Un lecteur, Karim Amine Khodja, qu'on devine assez jeune, du moins suffisamment pour ignorer l'histoire des années de feu qui ont présidé à la naissance de la presse indépendante en Algérie, nous a durement interpellés hier pour un motif insolite : si Khaled Drareni avait été journaliste arabophone, soutient-il, il n'y aurait eu personne pour penser à lui rendre hommage par un poème.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Dans une déclaration, le Collectif des amis du Manifeste pour l’Algérie nouvelle (CAMAN) déclare être "solidaire avec Khaled Drareni ! Sa place est parmi les siens et non en prison !"
Abdelmadjid Tebboune, a affirmé mercredi à Alger que les partisans d'une période de transition ont "tort" et que le peuple saura faire la distinction entre "l'intègre parmi ses enfants et celui qui complote contre lui", appelant à se préparer au référendum sur l’avant-projet de révision de la Constitution.
Sur les réseaux sociaux, une publication publié par l'Office de promotion et de la gestion immobilière OPGI de la wilaya de Tiaret montrant une consultation portant sur l'achat de matériel informatique signé par l'ex directeur général de cette administration, récemment limogé s’est répandue comme une traînée de poudre ce mardi.
Un principe qui privilégie l'intérêt que doit susciter la collectivité nationale et/ou régionale de la part du dirigeant à veiller sur tout ce qui semble préoccuper la quiétude de ses sujets en matière de besoins vitaux et de sécurité notamment sans le recours à une quelconque puissance étrangère.
Dans un communiqué qui nous est parvenu ce mardi, Riposte internationale s'élève contre la condamnation du journaliste Khaled Drareni à la prison ferme et dénonce "une justice inique".
La justice aux ordres des séides de l’heure s’est tristement illustrée encore une fois avec une condamnation des plus iniques. Celle du jeune journaliste Khaled Drareni.
Le journaliste Khaled Drareni été condamné aujourd'hui lundi 10 août à trois ans de prison ferme. Il est accusé d’« atteinte à l’intégrité du territoire national » après avoir couvert, le 7 mars à Alger, une manifestation du Hirak, un soulèvement populaire qui a secoué l’Algérie pendant plus d’un an.
Le Collectif des amis du manifeste pour l’Algérie nouvelle (Caman) a rendu publique une déclaration sur l’épidémie du Covid-19
Les Libanais sont vent debout contre le gouvernement et tout ce qui représente l'autorité politique qu'ils accusent de tous les maux qui rongent le pays.