
Le vernis de la neutralité de l’école algérienne semble se fissurer un peu plus chaque jour. La récente réponse du ministre de l’Éducation nationale à une question parlementaire datée du 28 février 2025 ne fait que confirmer une tendance préoccupante : l’emprise croissante du religieux sur l’institution scolaire, jusque dans les filières scientifiques et technologiques censées incarner la modernité et l’ouverture.