Des voix s’élèvent de plus en plus au sein du Hirak qui demandent d’inclure les islamistes dans le mouvement de contestation et de les admettre dans le jeu démocratique.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
L’ancien Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, et l’ancien chef de la Sûreté de wilaya d’Alger, Noureddine Berrachdi, accusés d'abus de fonction, ainsi que l’ex-ministre de la Justice, Tayeb Louh, cité comme témoin dans cette affaire, ont été auditionnés jeudi par le juge près le Tribunal de Blida.
Abdelmadjid Tebboune est, qu’on le veuille ou non, devenu par la grâce de feu Gaïd Salah, le premier magistrat du pays. C’est donc sous son autorité, sous sa responsabilité que s’opèrent toutes les actions des services de l’État, des fonctionnaires civils ou militaires de cet État.
Une seule vraie question : comment obliger les généraux à céder le pouvoir ?
Le procureur de la République près le Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a requis, mercredi dans le cadre de l'affaire de l'homme d'affaire Ali Haddad, des peines de quinze (15) ans de prison ferme à l'encontre des deux anciens Premiers ministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal et de dix-huit (18) ans contre Ali Haddad.
La roue tourne, comme dans le cinéma! Dans le cas d'Ahmed Ouyahia, c'est le summum de l'absurde. Même le cinéaste Hitchcock ou l'acteur Charlie Chaplin, les rois de la comédie dramatique n'y trouveront rien à rajouter. On dirait qu'on assiste à une pièce de théâtre de Vaudeville, où l'humour noir frôle l'insensé, le putride, le salace.
Le Collectif des Algériens de Strasbourg nous a transmis le communiqué suivant sur la situation des violations des droits de l'homme en Algérie.
La justice allemande poursuit les enquêtes et les procédures contre d'anciens responsables du régime de Bachar el-Assad, auteurs de crimes contre l'humanité. Dernier exemple en date, l'arrestation ce vendredi d'un médecin accusé de la mort d'un prisonnier politique en 2011.
Emmanuel Macron a dénoncé lundi le "jeu dangereux" de la Turquie en Libye, y voyant une menace directe pour la région et pour l'Europe.
Le Gouvernement libyen d'union nationale (GNA), reconnu par l'ONU, a dénoncé dimanche comme une "déclaration de guerre" les menaces de l'Egypte d'intervenir militairement dans le conflit en Libye voisine.