
Il a longtemps jonglé avec les chiffres, disséqué les courbes, dompté les algorithmes froids du monde bancaire. Puis un jour, Karim Benkrimi a posé sa plume ailleurs. Là où les formules ne suffisent plus, là où les certitudes vacillent : dans les zones grises de l’intime. Avec L’amour au temps du Corona, son cinquième roman, il quitte le champ balisé des essais techniques pour plonger dans les remous de l’humain en crise.