajoutant que cette consommation a conduit à la nécrose de la tête fémorale des deux hanches, ce qui a nécessité la pose de prothèses totales bilatérales. Pour sa part, le chef de service de chirurgie orthopédique à la clinique Fellaoucen, relevant du CHU d’Oran, le Pr Mohamed Medjahed, a indiqué qu’il a été également confronté à ce genre de cas, avec une dizaine de patientes qu’il a opéré pour la pose de prothèse totale da la hanche. Les deux spécialistes ont regretté de voir des filles à la fleur d’âge subir des interventions chirurgicales aussi lourdes, appelant à faire preuve de plus de vigilance quant à la consommation de corticoïdes pour des raisons non-médicales et sans avis d’un spécialiste.
ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a reçu l'ambassadeur de Turquie à Alger, Mujahid Kucuk Yilmaz, avec lequel il a évoqué les moyens de hisser les relations bilatérales à des niveaux supérieurs au service des intérêts des deux pays, indique mercredi un communiqué du ministère. Lors de cette rencontre qui s'est déroulée mardi, les deux parties ont évoqué "les moyens de renforcer les relations de coopération dans le domaine de la santé" et examiné "les opportunités de partenariat dans des domaines d'intérêt commun", précise le communiqué. A cette occasion, le ministre a affirmé que "l'accord de jumelage entre l'Hôpital des Grands Brûlés de Zeralda et son homologue turc à Istanbul, qui sera signé dans les prochains jours, dans le cadre de la mise en œuvre des instructions et directives du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, permettra de donner une impulsion forte aux relations de partenariat entre les deux pays dans le secteur de la santé". Ce partenariat "couvrira à l'avenir d'autres hôpitaux et spécialités, telles que la chirurgie infantile et la chirurgie cardiaque pédiatrique", ajoute-t-on de même source. Après avoir insisté sur "l'impératif que de tels projets reposent sur l'échange d'expériences et de connaissances et le transfert de technologie, avec la programmation de visites mutuelles et l'organisation de rencontres consultatives techniques", le ministre a proposé "un projet d'investissement dans le domaine de la santé" à travers "la construction d'un hôpital turc en Algérie, en sus de la réalisation de plusieurs autres hôpitaux", estimant que "cette étape contribuera à réduire les transferts de patients à l'étranger pour soins". Pour sa part, l'ambassadeur turc a exprimé "la volonté de son pays d'intensifier la coopération bilatérale entre les deux pays", disant "soutenir l'idée de la réalisation d'un hôpital turc en Algérie", tout en mettant en avant "l'intérêt porté à l'investissement en Algérie par les entreprises privées turques activant dans le secteur de la santé". Enfin, les deux parties sont convenues de "la nécessité d'organiser des rencontres conjointes de travail pour examiner les questions d'intérêt commun, en particulier celles liées aux accords de jumelage prévus entre les deux pays, qui seront d'ailleurs prochainement au centre de discussions et d'entretiens par visioconférence entre le ministre Saihi et son homologue turc", conclut le communiqué.
ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a reçu l'ambassadeur de Turquie à Alger, Mujahid Kucuk Yilmaz, avec lequel il a évoqué les moyens de hisser les relations bilatérales à des niveaux supérieurs au service des intérêts des deux pays, indique mercredi un communiqué du ministère. Lors de cette rencontre qui s'est déroulée mardi, les deux parties ont évoqué "les moyens de renforcer les relations de coopération dans le domaine de la santé" et examiné "les opportunités de partenariat dans des domaines d'intérêt commun", précise le communiqué. A cette occasion, le ministre a affirmé que "l'accord de jumelage entre l'Hôpital des Grands Brûlés de Zeralda et son homologue turc à Istanbul, qui sera signé dans les prochains jours, dans le cadre de la mise en œuvre des instructions et directives du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, permettra de donner une impulsion forte aux relations de partenariat entre les deux pays dans le secteur de la santé". Ce partenariat "couvrira à l'avenir d'autres hôpitaux et spécialités, telles que la chirurgie infantile et la chirurgie cardiaque pédiatrique", ajoute-t-on de même source. Après avoir insisté sur "l'impératif que de tels projets reposent sur l'échange d'expériences et de connaissances et le transfert de technologie, avec la programmation de visites mutuelles et l'organisation de rencontres consultatives techniques", le ministre a proposé "un projet d'investissement dans le domaine de la santé" à travers "la construction d'un hôpital turc en Algérie, en sus de la réalisation de plusieurs autres hôpitaux", estimant que "cette étape contribuera à réduire les transferts de patients à l'étranger pour soins". Pour sa part, l'ambassadeur turc a exprimé "la volonté de son pays d'intensifier la coopération bilatérale entre les deux pays", disant "soutenir l'idée de la réalisation d'un hôpital turc en Algérie", tout en mettant en avant "l'intérêt porté à l'investissement en Algérie par les entreprises privées turques activant dans le secteur de la santé". Enfin, les deux parties sont convenues de "la nécessité d'organiser des rencontres conjointes de travail pour examiner les questions d'intérêt commun, en particulier celles liées aux accords de jumelage prévus entre les deux pays, qui seront d'ailleurs prochainement au centre de discussions et d'entretiens par visioconférence entre le ministre Saihi et son homologue turc", conclut le communiqué.
