Au cours de la première année du Hirak, le chercheur Thomas Serres, dans une tribune publiée dans Le Monde le 30 septembre 2019[1], a souligné la responsabilité de la France et de l’Europe dans le soutien apporté au régime algérien, notamment en formant et en équipant son appareil répressif. Il a ainsi appelé à une solidarité envers le peuple algérien, rappelant que les manifestants du Hirak aspiraient à vivre dignement dans leur propre pays.