
Le procès pour « complot contre la sûreté de l’État n°1 » en Tunisie, dont le verdict doit être prononcé le 27 novembre, dépasse largement le cadre judiciaire. Selon Jeune Afrique, le dossier repose en grande partie sur un rapport fourni par les services algériens, utilisé comme pièce maîtresse de l’accusation, sans enquête indépendante ni vérification locale.

