En hommage au Moudjahid Saba Mokrane, connu sous le nom de Merkis, qui nous a quittés hier à l'âge de 93 ans.
Jour : 21 novembre 2023
Nouveau rebondissement dans l'affaire qui oppose Koukou éditions que dirige Arezki Aït Larbi et le ministère de la Culture suite à la révélation de l'exposition du livre d'Eric Zemmour au Sila, alors même que cette maison d'édition algérienne y est interdite. "La commission de censure s'enfonce dans l'ignominie", écrit l'éditeur dans un communiqué qui annonce le dépôt d'une plainte.
Après l'exclusion de Koukou Editions du Salon International du Livre d'Alger (Sila), cette maison d'édition a publié cette information sur Facebook.
Les présidents algérien Abdelmadjid Tebboune et turc Recep Tayyip Erdogan ont haussé le ton ce mardi à Alger face à Israël.
On nous bassine depuis plus d’un siècle avec Jack l’Éventreur de Londres ou Landru de Paris et de nombreux autres serials killers. C’est oublier l’extraordinaire psychose qui avait sévi à Oran. À côté, les thrillers américains ressemblaient à une berceuse pour enfants.
Le lycée, imposante bâtisse de plusieurs hectares. Rebaptisé Kerouani, à l’origine Albertini. Plusieurs cours garnissaient l’intérieur. D’innombrables salles de cours où nombre d’heures de permanence lui permirent d’assimiler leçons et poèmes. On disiont alors récitations. Edifice trônant au centre ville, il était convoité par beaucoup.
Le pôle pénal spécialisé près le tribunal de Constantine a reporté l'examen de la demande de mise en liberté introduite par la défense du journaliste Mustapha Bendjamaa, pour le mardi 28 novembre 2023.
ALGER - Le président de la Société algérienne d'asthmologie, d'allergologie et d'immunologie clinique (SAAIC), Pr Habib Douagui, a souligné, mardi à Alger, l'"obligation" pour les praticiens généralistes de prodiguer le "conseil minimal" à leurs patients fumeurs, afin de les sensibiliser sur les méfaits du tabac. " Lors de sa formation, il est enseigné à chaque médecin généraliste l'obligation de prodiguer un ‘conseil minimal’ aux patients fumeurs, même si ces derniers ne consultent pas pour un problème pulmonaire, et ce, afin de les sensibiliser sur les risques d'avoir une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou un cancer du poumon", a déclaré le Pr Douagui. En marge d'une rencontre de célébration de la Journée mondiale de la BPCO (21 novembre), il a souligné que 90% des cas de BPCO sont dus au tabac, à l'origine également de la majorité des cas de cancer du poumon chez les hommes. Le Pr Douagui qui préside la Commission de la santé, du travail et des affaires sociales au Conseil de la Nation a évoqué également, les dangers du "tabagisme passif" face auquel il est recommandé d'appliquer "la tolérance zéro", aussi bien au sein de la famille pour protéger les enfants ou autres espaces de travail. Il a plaidé pour la réalisation d'enquêtes épidémiologiques pour "situer l'ampleur actuelle" du tabac. Lors de cette journée, organisée avec la participation de l'Association de solidarité avec les malades respiratoires (A.Asma.Resp), nombre de conférences aborderont des sujets liés au diagnostic et à l'évaluation de la BPCO, l'exacerbation et les troubles de la BPCO, la BPCO et les maladies coronariennes , la BPCO et le diabète, etc. La BPCO est une maladie pulmonaire courante qui réduit le flux d’air et cause des problèmes respiratoires. Appelée également "emphysème ou bronchite chronique", elle occasionne des sécrétions pouvant endommager ou obstruer les poumons. Elle se manifeste par une toux (parfois avec expectorations muqueuses), une difficulté à respirer, une respiration sifflante et de la fatigue.
ALGER- La directrice des programmes de soin et de la déontologie médicale à la Direction générale des services de santé du ministère de la Santé, Dr Leila Bernou, a fait état, mardi à Alger, du lancement d'une enquête nationale sur la médecine maternelle et néonatale. S'exprimant en marge d'un séminaire intitulé "Présentation des protocoles et des procédures de soins pour les nouveau-nés", la même responsable a précisé que "le ministère de la Santé lancera une enquête nationale à compter de l'année prochaine sur la médecine maternelle et néonatale", dans le cadre de la coopération entre l'Algérie et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la région africaine afin d'améliorer la prise en charge de la santé des mères et des enfants. Ce séminaire vise à présenter les protocoles et les procédures de prise en charge des nouveau-nés, élaborés en 2021 par plusieurs experts en obstétrique, gynécologie et pédiatrie, dans le but d'améliorer la prise en charge de cette catégorie vulnérable de la société. Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a affirmé, dans une allocution lue en son nom par le directeur général des services de santé au ministère, Pr Elias Rahal, que l'Etat avait lancé, depuis les années 70, dans le cadre du traitement de base, la création d'hôpitaux et de plusieurs salles de traitement et de cliniques polyvalentes, à travers différentes régions du pays, comprenant des unités de protection de la santé maternelle et infantile. Outre la réglementation des carnets de santé des nouveaux nés, les autorités publiques procèdent régulièrement à la mise à jour du calendrier national de vaccination et à l'organisation des activités liées à la prise en charge des nourrissons, a-t-il ajouté. Le même responsable a par ailleurs indiqué que l'Algérie s'est engagée auprès de différentes instances de l'ONU à établir un plan national visant à réduire la mortalité des femmes enceintes et des nourrissons et à établir un agenda pour atteindre les objectifs de développement durable à l'horizon 2030. Pour sa part, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, M. Nouhou Hamadou s'est félicité de l'élaboration de ce protocole national qui contribue, selon lui, à la bonne prise en charge des nouveaux nés et à l'uniformisation des pratiques de soins dans les structures sanitaires publiques et privées, rappelant à cet égard que l'OMS collabore avec le ministère de la santé et tous les partenaires en ce qui concerne la prise en charge des nourrissons depuis la naissance jusqu'à la première semaine de vie".
Quelque 2.600 Palestiniens, dont des patients, des personnes déplacées et du personnel médical, se trouvent toujours à l'hôpital indonésien assiégé par l'armée d'occupation israélienne, dans la ville de Jabalia, au nord de la bande de Gaza, indiquent mardi les autorités locales.