Un appel aux citoyens de la diaspora algérienne à la manifestation aujourd'hui 5 juillet 2020 Paris est lancé par plusieurs organisations. Elle aura lieu à 14h de la place de la République à la Bastille
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
C’est l’une des grandes confusions des étudiants (des deux rives de la méditerranée) et par conséquent l’une des questions les plus fréquentes pour distinguer ces expressions. Il va de soi que chez la plupart des citoyens il en est de même, rendant ces terminologie identiques dans leur usage. Cela est plus gênant lorsqu’il s’agit d’écrits portant sur ces notions. Il est donc toujours utile de rappeler aux lecteurs le sens et l’usage précis de chacune.
Ces éléments mythiques qu'on retrouve dans tous les contes ressemblent à des fragments d'une pierre brisée que l'on aurait dispersés sur le sol, au milieu du gazon et des fleurs : les yeux les plus perçants peuvent seuls les découvrir. Leur signification est perdue depuis longtemps, mais on la sent encore et c'est ce qui donne au conte sa valeur. Guillaume Grimm
« En Algérie, nous n’avons rien vu venir » ! Cette phrase prononcée le 14 Juillet dernier, à l’occasion de la fête nationale française, par l’ambassadeur de France, en personne, a sonné dans la tête, comme le bourdon de Notre Dame d’Afrique.
Le président de la République, Chef suprême des Forces Armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, a présidé ce dimanche la réunion périodique du Conseil des ministres, sanctionnée par un communiqué.
On le tire du fourgon comme une bête étrange ! Son regard ébloui, sorti de la pénombre, un instant hagard, balaie la multitude, cohue en délire qui, jadis, applaudissait la puissance grisée qui habitait les cimes, cacophonie vulgaire, avide de sensations, basculant de la flagornerie à l’abjecte ingratitude.
Cette notion de souveraineté nationale a été tellement galvaudée par nos dirigeants et tellement usitée pour justifier tout et n’importe quoi ou enfin réunir un consensus sur quelque chose d’abstrait et non définie mais pourtant très chère à tous les Algériens. Tout un chacun se fait sa propre idée sur cette notion abstraite apparemment si importante mais en même temps si mal cernée, si mal perçue, si mal comprise.
Le féminicide s’accroît au jour le jour en Algérie, touchant toutes les catégories du deuxième sexe : maman, épouse, fiancée, sœur, fillette…
Le très nationaliste Samir Chabna, ci-devant député du FLN, a refusé le poste de ministre de la communauté algérienne à l'étranger, pour ne pas renoncer à sa deuxième nationalité française.
« Les uns crient : Aime-moi ! Les autres : Ne m'aime pas ! Mais une certaine race, la pire et la plus malheureuse : Ne m'aime pas, et sois-moi fidèle !" La Chute, Albert Camus