Le président Abdelmadjid Tebboune a réuni, ce dimanche 18 février, le Conseil des ministres. Au menu, le statut particulier et le régime indemnitaire des corps spéciaux de l’éducation nationale, la numérisation, les fermes pilotes, l’eau et la campagne du Hadj 2024. Voici le communiqué intégral.
Jour : 18 février 2024
Le régime d'Abdelmadjid Tebboune continue de jeter au mitard les activistes qui refusent de se taire. Cette semaine encore, les prétoires ont tonné par les voix des courageux avocats des activistes arrêtés ou convoqués par la justice.
Un moment de complicité inoubliable entre le grand Idir et Alilou.
Alilou vous donne rendez-vous au Cabaret Sauvage le dimanche 25 février 2024.
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Les projets du statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs de l'éducation nationale renvoyés pour plus d'enrichissement. Programmé pour la réunion du Conseil des ministres, tenu ce dimanche, l'examen des deux textes a été ajourné sur instruction du chef de l'Etat, Abdelmadjid Tebboune.
Le roman de Louenas Hassani, La République de l’abîme[1], publié en 2017 aux Éditions L’Interligne, Ottawa, est une dystopie sur un pays (ici une République) tombé dans l’escarcelle de la théocratie. Résumé ainsi, le texte, réellement parlant, va au-delà de la thématique que nous venons de citer. C’est pour cela, que nous tenterons ici d’explorer les méandres d’un récit à la fois iconoclaste, haletant et déroutant.
Les développements de l'industrie de l'assurance et des marchés financiers en Afrique sont les oubliés à tort des décideurs publics et de leurs partenaires du développement.
Le président Tebboune a réuni ce dimanche le Conseil des ministres. Les fermes pilotes, la numérisation, l’eau potable et la campagne du Hadj 2024 ont été au menu.
En Éthiopie, le sommet de l’Union africaine se poursuit ces 17 et 18 février 2023 avec la Conférence des chefs d’État et de gouvernement. Pour cette 37e édition, une trentaine de dirigeants du continent sont annoncés à Addis-Abeba. Durant tout le week-end, ils vont plancher sur la situation alarmante en Afrique, de plus en plus secouée par des coups d’État, des changements anticonstitutionnels et des conflits.
ALGER - L'Ecole nationale supérieure des Sciences politiques a été baptisée, dimanche à Alger, du nom du Chahid Zeddour Mohamed Brahim Kacem, à l'occasion de la Journée nationale du Chahid. La cérémonie s'est déroulée en présence des ministres de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, et des Moudjahidine et des Ayants droit, M. Laïd Rebiga, du conseiller auprès du président de la République, chargé des affaires politiques et des relations avec la jeunesse, la société civile et les partis politiques, M. Mohamed Chafik Mesbah, de l'ancien ministre et diplomate, M. Ahmed Taleb Ibrahimi, du moudjahid et ancien diplomate, M. Salah Benkobbi, ainsi que de cadres, d'enseignants et d'étudiants de l'Ecole. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Rebiga a précisé que la Journée nationale du Chahid était "une occasion pour se recueillir à la mémoire des vaillants chouhada qui se sont sacrifiés pour la patrie, mais aussi pour réitérer l'engagement à poursuivre la marche en leur emboitant le pas comme l'a affirmé le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans le message qu'il a adressé samedi à cette occasion". S'adressant aux étudiants, le ministre des Moudjahidine a affirmé que les valeurs héritées du chahid Zeddour Mohamed Brahim Kacem et de ses compagnons Chouhada "vous incitent, vous jeunesse de cette nation qui en êtes le socle et la soupape de sécurité dans l'Algérie nouvelle, sous la conduite du président de la République, à suivre la voie des chouhada et à préserver leur legs pour poursuivre la marche et conforter les sauts qualitatifs opérés dans les différents domaines". "Vous, étudiants de cet édifice scientifique spécialisé, saisissez mieux que quiconque l'ampleur des défis géopolitiques et des enjeux stratégiques pour notre pays sur les plans régional, continental et international", a-t-il poursuivi. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a affirmé, pour sa part, que l'Université "peut être un trait d'union entre le passé, le présent et l'avenir de la nation, par la transmission des connaissances et de l'histoire d'une génération à l'autre", rappelant que le président de la République conférait à l'Université "une place prestigieuse en tant que locomotive et institution sociale sur laquelle on peut compter pour relever tous les défis". A cette occasion, le conseiller du président de la République, M. Mohamed Chafik Mesbah, l'ancien ministre et diplomate, M. Ahmed Taleb Ibrahimi, et le moudjahid et ancien diplomate, M. Salah Benkobbi, ont été honorés. Le Chahid Zeddour Mohamed Brahim Kacem (1923-1954), dont l'Ecole porte désormais le nom, est né à Oran. Rédacteur de la Déclaration du 1er Novembre en langue arabe, il fut le premier étudiant martyr de la Guerre de libération nationale. Il est mort sous la torture pratiquée par les forces coloniales françaises. Le Chahid a reçu une formation à l'Université Zitouna (Tunisie) et à l'Université Al-Azhar (Egypte), où il rencontra d'éminents dirigeants du Mouvement national algérien, notamment des membres du Parti du peuple algérien (PPA) et du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), dans les rangs duquel il militait dans les années 1940 avant de rejoindre le Front de libération nationale (FLN). A son retour en Algérie, Zeddour Brahim a subi l'onde de choc des massacres du 8 mai 1945. Le 2 novembre 1954, il fut convoqué par l'administration coloniale à Oran pour ne plus réapparaître vivant. Le 6 novembre de la même année, sa famille apprend qu'il est mort sous la torture.
L'Algérie a exhorté, dimanche depuis Addis-Abeba (Ethiopie), les parties libyennes à saisir l'opportunité de la Conférence de la réconciliation nationale, qui se tiendra à Syrte en avril prochain, pour "rétablir la cohésion entre les enfants de la Libye une et indivisible".