Le quotidien du pouvoir El Moudjahid fait justice et s'en prend dans un éditorial au vitriol au syndicat des enseignants chercheurs universitaires (SNECHU).
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
La Banque d'Algérie a annoncé mardi, dans un communiqué, la décision de son Comité des opérations de politique monétaire (COPM) de prendre de nouvelles mesures en vue du renforcement des ressources bancaires.
La machine judiciaire poursuit ses procès inlassablement et sans état d'âme contre tous les activistes ou citoyen enclin à exprimer quelque opinion contraire au pouvoir.
Une attaque dans le sud de la Libye a été menée par l'Armée nationale libyenne (ANL) contre une cellule de l'État islamique. Le porte-parole de l’ANL a annoncé ce mercredi 16 septembre la mort du nouveau chef de l’organisation État islamique en Libye, connu sous le nom d’Abou Abdallah al-Libye.
Le tribunal de Sidi M'hamed a condamné mercredi les deux anciens ministres de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès et Said Barkat, à des peines respectives de 8 ans et 4 ans de prison ferme avec une amende d'un million de DA chacun.
Plusieurs organisations de la diaspora algérienne en France ont organisé ce dimanche 13 septembre, à Paris, une marche unitaire pour réclamer la libération des détenus d'opinion et le changement du système politique en Algérie.
Le procureur de la République près le tribunal de Sidi M'hamed (Cour d'Alger) a requis dimanche des peines de 12 ans de prison ferme à l'encontre de Djamel Ould Abbes, et 10 ans de prison ferme à l'encontre de Said Barkat, poursuivis pour détournement et dilapidation de deniers publics, conclusion de marchés en violation de la législation, et abus de fonction lorsqu'ils étaient à la tête du ministère de la Solidarité nationale et de la famille.
2003-2020, dix-sept (17) ans après la réforme, le diagnostic qu’on peut dresser sur l'école algérienne, relève d’un échec total.
«Le pouvoir émanant de la force de quelques-uns, remplacé par la tyrannie émanant de la faiblesse de tous. Voici le destin naturel d'une démocratie mal instruite.» L'avocat du Diable - Philippe Bartherotte
La réhabilitation de tamaziɣt relève non seulement du droit inaliénable du peuple algérien auquel elle est liée par le lien de la terre et du sang, mais également une responsabilité qui incombe aux femmes et aux hommes de ce pays de veiller à sa préservation par devoir d’honorer la mémoire collective de son histoire vieille de quelques millions d’années et ce, pour un meilleur usage loin de tous les enjeux malsains de la politique de bas étage.