Certains y voient la conséquence d'une politique étrangère maladroite du président Emmanuel Macron et de l'offensive d'autres puissances. Mais il y a aussi d’autres considérations.
Boualem Sansal est une « affaire algéro-algérienne » et ne sera pas libéré sous la pression des médias de Bolloré, tranche l’agence officielle algérienne APS.
Alors que les délais fixés par la loi sont de 4 mois pour une carte de séjour, 6 mois pour un regroupement familial et de 18 mois pour une naturalisation, « la réalité est tout autre ».