
Depuis le lundi 31 mars, Sonia Dahmani, avocate et chroniqueuse, figure libre de la Tunisie, a entamé une grève de la faim sauvage à la prison de Manouba. Ce geste extrême n’est ni un caprice, ni une posture. C’est le dernier recours d’une femme épuisée, humiliée, affamée, assoiffée, mais toujours debout.