La production agricole marocaine est la cible d'agriculteurs français et espagnols.
Jour : 4 juin 2024
Des vestiges archéologiques et des sépultures ont été découvertes dans la wilaya de Khenchela.
Le Parlement slovène a voté mardi un décret reconnaissant l’État de Palestine, la coalition au pouvoir ayant décidé de passer en force et de rejeter une motion de l’opposition. Une semaine après l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, le petit pays alpin a franchi le pas après moult rebondissements. Le décret a été approuvé par 52 […]
L'Algérie a procédé à de nouvelles expulsions de migrants vers le Niger.
La France s’intéresse à la politique d’industrialisation de l’Algérie. Stéphane Romatet, son ambassadeur à Alger, estime que les deux pays peuvent faire « beaucoup mieux ».
ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi a présenté mardi, devant les membres de la Commission de l'éducation, de la formation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, la stratégie et les perspectives, ainsi que les mesures de numérisation du secteur. Lors de cette rencontre présidée par le président de la commission, Laid Madoui, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Besma Azouar et le vice-président du Conseil de la nation, Ahmed Kherchi, le ministre a fait état de "la mise en place d'une stratégie à même d'adapter l'axe directeur du domaine de la formation professionnelle aux exigences du développement à travers l'élaboration de programmes, l'actualisation des outils de formation et l'encadrement des formateurs tout en adoptant des mesures en faveur de la numérisation et de la modernisation du secteur". Un plan de formation a été mis en place au niveau local "en tenant compte des spécificités géographiques et du tissu économique de chaque région", a fait savoir le ministre ajoutant qu'il s'agit, en outre, d'œuvrer à "l'amélioration, à l'adaptation et à la mise à jour des programmes de formation". Il a également évoqué les mesures et moyens mis en place par le secteur au profit des demandeurs de formation, rappelant qu'au cours de l'année de formation écoulée, "environ 300.000 places pédagogiques ont été ouvertes, dont 482 au profit des personnes aux besoins spécifiques au niveau national, réparties selon la nature, les modes et les dispositifs de formation". Il a souligné que dans le cadre de la stratégie de numérisation, le secteur avait adopté des mesures visant "à moderniser la gestion pédagogique et administrative et les activités des établissements de formation", citant le lancement de plusieurs plateformes numériques, dont "Mihnati" destinée aux demandeurs de la formation et "Dalil" contenant des informations sur les établissements de formation, les spécialités, filières et programmes de formation. Evoquant les perspectives futures du secteur, le ministre a cité en particulier "le projet de jumelage entre les établissements de formation visant à favoriser l'échange entre formateurs et stagiaires et à relancer l'action participative", "le renforcement du partenariat entre le secteur et les opérateurs économiques, à la faveur d'études conjointes pour définir les programmes et méthodes", outre "le développement de la formation à distance, du mode d'apprentissage et la modernisation de ses mécanismes". A l'ouverture de la séance, le président de la commission a souligné l'importance de ce thème comptant "parmi les priorités tracées dans le programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune qui a fait de la formation professionnelle un moyen de promotion des opportunités d'emploi de jeunes, dynamiser l'économie et la production nationale".
Rayan Cherki, n’a pas été retenu par le sélectionneur de l’équipe France pour les JO de Paris 2024, pourrait rejoindre la nouvelle vague verte de l’équipe d’Algérie.
Sétif : Il est impératif et pressant de préserver et de mettre en valeur les vestiges de l'époque néolithique et antique de Laarche n'Ath Wartilan.
