
Il m’arrive parfois de consulter les titres des articles de presse algériens, non pour m’informer, je serais pris de démence, mais pour une veille de ce qui se dit dans ce pas où on n’a le droit de ne rien dire. Qui sait, peut-être un germe de quelque chose, une lumière qui s’allume par erreur ou qui se risque, une nouvelle disposition pour la liberté.