Un ami vient de retenir mon attention sur le communiqué du ministère des affaires étrangères de l’Algérie à propos du bombardement de l’Iran par les États-Unis.
3. La Perle. Nous voilà dans le troisième livre de l’auteur américain John Steinbeck. Un choix qui avait été présenté comme trois entrées possibles dans son œuvre. Nous aurions pu en trouver bien d’autres mais la subjectivité est toujours une cause du choix sinon à reproduire les fiches de lecture tellement nombreuses et faciles à recopier.
2. Les Raisins de la colère. Dans la fin des années 60’ puis du début des années 70’, avec la chaine nationale unique, nous avions droit aux séries mondiales hebdomadaires et aux rediffusions annuelles de films.
Que pense un député algérien au saut du lit. Enfin, lorsqu’il pense. De l’inflation, de la démocratie, du problème du logement, de la catastrophe de l’éducation nationale ?
On ne peut tout connaître et tout maîtriser, c’est certain. Cependant, pour les phénomènes physiques qui nous passionnent il est inévitable de ressentir un profond regret de ne pas y avoir mis plus d’acharnement qu’en toute autre chose pour les comprendre.
Déshumaniser un peuple c’est par exemple pouvoir éviter de traiter les Palestiniens d’êtres humains. C’est plus facile à la conscience d’avouer vouloir les éliminer comme des bêtes ou des insectes. La déshumanisation est le fait de tous les régimes génocidaires dans l’histoire pour justifier l’immonde.
Je suis effondré lorsque le temps mis dans un gros investissement, dans une lutte acharnée pour contribuer modestement à l’effort collectif de la société afin d’améliorer l’élévation intellectuelle des jeunes, s’écroule dans une grande déflagration.
L’affaire qui vient d’éclater concerne une rétorsion que préparerait la France consistant à geler des biens détenus en France par des dirigeants algériens provenant d’une origine douteuse à l’égal de ce qui avait été décidé pour les oligarques russes.
Je réagis au titre de l’article de Kamel Daoud sur Le Point « Suis-je un traître ? Peut-être. Et alors ? ». Comme à celui de Kacem Madani qui le commente dans ce journal.
L’un, Yasmina Khadra, vient d’être reçu par Tebboune. Il n’a jamais ménagé ses efforts dans le combat pour la démocratie. Il avait arraché une nomination par Bouteflika à un poste à l’étranger dans une institution connue pour la diffusion du message de l’humanisme du gouvernement de son pays.