Béjaïa: Incendies de forêt à Souk El Ténine
Jour : 16 septembre 2023
Béjaïa: 55 jours après le drame des incendies d'Ath Oussalah : un retour poignant entre souvenirs douloureux, émotions fortes et lueur d'espoir
Ouverture de la 19ème édition du festival de Chant Amazigh, organisé par l'association Asalas en hommage à Djamel Allam.
Le débat sur les « bienfaits » de la colonisation refait surface en France, après les déclarations du sénateur du parti Les Républicains (droite) Bruno Retailleau.
Commémoration des événement du 18 septembre 1955 à Tighilt-Bouchekfa, commune d'Ait R'zine dans les At Abbas : les 11 martyrs sont :
- ISRIG Omar
- ISRIG Larbi
- HAMMAR Larbi
- KADJI Hocine
- ZEGROUR Hmimi
- AMGHAR Salem
- ARAB Said
- MEZIANE Bachir
- GUIZEM Hocine
- AZOUAOU Said
- IMAKHLAF Said
ALGER - La nécessité de créer un Laboratoire national d'étude des cas familiaux (génétiques) du cancer du sein, le plus répandu en Algérie avec près de 14.000 cas/an, a été mise en avant samedi à Alger. Lors d'une rencontre de sensibilisation au dépistage précoce du cancer du sein, organisée en faveur des femmes journalistes, à la maison de presse Tahar-Djaout, des spécialistes ont appelé à la création d'un Laboratoire national d'étude des cas familiaux de cancer du sein. A cette occasion, la cheffe de service chirurgie générale à l'Etablissement public hospitalier (EPH) "Djilali Rahmouni" (ex- clinique des Orangers), professeur Hamida Guendouz, a mis en exergue "le rôle des médias dans la sensibilisation de la société à cette maladie désormais très répandue", soulignant "la nécessité de créer un Laboratoire national d'étude des cas familiaux représentant entre 10 et 20% du nombre global de cas enregistrés". La spécialiste a déploré, en outre, l'atteinte de jeunes filles de cette pathologie touchant les sujets âgés de 55 ans et plus dans les pays développés, citant, par la même occasion, le progrès réalisé en Algérie en matière de prise en charge de cette maladie, classée "chronique". Lire aussi: Cancer du sein : invitation à institutionnaliser les opérations de dépistage précoce Et d'ajouter que grâce au dépistage précoce, 60% des cas présentent une bonne réponse au traitement et sont pris en charge à temps. Elle a, en outre, expliqué que certains facteurs de risque avaient été scientifiquement prouvés, dont l'âge (vieillissement), le mariage tardif et l'utilisation prolongée de contraceptifs, en plus du facteur génétique, qui représente entre 20 et 30 % des cas, l'obésité, une alimentation riche en graisses et en sucres, ainsi que l'exposition aux radiations et la prise de certains médicaments. De son côté, Dr Amina Abd el Wahab a indiqué que le traitement destiné aux patientes âgées atteintes de cancer du sein n'est pas le même que celui reçu par les jeunes porteuses de la maladie. Elle a également souligné que cette dernière catégorie ne consulte généralement un spécialiste que lorsque la maladie est à un stade avancé, en raison, selon elle, d'une mauvaise orientation et du fait que les spécialistes ne sont pas consultés. Elle a ajouté que "80%" des cas de cancer du sein sont soumis à une intervention chirurgicale et poursuivent le reste du traitement, en Algérie, y compris la radiothérapie. De son côté, la professeure Nadjia Chibane, spécialiste en imagerie médicale à L"EHP "Bachir Mentouri" à Kouba (Alger), a appelé à la réalisation de mammographies chez des spécialistes pour le dépistage de la maladie, et en cas d'impossibilité, elle a recommandé de soumettre les résultats à plusieurs experts pour confirmer la présence ou l'absence de la tumeur. Pour sa part, Linda Amina, nutritionniste, a mis en garde contre la consommation excessive de certains aliments riches en matières grasses, en sucres et en colorants alimentaires, notamment les aliments industriels, tout en recommandant de manger du poisson, des légumes et des fruits, en particulier ceux riches en antioxydants.
Djamila Bouhired est une icône de la révolution algérienne. Son hospitalisation, il y a quelques jours à Alger, pour une légère fatigue, a suscité beaucoup de réactions.
Algérie - Quelques jours après la rentrée scolaire, les élèves du primaire auront droit à 4 jours de repos à partir du 25 septembre 2023.
KHENCHELA - Pas moins de 150 étudiants représentant 20 universités du pays participent à la 5ème édition du concours de programmation pour étudiants universitaires dont le coup d’envoi a été donné samedi à l’université Abbas-Laghrour de Khenchela. Le Pr. Abdelouahed Chala, recteur de l’université hôte, a officiellement lancé ce concours organisé dans le grand auditorium sous le slogan "réfléchis, crée, analyse" et mis sur pied par le comité régional, en Algérie, de l’Académie arabe des sciences et de la technologie de la Ligue des Etats arabes. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le Pr. Chala a fait part de son espoir de voir le plus grand nombre possible d’équipes participantes se qualifier pour les compétitions arabo-africaine et internationale devant être organisées en Egypte en octobre et novembre prochains. Il a ajouté que ce concours permettra aux étudiants participants de développer leurs propres compétences en utilisant des méthodes de solution méthodologique et des algorithmes informatiques pour résoudre des problèmes industriels en élaborant des programmes pour arriver à la meilleure solution, le plus rapidement possible, et en utilisant le moins d’espace possible de mémoire informatique. Pour sa part, Imane Rahmani, représentante du comité régional de l’Académie arabe des sciences et technologies, a indiqué que 50 équipes totalisant 150 étudiants et 50 encadreurs représentant des universités et des écoles supérieures de 20 wilayas du pays se disputeront le "sésame" pour une participation à la compétition arabo-africaine. Elle a également rappelé aux représentants des équipes participantes les règles du concours, notamment l’interdiction d’utiliser tout moyen électronique ou ressource papier, notant que des professeurs et des experts spécialisés affiliés à l’Académie arabe des sciences et de la technologie présideront le jury du concours qui annoncera dimanche, l’identité des lauréats des premières places de cette activité scientifique. La première journée de cet événement scientifique a donné lieu à une virée des étudiants participants dans différents lieux touristiques de la wilaya de Khenchela, avant l’organisation, à la bibliothèque centrale de l’université Abbas-Laghhour, d’un concours expérimental, de mise en condition. Auparavant, le jeune Oussama Kantari, un enfant de Khenchela, directeur de plusieurs startups dans le domaine de l’informatique, avait présenté aux étudiants participants son expérience dans le domaine des logiciels, leur prodiguant de nombreux conseils en prévision de la compétition scientifique proprement dite qui débutera dimanche.
Le général russe Sergueï Sourovikine, l’un des commandants emblématiques de l’offensive russe en Ukraine, limogé en raison de ses liens avec le groupe Wagner, est réapparu après des mois d’absence en Algérie, à l’occasion d’une visite officielle. Les images de sa rencontre ont été publiées mardi sur le compte Facebook de la grande mosquée d’Oran et […]