
L’article « L’université algérienne « en rose », dites-vous ? » d’Ahmed Rouadjia nous donne l’occasion de rebondir sur un sujet qui ne cesse de nous hanter depuis que le pouvoir d’Alger a décidé de façon unilatérale de remplacer le français par l’anglais. La déroute s’annonce encore plus dévastatrice que l’arabisation. C’est du suicide délibéré.