L’hommage funèbre rendu au pape François a été mondial (on dit également éloge funèbre). C’est l’occasion pour moi d’exprimer un sentiment très mitigé sur cet exercice convenu et balisé.
On est toujours étonné d'avoir vécu tout à fait sereinement dans des situations qui pourtant nous apparaîtraient aujourd'hui très dangereuses et même fatales. C'est tout simplement parce que la sensation du danger n'existe que si on prend conscience de son existence. Bien entendu que les risques d’autrefois étaient connus mais la véritable conscience est celle qu'une société prend en charge par des campagnes de communications publiques.
Cette chronique rappelle combien le niveau d’instruction de la population algérienne, tout au moins de lecture et d’écriture, a fait un bond spectaculaire si on s’en tient aux seuls fondamentaux que je viens de citer. Quant au reste, ce n’est pas le lieu pour nous fâcher.
Le pardon de la France à l'Algérie en tant qu'État pour sa responsabilité dans le fait colonial serait légitime, salutaire et la promesse d’une liberté enfin retrouvée pour les Algériens démocrates.
Lorsque nous avions terminé avec le prof le cycle du cours sur la politique monétaire, nos cerveaux étaient liquéfiés. Il fallait quelques semaines de relecture et de révision pour remettre les neurones à leur place et prier le ciel que le Grand oral ne porte pas sur ce thème.
Dans de nombreux systèmes éducatifs dans le monde la bataille s'était installée à propos de la méthode de l'enseignement de l'histoire. L'histoire en chronologie ou l'histoire en thématiques ?
Lorsque j’ai entendu cette information, j’étais dans l’embarras car j’hésitais entre la colère et l’apoplexie de rire tant elle était hors de toute rationalité.
Avec le bouleversement mondial créé par la folie protectionniste d’un homme, j’ai pensé qu’il était utile de replacer l’évènement dans une longue histoire américaine. La remarque la plus importante est que Donald Trump n’a certainement pas fait naître subitement le protectionnisme qui serait l’inverse de l’histoire de la doctrine libérale américaine.
Marine le Pen, présidente du Rassemblement National vient d’être condamnée par le tribunal correctionnel à quatre ans de prison dont deux fermes, cinq ans d’inéligibilité et une amende de cent mille euros.
Ce n’est ni une provocation ni une insulte, bien au contraire. Je suis violent contre l’Islam du 7e siècle non réformé et ce qui en a été fait. Je suis en colère car personne n’exige cette réforme et ainsi ne peut se dédouaner de sa solidarité avec une partie du texte qui est absolument abominable envers les femmes, si je ne choisis que celle-là.