BLIDA - Des psychiatres se sont accordés jeudi à Blida, sur l’importance du soutien familial dans la préservation de la santé mentale des personnes âgées et leur protection contre différentes maladies pouvant affecter leur vie en général. Les participants au 2e séminaire national sur la santé mentale, dédié à la prise en charge et l'accompagnement des personnes âgées, ont affirmé que la préservation de la santé mentale de ces dernières "dépend en grande" partie de la prise en charge psychologique et affective assurée par leurs familles. "A partir de 65 ans, les personnes âgées sont sujettes à des troubles psychologiques pouvant affecter leur santé mentale en cas d'isolement social ou de solitude, de nature à les mener à la dépression", a estimé, le Pr.Khadidja Besseddik, médecin chef au service psychiatrie pour adultes au CHU Frantz Fanon. Elle a notamment souligné l’importance "d’impliquer les personnes âgées dans les différentes activités familiales et de les faire participer aux événements familiaux", mettant en garde contre les conséquences de leur "marginalisation" qui pourraient, selon eux, "créer un sentiment d'infériorité pouvant pousser certains d'entre eux à penser au suicide". Pour sa part, le Pr. Ouramdane Toudert du CHU de Tizi-Ouzou, a abordé les plus importantes maladies mentales affectant les personnes âgées, dont l'Alzheimer, la démence et les troubles du comportement, assurant le rôle primordial du soutien familial, notamment les enfants, dans l'équilibre mental des personnes âgées et le renforcement, chez eux, du sentiment d'appartenance. A son tour, le chef du service psychiatrie légale au CHU Frantz Fanon, Pr. Mohamed Lamine Bencherif, a abordé, dans son intervention, les procédures légales prescrites par le législateur algérien en matière de protection des personnes âgées, ainsi que les efforts de l'Etat pour leur prise en charge, à travers, entre autres, le relèvement du nombre des centres dédiés à cette catégorie sociale. Organisée par l’Etablissement hospitalier spécialisé en psychiatrie du CHU Frantz Fanon, la rencontre a été marquée par la présentation de plusieurs communications sur des thèmes liés à la santé mentale et physique des personnes âgées.
Jour : 21 décembre 2023
ALGER - Le groupe Sonatrach a signé, jeudi à Alger, une convention de financement avec le ministère de la Santé, au profit du service des grands brûlés de l'Etablissement public hospitalier (EPH) "Mohamed Boudiaf" de la wilaya d’Ouargla. Le document a été paraphé par le secrétaire général de Sonatrach, Abdelkader Zerrouki et le directeur général des services de santé au ministère, Lyes Rahal, en présence du ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, du ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, et du PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi. Cette convention de financement, à laquelle contribuent également les filiales du groupe Sonatrach, a pour objet d'équiper en matériel médical et fournitures le service des grands brûlés de l'EPH de Ouargla. Lors de la cérémonie de signature, M. Arkab a estimé que cet accord traduit l'engagement fort du groupe Sonatrach et ses filiales à contribuer aux efforts de l'Etat visant à améliorer la qualité de service public en matière de prise en charge sanitaire. Le ministre a souligné que Sonatrach affirme à travers cette initiative son implication dans l'action de proximité sociale, étant considérée comme une institution citoyenne ayant une empreinte réelle dans les projets de développement local, notamment au niveau des zones isolées du pays. De son côté, le ministre de la Santé a mis en avant le travail de Sonatrach contribuant à l'amélioration du service public et sa mise à proximité du citoyen. M. Saihi a rappelé que la création de pôles sanitaires dédiés aux grands brûlés est intervenue suite aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Cela s'est traduit par l'inauguration d'un hôpital des grands brûlés le 5 juillet dernier à Alger et un autre d'une capacité de 120 lits dans la wilaya d'Oran. Le ministre a annoncé le lancement prochain d'un hôpital des grands brûlés de 120 lits dans la wilaya de Skikda, en plus d'un autre hôpital dans le Sud du pays, afin de couvrir l'ensemble du territoire national dans ce domaine. De son côté, le PDG de Sonatrach, a indiqué que cette opération devrait permettre aux malades d'éviter de longs déplacements qui pourraient avoir des conséquences négatives sur leur état de santé.
La publication de la liste des médecins étrangers ayant réussi le test pour exercer en France relance la polémique en Algérie sur l’exode des soignants.
L’Algérie a convoqué, aujourd’hui, jeudi 21 décembre 2023, l’ambassadeur du Mali à Alger, « au sujet des derniers développements de la situation dans ce pays ». Ceci intervient, vingt-quatre heures après la convocation par les autorités de Bamako, de l’ambassadeur d’Algérie au Mali.
"Suite aux récents actes inamicaux des Autorités algériennes, sous le couvert du processus de paix au Mali", quelques heures après que Tebboune eut reçu Mahmoud Dicko, les autorités maliennes montent au créneau.
Au lendemain de la convocation de son ambassadeur à Bamako par le ministère des Affaires étrangères malien, l’Algérie a répliqué ce jeudi avec une mesure réciproque.
C’est la double peine pour une marque française de produits Halal. Plusieurs lots de cette marque ont fait l’objet d’un rappel en France pour un problème sanitaire.
Le ministère de la Culture a annoncé, aujourd’hui, jeudi 21 décembre 2023, le lancement d’un appel d’offres pour l’exploitation d’espaces gérés par l’Office National de Gestion et d'Exploitation des Biens Culturels Protégés. Il s’agit de musées répartis à travers les wilayas de Tébessa, Bordj Bou Arreridj, Jijel, Tlemcen et Ouargla.
L’ONG Amnesty International s’est dite, dans un communiqué rendu public mercredi 20 décembre 2023, qu’elle était « vivement préoccupée par le sort réservé aux Palestiniens de la bande de Ghaza occupée détenus par les forces israéliennes, alors que des informations font état de disparitions forcées massives ».
La France s’apprête à valider une nouvelle loi immigration inspirée et adoptée grâce à l’extrême-droite dans un contexte marqué par la montée des attaques contre les musulmans.