Pour comprendre l'entrée de l'Algérie comme partenaire aux BRICS dans le contexte géopolitique actuel, il est essentiel de saisir les forces et contradictions qui caractérisent cette réorientation/déroute stratégique.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Le CS Constantine s’est hissé sur la première marche du podium, en compagnie du MC Alger, à la faveur de sa victoire enregistrée à domicile face à l’ES Sétif (2-1), ce vendredi, à l’occasion de la 6e journée du championnat national de Ligue 1 Mobilis.
L'admission récente de l'Algérie en tant que membre partenaire du BRICS+ a suscité des débats animés, oscillant entre espoir et scepticisme. Ce partenariat, qui vise à renforcer les liens économiques et politiques entre des pays émergents, pourrait bien marquer un tournant dans le paysage économique algérien.
C’est l’un des sujets philosophiques et juridiques des plus fondamentaux pour la démocratie, peut-on limiter le droit d’expression pour éviter le désordre social ? Jamais il n’aura eu un laboratoire d’observation aussi performant que celui de la campagne présidentielle américaine actuelle. Mettons le décor en place avant de revenir au sujet énoncé.
Le 5 octobre 2024, Mohammed Harbi, vétéran de la lutte pour l’indépendance et analyste incontournable de l’histoire algérienne, fait un geste qui résonne comme un testament spirituel. À 91 ans, il prend la décision de traduire Une vie debout, son livre phare, en langue tamazight.
Le système a atteint sa vitesse de croisière totalitaire entraînant de fait l’effondrement démocratique. Il y a quelque chose d’insupportable à assister au démantèlement de tout ce qui fait un Etat de droit.
Mohammed Harbi nous a fait parvenir cette déclaration, à l’occasion de la publication par les Editions Koukou de son témoignage, « Une vie debout », traduit en langue tamaziɣt par Aumer U Lamara, sous le titre « Tudert deg iseɣ ».
Trop dangereux. La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé jeudi ne plus être en mesure de poursuivre ses activités de secours dans le nord du territoire palestinien en raison des « menaces » israéliennes pesant sur ses équipes. Impitoyable. Sans état d’âme, l’armée israélienne continue de raser ce qui reste de la bande de […]
Me Fetta Sadat, avocate de Cherif Mellal, témoigne du procès et donne ses impressions dans ce post sur l'arbitraire qui vise l'ancien président de la JSK.
Dans un monde où l'information circule instantanément, la liberté de la presse se heurte à des défis sans précédent. Selon le Rapport mondial sur la liberté de la presse 2023 de Reporters Sans Frontières, 80 % de la population mondiale vit dans un pays où cette liberté est « problématique » ou « très problématique ».