Quand tout est muselé, que les voix se taisent, et que même les comédiens épuisés désertent la scène, il reste un lieu où le rideau ne tombe jamais : les stades. Ces gradins bruyants ne sont pas de simples arènes sportives. Ce sont des tribunaux populaires où l’absurde est jugé, où la frustration devient hymne, et où l’ironie frappe comme un uppercut.