Condamné، le 10 mai 2023, en deuxième instance à 3 ans de prison ferme, Mounir Kaabache a été transféré de la prison de Koléa à celle de Chlef, annonce le Comité national pour la libération des détenus d’opinion. Il est de la wilaya de Béjaïa où il enseignait les maths dans un collège, Mounir Kaabache […]
Jour : 23 mai 2024
Il y a des écrivains qui brillent par le talent et l’humilité, dont l’écriture tranche comme le glaive loin des sentiers battus et l’air du temps, Claire Tencin en fait partie. L’écriture de Claire Tencin est vraie. Elle accapare, elle émeut, elle bouleverse, toujours dans un élan sans cesse revivifié maintenant la flamme, poussant la […]
Rima Hassan, candidate LFI aux Européennes, a été reçue par le recteur de la Grande mosquée de Paris avant d’assister à un gala de Soolking.
Ce mardi 28 mai 2024 se déroulera le vote pour la reconnaissance de l’État palestinien proposé par le chef du gouvernement, Pedro Sanchez, issu du PSOE, le parti socialiste. Depuis le début de l’acte génocidaire par Israël, le pays ibérique a été en avant-garde du mouvement le dénonçant. Pas un seul jour où les intervenants […]
En plus des devises (réserves de change), l’Algérie dispose également d’importantes réserves d’or. Voici son classement à l’échelle continentale, régionale et internationale.
TUNIS - L’agence Tunis Afrique Presse (TAP) a organisé jeudi, en collaboration avec l’Alliance des agences de presse méditerranéennes (Aman), une conférence internationale sur le "rôle des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle (IA) dans le développement de contenus journalistiques pour les agences de presse". Intervenant par visioconférence sur le thème "Comment informer à l’ère de l’intelligence artificielle pour les agences de presse", le directeur général de l’Agence nationale Algérie Presse Service, M. Samir Gaid, a indiqué que cette conférence se veut être une première étape, du reste essentiel, pour appréhender les voies et moyens de s’adapter à l’ère de l’intelligence artificielle. "C’est à travers un travail en commun et un échange d'expériences, connaissances et expertises que nous pourrons surmonter les défis et exploiter les avantages de cette révolution technologique pour un avenir plus inclusif, éthique et flexible", a-t-il soutenu. Dans son allocution d’ouverture, M. Najeh Missaoui, PDG de la TAP et président de l'AMAN, a motivé le choix de la thématique par le consensus établi au niveau des études scientifiques sur l’importance des nouvelles technologies dans le développement des médias, particulièrement pour les agences de presse, notamment en matière d’amélioration des contenus, de rapidité dans le traitement des données, de traduction ainsi que de confection automatique de contenus audiovisuelles. Pour le directeur général de l’Union des Agences de presse des Etats membres de l'organisation de la coopération islamiques (OCI), M. Muhammad Abd Rabbuh Al-Yami, il est primordial de se prémunir contre les dangers de ces nouveaux outils qui ont facilité l’utilisation et la large distribution des fake-news et de la manipulation médiatique. Lors des débats, marqués par la participation du secrétaire général de l'AMAN M. George Penintaex, des participants ont affirmé que l’utilisation des nouveaux outils technologiques dans le domaine médiatique est à ses balbutiements au niveau mondial. L’utilisation de ces outils, d’après ces spécialistes, ne nécessite pas de grands moyens, mais juste de mettre en place un data-center local et entrainer les LLM (larges langages models) -disponibles en open sources- pour exécuter les tâches voulues. Donc, ce sont des technologies que toutes les institutions peuvent créer, adapter et innover. Dans leur communiqué final, les participants ont recommandé d'installer une commission permanente pour renforcer la collaboration entre les différentes agences membres de l'AMAN afin de créer de nouvelles IA communes, et de travailler en commun pour la prise en charge des problématiques d’ordre juridique et de propriété intellectuelle. Ils ont aussi recommandé d'assurer une formation sur les défis de l’IA et ses avantages et d'adapter le cadre juridique régissant le travail journalistique aux nouveaux défis.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, jeudi à Alger, que l'amélioration du taux d'encadrement pédagogique dans les établissements d'enseignement supérieur se poursuivait, le taux d'encadrement ayant été ramené à un enseignant pour chaque 22 étudiants, ce qui constitue un "indicateur positif". Lors d'une plénière au Conseil de la nation consacrée aux questions orales sous la présidence de M. Salah Goudjil, M. Baddari a précisé que le secteur avait pris "une série de mesures pour pouvoir recruter le maximum de titulaires de master et de doctorat en 2023", et que "1.725 postes budgétaires vacants avaient été affectés au 31 décembre 2023". "Le secteur oeuvre à promulguer plusieurs textes réglementaires visant à traiter la question de recrutement dans la limite des besoins des établissements universitaires et de recherche", a-t-il dit. Concernant les mesures prises pour le renouvellement des équipements des résidences universitaires, le ministre a rappelé "la reprise de l'opération d'équipement de 270 cantines et 230 résidences universitaires au niveau national, à travers l'acquisition et l'installation de mobilier d'hébergement et ses accessoires, des équipements robotiques, de fournitures pour cantines et foyers, d'équipements de cuisine et de systèmes de ventilation", ajoutant que "ces équipements seront distribués au cours du premier semestre de l'année en cours après 'accomplissement des procédures réglementaires". Quant à la création de nouvelles annexes universitaires, M. Baddari a souligné que "leur création dans n'importe quelle région du pays est soumise à des considérations purement scientifiques et pédagogiques", précisant qu'"aucun nouvel établissement universitaire ne peut être ouvert s'il ne répond pas au cahier des charges, ainsi qu'aux besoins de l'environnement socioéconomique et des secteurs à qui profiteront les étudiants diplômés". Par ailleurs, il a indiqué que "les récents classements des universités algériennes au niveau international sont la preuve que l'Université algérienne a sa place dans le monde", ajoutant que "l'organisation de manifestations scientifiques nationales ou internationales à l'intérieur ou à l'extérieur du pays ne fera que promouvoir l'image de ces établissements et contribuera au développement de leur dynamique de recherche". Le ministre a rappelé que ces manifestations "sont soumises à l'autorisation des organismes habilités au niveau des établissements universitaires ou de recherche sous tutelle, afin d'éviter d'éventuelles contre-vérités qui n'ont aucun lien avec le secteur".
Les cours de l’euro et du dollar semblent se stabiliser sur le marché parallèle des devises en Algérie, et ce, après avoir battu bien des records au cours des derniers mois.
Le ministère de l'Education nationale a arrêté, jeudi, le calendrier des examens de rattrapage au titre de l'année 2023-2024, durant la période allant du 23 au 27 juin pour les trois cycles d'enseignement, indique un communiqué du ministère.
Une nouvelle sanction contre CNews vient de tomber. En cause : des propos de L’intenable Geoffroy Lejeune, directeur du « Journal du dimanche ». Cette sanction portant sur un passage de l’émission «L’Heure des Pros 2» diffusée le 28 septembre 2023, dans lequel le directeur du JDD, Geoffroy Lejeune, a affirmé que l’antisémitisme et la surpopulation carcérale […]