En Algérie, faute de tradition de débat, ce qui aurait dû rester au stade d’une controverse théologique vient de donner lieu à une condamnation au motif de l’offense et de l’atteinte à l’Islam.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Après la mort d’Idriss Déby et la mise en place d'un conseil militaire de transition au Tchad, une « charte de la transition » prévoyant l'abrogation de la Constitution a été publiée pendant quelques heures sur le site de la présidence, avant d'être retirée.
S’il y a un chanteur algérien qui s’est distingué dans de nombreux styles de musique, c’est bien Samy El Djazairi. Ses succès vont du Chaâbi au moderne, en passant par le hawzi et le kabyle.
Le 18 avril 2001, dans l’enceinte même de la brigade de gendarmerie d’Ait-Douala, un gendarme tire une rafale qui meurtrit le corps de Massinissa Guermah. Deux jours plus tard, le jeune lycéen de 18 ans succombe à ses blessures.
Cela ne commençait pas fort. Les premiers carrés s’étaient ébranlés peu avant onze heures alors que je descendais vers l’entrée de Hasnoua d’où partent les marcheurs. J’étais à la recherche de mes anciens camarades de 1980 : Arab Aknine, Saïd Doumane et Mouloud Lounaouci qui est arrivé un peu plus tard en compagnie de sa petite fille.
Idriss Déby est mort sur le front face à la rébellion des Fact, a annoncé ce mardi 20 avril la télévision tchadienne. À la tête du Tchad depuis 30 ans, le président tout juste réélu pour un nouveau mandat était avant tout un militaire. Soutenu par l’Occident et en particulier la France, malgré la dérive autoritaire de son régime
Nacer Maghnine (président de l'association SOS Bab El Oued) placé sous mandat de dépôt et Kamel Slimani placé sous contrôle judiciaire, mardi 20 avril 2021, après avoir été présentés, rapporte le CNLD, devant le procureur du tribunal de Bainem (Bab El Oued) aujourd'hui qui a transmis leurs dossiers au juge d'instruction du même tribunal.
Pour bien comprendre la portée du « printemps berbère d’avril 1980 » et du «printemps noir de 2001», il est indispensable de les situer dans leur contexte historique et politique, écrit le président de Riposte internationale dans cette tribune.
Dans un article récemment publié dans les colonnes de ce journal dont j'ai promis d'y revenir, il vous a été narré l'histoire plutôt dramatique vécue par certains de nos compatriotes algériens qui se sont retrouvés bloqués au niveau de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle depuis pratiquement le 26 février 2021.
22 détenus sont à leur 13e jour de grève de la faim à la prison d'El Harrach. Lundi 19 avril 2021, les 22 détenus sont au 13e jour de grève de la faim à la prison d'El Harrach entamée depuis mercredi 7 avril.