Amar Gacem est un auteur poète d’expression kabyle qui sait que rien ne peut remplacer la langue maternelle, il y a des choses, il y a des émotions, des pleurs qui passent mieux en kabyle que dans une langue empruntée. Cette idée rejoint celle de Jean El-Mouhoub Amrouche, « Je pense et j’écris en français mais je pleure en kabyle ».