La corruption en Algérie est un problème persistant depuis de nombreuses décennies, et elle est souvent considérée comme étant liée à la nationalisation des hydrocarbures et à l'instauration d'un régime autoritaire fondé sur la coopération.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Belkacem Messaoudi dit Da Belkacem, n'est plus, il s'est éteint à Alger à l'hôpital Mustapha bacha, le 12 août à l'âge de 81 ans, paix à son âme.
« Il faut vivre malgré les bourreaux. Cette volonté de vivre pour le combat, beaucoup d’entre vous l’ont. Je cite le nom d’Abane avec amour et respect», notait le poète et dirigeant communiste turc Nazim Hikmet en s’adressant aux détenus politique algériens en novembre 1952.
Le premier parti nationaliste algérien, L’Etoile Nord-Africaine, est né à Paris en 1926. Dissout en 1937, il renaissait immédiatement sous le nom de Parti du Peuple Algérien (PPA). Les militants qui ont déclenché l’insurrection armée le premier novembre 1954 étaient tous militants de ce parti.
Les services de la Protection civile ont enregistré durant la semaine écoulée, 28 cas de décès par noyade, dont 24 au niveau des plages, a indiqué, le chargé d'information à la Direction générale de la Protection civile (DGPC), le Lieutenant Youcef Abdat.
Les touaregs de la coordination des mouvements de l'Azawad et l'armée malienne sont sur le pied de guerre. Les pourparlers sont rompus.
Si l’Algérie a averti dès la semaine dernière qu’il faut écarter l’option militaire au Niger, la Cédéao a mis en ordre de bataille ses armées. Washington comme Paris soutiennent l’organisation ouest-africaine, tout en préférant explorer la voie pacifique.
Réunis à Abuja, les chefs d'États de la Cédéao ont décidé d'activer et de déployer « la force en attente » de la communauté ouest-africaine pour la restauration de l'ordre constitutionnel au Niger. L'organisation affirme toutefois qu'elle garde sur la table toutes les options pour « la résolution pacifique » de la crise.
Les groupements territoriaux côtiers de la Gendarmerie nationale ont enregistré, du 3 juillet au 5 août, 186 cas d'exploitation illégale des plages qui ont mené à l'arrestation de 108 individus, dont 11 placés en détention, a indiqué mardi un bilan de ce même corps de sécurité.
Dans un communiqué, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), accuse la France, de « planifier un désordre sécuritaire » dans le but « de discréditer le CNSP et créer une rupture avec le peuple nigérien ».