Marine le Pen, présidente du Rassemblement National vient d’être condamnée par le tribunal correctionnel à quatre ans de prison dont deux fermes, cinq ans d’inéligibilité et une amende de cent mille euros.
Ce n’est ni une provocation ni une insulte, bien au contraire. Je suis violent contre l’Islam du 7e siècle non réformé et ce qui en a été fait. Je suis en colère car personne n’exige cette réforme et ainsi ne peut se dédouaner de sa solidarité avec une partie du texte qui est absolument abominable envers les femmes, si je ne choisis que celle-là.
Boualem, comme à chaque fois qu’un innocent est martyrisé je prends la plume pour lui parler. Pour toi je personnalise le propos car pour les 240 autres ma rage exprimée ne peut être que collective. Il ne s’agit pas de différenciation par la notoriété médiatique mais une impossibilité de le faire pour chacun des autres.
« Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde » nous conseille la très célèbre phrase d’Albert Camus. Mais je pense que le problème est de trouver un nom qui correspond à ce qu’on veut exprimer dans la chose.
Toutes les hypothèses pour expliquer le basculement d’un homme ou d’une femme vers un changement de personnalité hautement répréhensible, voire dangereux, ont été étudiées, depuis les sciences médicales jusqu’aux sciences humaines comme la psychologie.
Le destin a voulu que la vie du grand homme doive s’arrêter aux portes de l’Algérie indépendante. C’était comme pour signifier que l’incarnation de la culture et de l’espoir n’y avait plus sa place dans ce nouveau monde qui lui aurait tourné le dos tant il est l’opposé de ce qu’il fut.
J’ai entendu de la part de deux chroniqueurs une analogie des évènements aux Etats-Unis avec l’épisode du premier triumvirat de Rome. Ils n’ont fait que rappeler un rapprochement que nous avons tous dans les esprits depuis le collège sauf à nous faire souvenir du nom du troisième personnage, toujours oublié comme ce fut le cas du troisième dans le célèbre groupe Les Trois Ténors.
Il m’arrive parfois de consulter les titres des articles de presse algériens, non pour m’informer, je serais pris de démence, mais pour une veille de ce qui se dit dans ce pas où on n’a le droit de ne rien dire. Qui sait, peut-être un germe de quelque chose, une lumière qui s’allume par erreur ou qui se risque, une nouvelle disposition pour la liberté.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et celui des Etats-Unis, Donald Trump, se sont rencontrés à la Maison Blanche. Ce n’est pas assez de dire que la rencontre se soit mal passée, ce fut un clash stupéfiant sous le regard du monde entier.