Mon très fort rejet du Conseil de sécurité et mon indifférence envers la clownerie que représente l’ONU ne m’empêche pas de relier l’événement de l’Assemblée générale à des clins d’œil que ma mémoire retient à son propos.
De chronique en chronique je ne sais plus quel mot évoquer pour définir les actes et paroles de Donald Trump. Stupéfiant, incroyable, inimaginable, scandaleux et ainsi de suite. Je vous laisse le choix du qualificatif pour la dernière frasque de l’inénarrable personnage pour lequel on est certain que la psychiatrie ne fait pas de miracle.
Qui n’a pas été étonné lorsqu’il a vu pour la première fois ce machin bas et rembourré qui trône dans le salon ? Surtout lorsqu’il se rend compte que ce n’est pas un joli élément décoratif mais un siège.
C’est une marotte de vieux rouspéteurs que de prétendre que les jeunes jettent presque instantanément tout ce qui est légèrement déchiré, troué ou passé de mode. Il ne leur viendrait pas à l’idée de profiter du service d’un cordonnier ou en tout cas dans la même proportion qu’autrefois.
L’enfer est pavé de bonnes intentions nous enseigne le proverbe. C’est ce qui va se passer en France avec l’obligation prochaine de porter une tenue uniforme dans tous les établissements scolaires publics.
Je ne vais certainement pas vous entretenir du Qui suis-je ?, la grande question philosophique induite par la célèbre injonction de Socrate, Connais-toi toi-même. D’abord, je risque de perdre le lecteur dès cette première phrase qui a envie d’autres évasions en ce matin qu’un cours de philosophie. Mais aussi parce que j’en serais incapable.
J’ai lu avec intérêt l’article de Hamid Ouazar, ancien député de l’opposition concernant son « opposition » au système électoral. Déjà avec ce titre annoncé comment puis-je discuter avec lui du fond de la question ?
J’ai lu dans la presse que la compagnie Domestic Airlines inaugurait son premier vol vers Tamanrasset. Et subitement, je veux dire même instinctivement, me revient à l’esprit Charles de Foucauld. Jeunes enfants, nous avions été subjugués par les textes des récits de voyage de nombreux explorateurs et aventuriers des frontières inaccessibles.
J'ai pris quelques jours pour prendre de la distance suite à l’épouvantable événement du bus à El Harrach, justement pour la réflexion que je vais vous exposer.
Les statistiques, sondages, expressions libres ou reportages, rien de cela nous permet de juger à priori du soutien à Abdelmadjid Tebboune par les Algériens. Car comme en Russie ou dans tous les pays adorés par la majorité des Algériens, bien fort est celui qui peut obtenir des réponses par un travail éditorial ou de recherche […]