
Indubitablement, la date du 20 avril est ancrée en nous. Elle nous rappelle la grande répression de l’Université de Tizi-Ouzou, puis de la Kabylie. Elle nous rappelle aussi le soulèvement de la population qui s’en est suivi. Il y eut quelques avancées telles que la reconnaissance de la langue amazighe (langue nationale et officielle). Des désillusions vinrent cependant altérer le tableau au fil du temps.