L’avocat algérien et ancien vice-président de la ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH, suspendue), Aissa Rahmoune vient d’être élu à la tête de la FIDH (fédération internationale des droits de l’homme). Son élection, indiqué l’organisation dans un communiqué, a eu lieu à l’occasion de la réunion du bureau international, tenue samedi dernier à Paris.
Jour : 1 juillet 2024
« Il faut que tout change pour que rien ne change. » C’est ainsi qu’on pourrait résumer l’histoire d’un parti qui, depuis 1972, incarne l’extrême droite française et qui, de ses racines collaborationnistes et coloniales aux affirmations identitaires actuelles, demeure la propriété d’une famille qui se rêve aujourd’hui au pouvoir. Le Front national (FN) est né en […]
Le Rassemblement national et ses alliés obtiennent près de 33,34% des suffrages au soir du premier tour des élections législatives, ce qui leur permet de faire élire directement 39 députés.
ALGER - Une rencontre de sensibilisation sur les risques et menaces cybernétiques a été organisée, lundi à Alger, par la Direction centrale Digitalisation et systèmes d'information, en vue de renforcer la culture de cybersécurité et de sensibiliser les employés à l’importance d'adhérer aux politiques de sécurité informatique. Tenue au siège de la Direction générale, la rencontre a été présidée par le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, en présence du Directeur général de l'Agence de la sécurité des systèmes d'information au ministère de la Défense nationale, le Général Abdeslam Belghoul, avec la participation de cadres dirigeants et des directeurs de différentes structures opérationnelles et fonctionnelles de Sonatrach. A cette occasion, M. Hachichi a indiqué que "la cybercriminalité est une question sensible et constitue une menace réelle pouvant affecter la sécurité et la continuité des opérations dans les installations industrielles de Sonatrach, plaçant les managers en première ligne de la lutte préventive face à ces risques et menaces", mettant l'accent sur la nécessité de "comprendre les enjeux de la cybersécurité et des cyber-risques pour protéger les données, les systèmes et les réseaux". Les criminels 2.0 n'hésitent pas à voler des données, à exercer du chantage ou à commettre des actes de sabotage, notamment dans le contexte géopolitique actuel, d'où la nécessité pour nous de "redoubler de vigilance et de mettre tout en œuvre pour faire face à ce nouveau type de menaces, notamment à travers des mesures préventives et proactives et la sensibilisation des employés", a-t-il expliqué. "Compte tenu de son rôle dans l'économie nationale, Sonatrach est plus que jamais tenue de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger ses installations et ses employés conformément à la réglementation en vigueur et en application des systèmes de référence aux niveaux national et international", a-t-il soutenu, insistant sur la stricte application des directives relatives à la cybersécurité dans les installations industrielles, notamment celles émises par les services internes spécialisés et les hautes autorités du pays via l'Agence de la sécurité des systèmes d'information. Pour sa part, le Directeur général de l'Agence de la sécurité des systèmes d'information au ministère de la Défense nationale a affirmé que "la cybersécurité est une mission complexe et sensible qui exige de l'ensemble des acteurs nationaux, tous domaines confondus, de redoubler de vigilance et d'efforts afin de préserver la souveraineté nationale numérique, surtout dans la conjoncture actuelle", précisant que le projet d'élaboration de la stratégie nationale de sécurité des systèmes d'information "en est à sa phase finale". Dans un document distribué à la presse à cette occasion, Sonatrach a affirmé "adopter une stratégie globale en matière de gestion des risques de cybersécurité, fondée sur la mise en œuvre de politiques préventives basées sur les dernières technologies et la prise de mesures strictes pour protéger les données et les systèmes vitaux". Sonatrach s'appuie également sur "la sensibilisation des employés à la sécurité, étant donné que l'élément humain est considéré comme le maillon le plus faible et le plus ciblé dans ce domaine", selon le document, qui ajoute que "les utilisateurs sont formés aux bases de la cybersécurité pour éviter les erreurs courantes comme cliquer sur des liens inconnus ou accéder aux comptes d'entreprise via des réseaux non sécurisés". Pour sa part, la Directrice générale de l'administration et des finances au ministère de l'Energie et des Mines, Fatiha Relimi, a indiqué que le secteur avait "adhéré à toutes les directives émises par l'instance spécialisée dans ce domaine visant à sensibiliser aux risques et menaces cybernétiques, au stockage et à la sécurisation des données et à la promotion d'une culture cybernétique contre ces menaces". Au cours de cette rencontre, les participants ont abordé les cybermenaces et les attaques susceptibles de perturber les systèmes technologiques des entreprises et d'entraver leurs services numériques. Ces menaces, qui affectent grandement la stabilité et la sécurité des organisations à l'ère de la transformation numérique, comprennent les violations de données, la fraude électronique, l'espionnage électronique, ainsi que le sabotage des installations vitales à travers des logiciels malveillants, selon les explications données. Les intervenants ont également discuté de plusieurs thèmes relatifs à la lutte contre les cyber-risques, plaidant pour l'établissement d'une coopération entre toutes les parties prenantes et le renforcement de la coordination avec les organismes gouvernementaux spécialisés en matière d'échange d'informations et de partage d'expertises.
