
Il y a trois ans une loi historique était adoptée par le Parlement français reconnaissant la responsabilité de la France dans le sort des harkis. Une commission a été créée, chargée notamment d’indemniser les survivants et leurs descendants, mais les critères retenus n’ont jamais satisfait la communauté harki, qui a gagné un recours devant la Cour européenne des droits de l’homme, et a obtenu de plusieurs députés une nouvelle proposition de loi.