ALGER - L'Université d'Alger 1 "Benyoucef Benkhedda" a présenté 14 brevets d'invention et plusieurs projets dont certains adoptés par des entreprises économiques, constituant ainsi une étape nouvelle dans le processus visant à ériger l'Université en partenaire au développement, a indiqué le recteur de cette Université, Fares Mokhtari. Dans une déclaration à l'APS, M. Mokhtari a souligné que "l'Université d'Alger 1 a réussi à présenter 14 brevets d'invention dans différents domaines, 14 projets de start-up et 24 petites entreprises au cours de cette année, dont 9 brevets d'invention et nombre de projets présentés la semaine dernière lors de la journée d'études ayant réuni l'Université et 24 entreprises économiques qui s'est soldée par l'approbation de nombre de projets". "Les efforts sont axés sur l'encouragement des enseignants et des étudiants à proposer des thèmes de doctorat et de master liés au volet socioéconomique, mais aussi de tout ce qui a trait au développement de l'esprit d'innovation et d'entrepreneuriat chez l'étudiant, ainsi que son potentiel et le soutenir dans ses projets", a soutenu M. Mokhtari. Pour ce faire, un bureau de liaison entre l'Université et les entreprises économiques a été créé, actif via l'organisation des journées d'études au cours desquelles les étudiants présentent les projets innovants et mettent en avant leur importance et les solutions proposées. Cela a permis récemment d'adopter plusieurs projets d'étudiants des cinq facultés de l'Université, eu égard au potentiel scientifique et technique dont jouit l'Université algérienne et qui est à même de répondre aux besoins des entreprises économiques. L'Université œuvre, poursuit-il, à l'élargissement du dépôt de brevets d'invention, via l'incubateur des œuvres universitaires qui tente d'intensifier les formations au profit des porteurs de projets, qui seront par la suite soumis à des commissions spécialisées. Ces démarches permettront de relancer la dynamique de la recherche et de proposer des solutions scientifiques aux problèmes auxquels font face les entreprises.
ALGER - A l'occasion du 20e anniversaire de sa création, la compagnie Mobilis a lancé l'offre "Twenty" en édition spéciale, indique mercredi un communiqué de la compagnie. A l'occasion du 20e anniversaire de sa création, Mobilis lance l'offre "Twenty" en édition spéciale pour célébrer avec ses clients deux décennies d'existence, précise la même source. Unique sur le marché, "Twenty" offre plusieurs avantages sur les appels et la connexion internet pour seulement 2000 DA/mois : appels et SMS en illimité valables vers tous les réseaux nationaux et 80 Go d'internet, conclut le communiqué.
ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a fixé le statut de l'étudiant-athlète universitaire selon l'arrêté ministériel n 205 signé par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari. L'arrêté ministériel définit le statut d'étudiant-athlète, sa classification selon la pratique sportive en milieu universitaire et sa participation aux jeux olympiques, championnats nationaux et internationaux ou à la coupe du monde dans les disciplines sportives individuelles ou collectives, les facilités dont il bénéficie, la prise en charge et l'accompagnement que lui assure l'établissement universitaire. L'article premier de l'arrêté définit l'étudiant-athlète universitaire et les modalités de sa classification, ses droits et ses obligations. L'article deuxième prévoit les modalités d'octroi de la qualité d'étudiant-athlète après le dépôt d'un dossier auprès du directeur de l'établissement, du doyen de la faculté ou du directeur de l'institut, avant le 30 octobre de chaque année, en renseignant un formulaire. Concernant les obligations de l'étudiant-athlète, l'arrêté ministériel exige la nécessité de pratiquer le sport dans les différents clubs et équipes sportives universitaires et de participer aux différents championnats sportifs universitaires coprésidés par le ministère de l'Enseignement supérieur et le ministère de la Jeunesse et des sports. L'étudiant-athlète universitaire est classé en trois catégories, la première comporte les athlètes de haut niveau ayant décroché des titres dans les jeux olympiques, les championnats ou la coupe du monde dans les disciplines individuelles ou collectives. La deuxième concerne les athlètes d'élite ayant participé aux jeux olympiques, aux championnats ou à coupe du monde dans les disciplines individuelles ou collectives. Quant à la troisième catégorie, elle implique les étudiants ayant pratiqué du sport en milieu universitaire et participé aux championnats du sport universitaire organisées par la direction de la vie estudiantine de la tutelle en coordination avec la Fédération algérienne du sport universitaire (FASU). Quant aux engagements, l'étudiant-athlète doit participer régulièrement aux championnats organisés par le ministère de l'Enseignement supérieur ou auxquels il prend part. L'étudiant-athlète est tenu de respecter la déontologie universitaire et sportive et s'abstenir de toutes sortes de