Qatar Airways, l’une des principales compagnies aériennes au monde, a récemment pris une décision audacieuse qui pourrait révolutionner l’expérience des voyageurs aériens. En effet, la compagnie qatarie a annoncé la suppression des sièges de première classe sur ses vols long-courriers. Cette initiative qui suscite un vif intérêt auprès des passionnés de voyage et des professionnels […]
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Je n’ai pas l’intention de répondre à cette question. Ma réflexion est plutôt centrée sur l’usage complotiste de cette interrogation.
En ces temps où le simple fait d’entendre un mot d’arabe ou d’apercevoir une abaya pousse à composer le 17 ou à réclamer l’envoi du RAID, je ne saurais trop recommander la lecture de ce livre formidable. Natividad Planas y montre, à partir de l’histoire (volontairement) oubliée d’un petit royaume du Djurdjura (en Algérie) qu’aux XVIe et XVIIe siècles, a l’époque donc où nous sommes censés être devenus Modernes, il n’existait aucune ligne de faille infranchissable entre islam et chrétienté en Méditerranée.
Le mot populisme sonne immédiatement aux oreilles comme une appellation négative. C’est tout à fait paradoxal car par quelle insinuation péjorative pourrait-on qualifier sa racine, le peuple ?
Plusieurs milliers de partisans d'Abir Moussi, une opposante farouche au président tunisien Kais Saïed, en détention depuis plus de 10 jours, se sont rassemblés dimanche dans le centre de Tunis, ont constaté des journalistes de l'AFP.
La noria répressive ne finit de broyer les jeunes Algériens. Une nouvelle vague d’arrestations et de condamnations de jeunes sous de fallacieuses accusations a eu lieu la semaine dernière avec pour résultat, des énièmes condamnations.
Le procès des 94 accusés, condamnés en première instance à des peines allant jusqu'à la peine capitale, dans l'affaire de l'assassinat du jeune Djamel Bensmail a débuté, dimanche au tribunal criminel de Dar El-Beïda (Alger).
La marche pour l’égalité et contre le racisme, lancée en 1983, a 40 ans. Cette initiative antiraciste, surnommée la « marche des beurs », entendait propager un message de paix et de fraternité qui résonne encore aujourd’hui.
A ceux qui pensent que la cause palestinienne est morte*. Je leur dis : Non, plus que jamais elle est à l’ordre du jour et continue d’interpeller les esprits épris de justice et de liberté à travers le monde, y compris en Occident et pas seulement dans les pays arabes et le monde musulman. Un rafraichissement de la mémoire s’impose à ceux qui prédisent la mort de la cause palestinienne. Le Matin d'Algérie
L’idée d’écrire ces lignes s’inspire de deux faits majeurs. Le premier concerne la présence d’un agent diplomatique britannique mandaté par le consul de Sa Majesté à Alger lors des discussions sur les modalités de la capitulation du Dey et de la remise des clés de la ville au Comte de Boument ; commandant des troupes de l’armée d’Afrique.