Gravissime. En plein ramadhan, une réfugiée sub-saharienne a accouché dans la rue, quelques minutes avant la rupture de jeûne devant la clinique à Aïn El Beida dans la wilaya d'Ouargla.
L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) autorise de nouveau la mise sur le marché de la phosphine, un insecticide utilisé lors du transport de céréales, vers l'Afrique notamment, pour empêcher la propagation d'insectes d'un pays à l'autre.
L'armée soudanaise a annoncé vendredi soir un cessez-le-feu, après une nouvelle journée de violents combats opposant ses soldats aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) et de multiples appels au calme, au premier jour de l'Aïd el-Fitr marquant la fin du ramadan. Mais tout a capoté.
Le Festival du Livre de Paris, se tiendra les vendredi 21, samedi 22 et dimanche 23 avril 2023 au Grand Palais Éphémère sur le Champ-de-Mars. Au programme : séances de dédicaces, lectures, débats, ateliers pour enfants, concerts et performances artistiques...
Les combats opposant l'armée régulière dirigée par Abdel Fattah al-Burhane aux paramilitaires des Forces de soutien rapide de Mohamed Hamdan Daglo ont déjà fait "plus de 330 morts et 3 200 blessés", selon l'Organisation mondiale de la santé.
Dans le scandale de la chlordécone, les juges ont estimé que la science ne pouvait pas prédire quelles conséquences ce pesticide aurait sur l’homme. De nouveaux éléments, découverts par la cellule investigation de Radio France, viennent contredire cette version.
Saïd Chanegriha (77 ans), chef d’état-major, a déclaré solennellement jeudi que l'Algérie "mène, aujourd’hui, le combat du changement". Puis sentencieux il ajoute qu'elle "ne permettra jamais le retour de ces aventuriers qui ont failli mener le pays vers le précipice et causer l’effondrement de l’Etat national", indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Mira Moknache et Lila Bouremani ont été relâchées ce jeudi soir, après avoir été arrêtéed par la police ce matin. Elles ont tenté de manifester dans le cadre du printemps amazigh.
Les revenus pétroliers et gaziers sont présents dans l’Etat, dans la tête de ceux qui pensent l’Etat. L’Etat au sens moderne du terme est entité abstraite, une fiction juridique (règles de droit) et non des personnes physiques influentes (rapport de forces).