violence ou de comportements à l'opposé des valeurs sportives et morales. Concernant les droits de l'étudiant-athlète, en plus des vacances académiques, ce dernier bénéficie, de vacances en vue de préparation aux jeux internationaux et olympiques. Les établissements universitaires assurent à l'étudiant-athlète un accompagnement permanent et s'emploient à lui réunir toutes les conditions favorables tout au long de son cursus. En vertu dudit arrêté, l'étudiant-athlète peut bénéficier d'un calendrier de scolarisation et d'un emploi du temps adaptés à son activité sportive dans le cadre du règlement intérieur de l'établissement. L'arrêté offre la possibilité de dispenser partiellement l'étudiant-athlète de certaines activités pédagogiques avec accord préalable de l'administration, du directeur de l'établissement ou du doyen de la faculté ou le directeur de l'institut. L'arrêté stipule dans son article 9 que toutes les universités garantissent à l'étudiant-athlète une assurance annuelle intégrale et une prise en charge totale lors de sa participation à l'ensemble des compétitions sportives programmées ou auxquelles le ministère de l'Enseignement supérieur prendra part. La protection de l'étudiant-athlète d'éventuelles agressions avant et après les compétitions sportives incombe aux établissements universitaires comme le prévoit l'article 10. Une licence sera délivrée à l'étudiant-athlète par les sous-directions et services d'activités scientifiques, culturelles et sportives ainsi que des ligues de wilaya des sports universitaires, conformément à l'article 11. Par ailleurs, la suspension et la perte du statut Etudiant sportif universitaire seront provisoires en cas d'absences récurrents de la participation aux championnats sportifs universitaires et de manquement au système des compétitions sportives -un comportement portant atteinte à la réputation de l'établissement universitaire en général, et violant l'éthique sportive. Le recteur de l'établissement universitaire détermine la durée de suspension du statut d'Etudiant sportif universitaire, sur la base d'un rapport détaillé présenté par les services du sport universitaire. L'Etudiant sportif universitaire perd ce statut dans des cas liés à la graduation de l'université, l'interruption des études, une circonstance sanitaire ou médicale entravant l'exercice du sport, le refus de participation aux championnats universitaires, le dopage ou l'utilisation des produits pharmaceutiques prohibés, ainsi que les sanctions disciplinaires d'exclusion décidées par l'université. Le recteur de l'établissement universitaire se prononce sur la perte du statut Etudiant sportif universitaire sur la base d'un rapport détaillé présenté par les services compétents.
ALGER - Le Directeur central des services de santé militaire au ministère de la Défense nationale (MDN), le Général-Major Souid Mohamed El-Bachir, a présidé la cérémonie d'ouverture des 51èmes Journées médico-chirurgicales de l'Armée nationale populaire (ANP) à l'Ecole nationale de santé militaire (ENSM), Chahid Kaddi Bakir à Aïn Naâdja (Alger), a indiqué mardi un communiqué du MDN. Les travaux se déroulent sur deux jours, en présence des directeurs des unités de santé, de médecins spécialistes civils et militaires d'Algérie et de pays frères et amis, dont la Tunisie, l'Arabie saoudite, la Mauritanie, le Mali et le Niger. A cette occasion, le Directeur central des services de santé militaire a mis en avant "l'importance cruciale de l'organisation de ces journées médico-chirurgicales", visant à "échanger des expériences et à formuler des recommandations pour améliorer les performances des médecins dans leur domaine de spécialité". Ces Journées médicales s'articulent autour de quatre (4) axes principaux, à savoir "la déontologie et les pratiques de l'expertise médicale au sein de l'ANP, les maladies professionnelles et les moyens de leur prise en charge, les infections associées aux soins (IAS), les maladies infectieuses émergentes et réémergentes et la santé mentale", conclut la même source.
ALGER - L'Ecole nationale supérieure de l''intelligence artificielle de Sidi Abdallah (Alger) a obtenu son premier "Label" de projet innovant, a annoncé mardi le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari. Dans une publication sur sa page Facebook, M. Baddari a indiqué que des étudiants de troisième année de l'Ecole nationale supérieure de l'intelligence artificielle ont réalisé le premier "Label" de projet innovant de cet établissement universitaire. Il s'agit d'une application intelligente baptisée "GOUSTU" destinée aux élèves du baccalauréat. Pour rappel, l'Ecole nationale supérieure de l'intelligence artificielle, qui a ouvert ses portes au cours de l'année universitaire 2021-2022, est un pôle d'excellence de la formation supérieure qui assure la formation de l'élite dans les différentes spécialités relevant de l'intelligence artificielle à travers l'introduction des dimensions d'innovation, de transition technologique et entrepreneuriale dans le parcours de formation et de recherche.