L’Algérie cherche à moderniser son agriculture. Le défi est double : assurer la sécurité alimentaire et faire face aux conséquences du réchauffement climatique.
Auteur/autrice : Djamel Belaid
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Blé tendre : le paradoxe algérien
L’Algérie poursuit ses achats de blé tendre qu’elle peine à produire en quantités. Les agriculteurs lui préfèrent le blé dur ou l’orge. Pourquoi ?
L’Algérie ambitionne de planter un million d’arbres en une journée. Le défi est lancé par le ministre de l’Agriculture et un planteur d’arbres
L’Algérie a lancé un appel d’offres pour importer du blé dur qui est largement utilisé dans la fabrication de la semoule et des pâtes alimentaires.
La steppe algérienne disparaît lentement, rongée par le surpâturage et la sécheresse endémique. Un député appelle à la sauver.
La steppe algérienne disparaît lentement, rongée par le surpâturage et la sécheresse endémique. Un député appelle à la sauver.
Le président Tebboune a mis son véto pour la déclassification des terres agricoles pour la réalisation d’équipements publics. Une décision salutaire.
L’Algérie se tourne vers l’Amérique du Sud pour importer les bovins et délaisse la France, son fournisseur traditionnel.
Le nouveau ministre de l’Agriculture Yacine Oualid amorce un virage stratégique en laçant une campagne inédite de recrutement de jeunes talents.
En France, les agriculteurs voient l’Algérie comme un simple marché pour écouler leurs excédents, une situation qui a bien changé pourtant.