Auteur/autrice : Yacine K.

La Grande Mosquée de Paris a rendu public un communiqué dans lequel elle s'en prend à la chaîne de télévision CNews et dénonce une campagne calominieuse visant les "musulmans". Tout en reconnaissant ses "liens forts et historiques avec l'Algérie", elle se dit "indépendante".

Une nouvelle crise diplomatique est déclenchée par Ahmed Attaf suite à ses déclarations sur le dossier de l'Azawad.

Après une longue carrière consacrée à la défense des médias et des journalistes contre le harcèlement des autorités et sa mobilisation à côté d'autres robes noires pour l'assistance  judiciaire des prisonniers d'opinion, l'éminent avocat Khaled Borayou est décédé, ce samedi, à l'age de 76 ans.

Par décret présidentiel publié dans le dernier Journal officiel, le président de la République et ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, a fixé les attributions  de son ministre délégué, Saïd Chanegriha, chef d'état-major de l'armée.

L'affaire Boualem Sansal suscite toujours une vive inquiétude tant sur le plan humanitaire que juridique. L'écrivain de 75 ans arbitrairement embastillé a une santé fragile. Et son arrestation révèle surtout les graves violations des libertés en Algérie.

Le salon du livre du Djurdjura a été inauguré par un officier de police.

A l'issue de la session mensuelle ordinaire de son secrétariat national, le RCD dresse un tableau peu reluisant de la situation politique, économique et sociale qualifiée  "d"angoissante" et posant "une multitude de défis pour le pays".

Comme à son habitude, Abdelmadjid Tebboune n'a pas tari d'éloges à sa personne et ses réalisations. Devant les paysans algériens, il s'est engagé, sans qu'il en soit comptable, à beaucoup d'aides diverses pour cette catégorie professionnelle.

Les autorités ont célébré avec fracas le 70e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération une certaine nuit du 31 octobre au 1er novembre. Cette commémoration aurait pu être un moment de rupture avec le climat d’arbitraire qui paralyse le pays. Mais non, l’Etat profond et Tebboune en premier ont choisi la fuite en avant et l’instrumentalisation de novembre 1954 pour chatouiller l’orgueil des Algériens.

"La nostalgie revient lorsque les promesses du présent ne sont plus à la hauteur du passé".