OUARGLA - Une convention a été signée, lundi à Ouargla, entre l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla (UKMO) et l’Entreprise nationale de forage (ENAFOR), dans le but de promouvoir les opportunités de partenariat et d’échange d’expérience notamment, dans les questions liées à la formation continue et l'accomplissement de stage pratique. L’accord a été paraphé par le recteur de l’UKMO, Pr Mohamed Tahar Halilat et le Président directeur général (PDG) de l’ENAFOR, M. Mohamed Bennezzar, lors d’une cérémonie tenue à la salle de conférences du rectorat, en présence d'une pléiade d’enseignants de cet établissement de l’enseignement supérieur et des cadres de l’opérateur économique précité. Intervenant à cette occasion, Pr Halilat, s'est félicité de cette démarche qui constitue, a-t-il dit, un prolongement d’un accord similaire que l'université a signé récemment avec l’Entreprise nationale de services aux puits (ENSP). Et d’ajouter que cette convention prévoit des formations en faveur des cadres et ingénieurs techniciens de l’enENtreprise, assurées par l’université d’Ouargla dans diverses spécialités, y compris l’amélioration de leurs compétences linguistiques notamment dans la langue anglaise. En vertu de la convention, a-t-il poursuivi, les étudiants vont bénéficier de stages pratiques au niveau de l’entreprise, en plus de l’accompagnement des étudiants du premier et second cycles de l’enseignement supérieur (Licence et Master), en application de l'arrêté ministériel 1275 (un diplôme-une start-up et un diplôme-un brevet d'invention). Il a en outre fait savoir que l’entreprise, à la lumière de cette convention, est appelée aussi à assurer l’accompagnement des doctorants afin de leur permettre de réaliser leurs travaux de recherches, en plus de trouver des solutions et de résoudre certains problèmes techniques rencontrés par l’entreprise. Le PDG de l’ENAFOR a, de son côté, indiqué que l’entreprise dont la création remonte à 1966, avait déjà conclu des accords avec plusieurs compagnies étrangères pour développer les techniques de production d'hydrocarbures. Totalisant plus de 7.500 postes permanents, l’ENAFOR qui avait commencé ses activités par un seul appareil de forge dispose actuellement 52 appareils, a affirmé M. Bennezzar, estimant que la sonde école d'ENAFOR et la Faculté des Hydrocarbures de l’université d’Ouargla, constituent en soi un facteur positif pour consolider le partenariat entre les deux parties.
Le professeur Kamel Djenouhat, Président de la Société algérienne d'immunologie, a appelé ce lundi à l'inclusion des vaccins antiallergiques, qui ont prouvé leur efficacité dans le suivi, le traitement et la possibilité de guérison de nombreux cas, dans l
Une enquête judiciaire a été ouverte sur la gestion du football algérien. Trois anciens présidents de la FAF sont poursuivis.
Professeur de langues juste parce qu’il était amoureux des Beatles, de Cat Stevens, de Bob Dylan, de Joan Baez, de Leonard Cohen, de Graeme Allwright…Tellement amoureux de ces chanteurs anglo-saxons des années 70, qu’il s’était promis, très jeune, de devenir prof d’anglais.
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ماذا يحدث بين السوريين والأتراك؟
تجمع مواطنون سوريون، اليوم الإثنين، أمام النقطة التركية في مدينة الأتارب وبلدة الابزمو بريف حلب الغربي، تنديدا بما وصفوها "الممارسات العنصرية التركية" بحق السوريين في تركيا والانتهاكات التي ترتكب بحقهم دون حماية قانونية.
Air Algérie a justifié les retards ou annulations de certains vols par les conditions météorologiques exceptionnelles que connaissent certaines wilayas du sud du pays.