Marcus Hönig a publié un livre-récit, Les larmes de Jimmy, sur son équipée en Algérie en août 2024. Il livre ici à sa manière - avec tact et sensibilité - ses impressions et réponses à des questions qui nous sont venus après lecture de son livre.
Le CRLDHT exprime sa plus vive indignation face aux récentes décisions des autorités tunisiennes consistant à disperser, sans aucun fondement juridique ni explication valable, les prisonniers politiques impliqués dans la soi-disant « affaire de complot contre la sûreté de l’État ».
Le verdict est tombé ce lundi 2 juin au matin : Karol Nawrocki, le candidat nationaliste et conservateur, a remporté l’élection présidentielle en Pologne avec 50,89 % des suffrages, selon les résultats officiels. Ce proche des milieux identitaires et assumé pro-Trump a donc devancé Rafal Trzaskowski, maire libéral de Varsovie, qui semblait pourtant en bonne position d’après les premières estimations dimanche soir.
De son Ardèche qui a été le cœur battant de bien des luttes, Marcus Hönig est allé l’été 2024 prendre avec une certaine gourmandise le soleil d’Algérie. Le jardinier et auteur à ses heures inspirées voulait surtout découvrir ce pays avec la France était subitement en froid. Il en revient avec un livre, « Les larmes de Jimmy, récit de voyage en Algérie », particulièrement puissant de vérité.
Lors d’un vote solennel, les députés ont approuvé en première instance ce 27 mai deux textes relatifs à la fin de vie. Le premier, sur le développement des soins palliatifs, n’avait fait que peu de débat et a été adopté à l’unanimité. Le second, ouvrant un droit inédit sur l’aide à mourir, avait été longuement […]
« La fermeture du champ politique pourrait conduire à l’émergence d’une élite qui détruirait le pays. » Cette déclaration, signée du Dr. Soufiane Djilali, président du parti Jil Jadid, sonne comme une alerte grave et réfléchie sur l’état actuel de la vie politique nationale.
Au Mali, les proches sont toujours sans nouvelles des trois militants politiques pro-démocratie enlevés il y a une dizaine de jours par la Sécurité d'État. Alhassane Abba, du parti Codem et de la coalition Jigiya Kura, et El Bachir Thiam, du parti Yelema, ont été enlevés le 8 mai.
Au Mali, les proches sont toujours sans nouvelles des trois militants politiques pro-démocratie enlevés il y a une dizaine de jours par la Sécurité d'État. Alhassane Abba, du parti Codem et de la coalition Jigiya Kura, et El Bachir Thiam, du parti Yelema, ont été enlevés le 8 mai.
Au Mali, les proches sont toujours sans nouvelles des trois militants politiques pro-démocratie enlevés il y a une dizaine de jours par la Sécurité d'État. Alhassane Abba, du parti Codem et de la coalition Jigiya Kura, et El Bachir Thiam, du parti Yelema, ont été enlevés le 8 mai.
Au Mali, les proches sont toujours sans nouvelles des trois militants politiques pro-démocratie enlevés il y a une dizaine de jours par la Sécurité d'État. Alhassane Abba, du parti Codem et de la coalition Jigiya Kura, et El Bachir Thiam, du parti Yelema, ont été enlevés le 8 mai.