CONSTANTINE - La 2ème édition du Salon du digital, de la numérisation et des technologies de l'information et de la communication, ConstanTIC, s'est ouverte mardi à Constantine avec la participation de plus de 20 exposants spécialisés dans les équipements de l'information, de la communication et du digital. Placée sous le parrainage du ministère de l'Economie de la Connaissance, des Start-up et des Micro- entreprises et du ministère de la Poste et des Télécommunications, la manifestation a été ouverte par le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda accompagné des autorités locales. M. Sayouda a visité les différents stands du Salon qui présente les technologies de contrôle à distance des structures via l'internet et des applications numériques, les équipements pour les transactions électroniques, les produits nouveaux de gestion des entreprises et de numérisation de leurs services ainsi que d'accompagnement des malades et de suivi de leurs parcours thérapeutiques. Dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie d'ouverture, Mohamed Seifeddine Salhi, directeur général de l'entreprise "MediaSmart", initiatrice du Salon, a indiqué que cette édition réunit "des pionniers mondiaux des technologies numériques destinées, notamment aux entreprises administratives soucieuses d'opérer la transition numérique, de développer leurs prestations publiques et de numériser leurs services conformément aux orientations des autorités supérieures du pays". L'objectif du Salon consiste également à présenter les technologies numériques modernes et faciliter leur acquisition par les professionnels du secteur et même les particuliers et à offrir aux start-up un espace pour dévoiler leurs innovations et conclure des partenariats avec les différentes entreprises économiques et industrielles, a-t-il ajouté. Le programme du Salon comporte des conférences et workshops interactifs animés par les experts internationaux autour de divers thèmes dont l'e-commerce, la sécurité digitale et l'intelligence artificielle (IA) offrant ainsi aux participants une expérience didactique pratique pour développer leurs connaissances et échanger leurs expériences avec des experts industriels. La manifestation qui se poursuivra jusqu'à jeudi prochain offrira aussi, a-t-il ajouté, "un espace de rencontre" ouvert aux entreprises et demandeurs d'emploi et un autre destiné aux organismes publics partenaires du développement du secteur, aux agences spécialisées, aux prestataires de services, aux experts et aux consultants outre un espace visant à permettre aux entreprises d'intégrer un réseau de coopération et de nouer des relations et des partenariats stratégiques.
ALGER - La Haut-commissaire à la numérisation, au rang de ministre, Mme Meriem Benmouloud, a affirmé, mardi à Alger, que le projet de loi sur la numérisation était un jalon important dans le processus de transformation numérique dans notre pays, au regard de ce qu'il apportera notamment en matière d'encadrement de l'ensemble du secteur de la numérisation. A l'ouverture des travaux d'un séminaire sur l'élaboration du projet de loi sur la numérisation, en présence du ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, du Conseiller auprès du président de la République, chargé de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle et de la culture, Mohamed Seghir Saâdaoui et de représentants de nombre d'instances officielles, la ministre a affirmé que "le projet de loi sur la numérisation permet d'asseoir un système juridique unifié en vue d'organiser et d'encadrer le secteur de la numérisation". La ministre a, par là même, souligné que le système juridique renfermait un large arsenal juridique qui ne répond pas à l'ensemble des besoins du secteur, ce qui va être rattrapé à travers le projet de loi sur la numérisation, évoquant la possibilité de sa promulgation avant la fin de l'année en cours. La responsable a, dans ce cadre, expliqué que "l'élaboration de la stratégie nationale de la transformation numérique a été parachevée et adoptée dans un premier temps, en attendant son approbation prochainement au niveau du Conseil des ministres". Par ailleurs, la ministre a évoqué le centre national des services numériques, en cours de réalisation, comme étant "un projet d'envergure" au vu des projets qu'il prévoit, à l'instar de la création d'un portail national des services numérique à accès unique et la réalisation d'un échange numérique intersectoriel entre 16 secteurs, qui repose sur un échange instantané, automatique et sécurisé des informations. Au cours des ateliers de cette rencontre, les représentants des différents secteurs s'emploient à enrichir les thèmes de la rencontre et à en revêtir l'aspect juridique afin de finaliser le projet de loi sur la numérisation. Pour sa part, le directeur de la coopération, des affaires juridiques et des archives au Haut-commissariat à la numérisation, Abderezak Ghelis, a évoqué le processus suivi par le Haut-commissariat pour la concrétisation de la transition numérique à travers le lancement du projet du Centre national algérien des services numériques en partenariat avec le groupe chinois "Huawei", l'élaboration de la stratégie nationale de transition numérique et la préparation du projet de loi sur la numérisation. Ce projet vise à soutenir les efforts de l'Etat pour mettre en place une stratégie nationale de transition numérique, et à réaliser une approche multidimensionnelle sur la manière de réaliser la souveraineté numérique de l'Etat. Les thèmes initiaux proposés pour le projet de loi sur la numérisation portent sur l'administration numérique, la communication numérique gouvernementale, les services publics numériques, l'économie numérique incluant le e-commerce, la protection des consommateurs, l'innovation, l'entrepreneuriat numérique, l'inclusion financière, la société numérique, les transactions numériques à travers la protection des enfants et des constantes de la société de l'impact des TIC, l'organisation des technologies émergentes telles que l'intelligence artificielle, le contenu numérique et les instances de régulation.