
Un lecteur, Karim Amine Khodja, qu'on devine assez jeune, du moins suffisamment pour ignorer l'histoire des années de feu qui ont présidé à la naissance de la presse indépendante en Algérie, nous a durement interpellés hier pour un motif insolite : si Khaled Drareni avait été journaliste arabophone, soutient-il, il n'y aurait eu personne pour penser à lui rendre hommage par un poème.