Ce n’est de ma part aucune plaisanterie ni un outrage, c’est la phrase d’Abdelmadjid Tebboune aux Assises nationales sur le cinéma, le dimanche 19 janvier.
Vous l’avez vu ? Vous l’avez entendu ? Vous l’avez lu ? Je dois être aveugle, sourd et illettré car pour ma part, jamais ! Pendant que l'armée israélienne impose son diktat à Jenine, le président de l'Autorité palestinienne reste silencieux.
Ce lundi 20 janvier, l’empereur est monté sur le trône. Il le fait dans le lieu sacré de l’Amérique, le Capitole, temple de la démocratie pour ceux qui lui sont encore fidèles. Un monument qu’il voulait envahir pour dénier à l’Amérique ses valeurs proclamées.
Nous continuons dans ce second article à examiner les impostures de personnages passés à la postérité historique. Bien entendu, tout le monde sait que Nostradamus fut un imposteur par ses prédictions. Tout le monde ? Pas certain.
Nous savons que les sciences, dont celles dites exactes, n’ont de certitude que leur permanente remise en cause. Que dire alors de la science historique qui par définition raconte des faits passés que personne n’a vécu pour en authentifier l’exactitude ou même la réalité ?
Ils avaient été spécialistes de l’assassinat des opposants algériens à l’étranger. Par la suite la situation ne leur a pas permis de s’essayer dans le parapluie bulgare (les anciens comprennent), le yaourt au Polonium ou la peau de bananes sur une marche de l’escalier. Par dépit, ils découvrent Tiktok pour baver leur haine contre l’opposition.
Dans une chronique très récente, comme dans de très nombreux autres écrits, j’avais condamné très sévèrement les clichés, les stéréotypes et les généralisations comme étant l’un des fléaux sociaux les plus détestables, menant jusqu’au racisme, qu’ils soient de nature régionale ou culturelle.
La décision de la Cour de cassation vient de rendre son jugement ce mercredi 18 décembre suite au pourvoi de Nicolas Sarkozy concernant sa condamnation en appel pour trafic d’influence.