BORDJ BADJI MOKHTAR- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a insisté, vendredi depuis Bordj Badji Mokhtar, sur l'impératif de vacciner tous les habitants des régions ayant enregistré des cas de diphtérie et de paludisme. S'exprimant en marge de sa visite d'inspection à l'hôpital du Chahid "Tati Argali" à Bordj Badji Mokhtar, M. Saihi a mis en avant l'impérative vaccination de tous les habitants des régions ayant enregistré des cas de paludisme ou de diphtérie et des régions voisines, "étant un moyen nécessaire pour les protéger contre la maladie". Le ministre a estimé que l'éradication de ces maladies était imminente grâce notamment à la "disponibilité des médicaments après l'approvisionnement de la région en plus de 920 boîtes, tout en optant pour les antipaludéens injectables, à quoi s'ajoutent les efforts des autorités locales qui ont évacué les eaux stagnantes, propices à la prolifération des moustiques porteurs de Paludisme". Dans le même sillage, le ministre a affirmé qu"'aucun cas de diphtérie n'a été enregistré dans la commune de Timiaouine, relevant de la wilaya de Bordj Badji Mokhtar", tandis que la vaccination demeure "le moyen le plus efficace pour la prévention", a-t-il précisé. Accompagné d'une délégation du secteur de la santé et des autorités locales, M. Saihi s'est enquis des cas enregistrés et des conditions de leur prise en charge, donnant des instructions pour la prise en charge des malades et la vaccination de toutes les franges.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Seddoud Dehia)
ALGER- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a présidé, lundi, une réunion de coordination sur la situation sanitaire dans les wilayas ayant enregistré des cas de diphtérie et de paludisme, au cours de laquelle il a donné une série d'instructions pour assurer la prise en charge nécessaire, a indiqué un communiqué du ministère. "Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a présidé, lundi, au siège du ministère, une réunion de coordination élargie sur la situation sanitaire prévalant dans les wilayas qui ont enregistré des cas de diphtérie et de paludisme, et les mesures et dispositions prises à cet effet", précise le communiqué. "Après avoir entendu des rapports détaillés sur la situation sanitaire dans les wilayas concernées, le ministre a donné une série d'instructions portant l'envoi immédiat de quantités supplémentaires de médicaments antipaludéens, de vaccins et de sérums antidiphtériques, afin d'assurer une prise en charge urgente et complète des cas enregistrés", ajoute le communiqué. La Pharmacie centrale des Hôpitaux (PCH) avait envoyé, dimanche, une quantité importante de médicaments antipaludéens dans les wilayas de Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar, souligne la même source. Lors de cette réunion tenue en présence de cadres de l'administration centrale, des directeurs généraux de l'Institut Pasteur, de la PCH, et de l'Institut national de Santé publique (INSP), le ministre a ordonné la mobilisation de tous les moyens nécessaires et logistiques pour faciliter le travail des staffs médicaux et paramédicaux, en œuvrant à renforcer ces équipes avec les ressources humaines nécessaires recrutées dans les régions voisines des wilayas touchées, ajoute le communiqué. Il a, en outre, instruit de consacrer un pavillon pour la prise en charge des cas simples (ne nécessitant pas d'hospitalisation) au niveau des hôpitaux des wilayas touchées par ces maladies, et ordonné le transfert des cas graves dans les différents établissements sanitaires de la wilaya de Tamanrasset pour recevoir le traitement nécessaire conformément aux protocoles sanitaires en vigueur, jusqu'à guérison complète. Il a, par ailleurs, instruit de vacciner toutes les catégories de citoyens y compris les enfants, au niveau des wilayas affectées et à administrer aux personnes déjà vaccinées, une dose de rappel par mesure de précaution et de prévention. Le ministre a demandé à la Cellule de veille, installée dès l'apparition de la maladie, d'élaborer des rapports quotidiens sur la situation sanitaire pour s'enquérir des développements en cours, note la même source.
CONSTANTINE- Une convention de partenariat a été signée entre l'Université Frères Mentouri (Constantine1) et l'Agence nationale d'appui et de développement de l'entrepreneuriat (NESDA), a annoncé mardi le recteur de l'établissement d'enseignement supérieur, Ahmed Bouras. La convention, signée à l'occasion de la rentrée universitaire 2024-2025, s'inscrit dans le cadre de la stratégie d'ouverture de l'université sur son environnement en vue de rentabiliser davantage le cursus pédagogique des étudiants, par notamment le développement et la promotion de l'esprit entrepreneurial parmi les étudiants, a indiqué le responsable. Elle devra déterminer les modalités d'organisation, d'orientation et d'exploitation des énergies estudiantines et des capacités des diplômés universitaires en vue de leur faciliter l'accès au monde de l'entrepreneuriat, a précisé M. Bouras, qui a mis l'accent sur l'importance de ce genre de coopération dans la réussite du programme national de développement. Selon le responsable, la convention de partenariat constitue une "motivation" pour développer les idées innovantes et encourager le sens de l'entrepreneuriat parmi les étudiants appelés à adhérer et à contribuer aux efforts de développement national. La convention de partenariat devra permettre le soutien et l'accompagnement de l'innovation et de l'entrepreneuriat au sein de l'université via le centre de développement de l'entrepreneuriat, a-t-il expliqué.
ALGER- La commission médicale, dépêchée au Sud du pays, suite à l'apparition de cas de paludisme et de diphtérie, est à pied d'œuvre, a affirmé lundi à Alger le Pr Kamel Sanhadji, président de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire (ANSS). "La commission médicale, dépêchée sur ordre du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, au Sud du pays, suite à l'apparition de cas de diphtérie et de paludisme, est à pied d'œuvre", a déclaré le Pr Sanhadji sur les ondes de la Radio nationale. Il a précisé que cette commission, composée d'immunologues, épidémiologistes et paramédicaux, entre autres, "fera des recommandations pour la mise en place d'une annexe de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) au Sud du pays, et qui sera pourvue de l'équipement médical et de ressources humaines nécessaires pour analyser les prélèvements sur place et assurer la prise en charge thérapeutique des malades". Il sera question également de "renforcer les structures sanitaires existantes en moyens matériels et en personnel soignant, notamment au niveau des wilayas les plus éloignées comme In Guezzam et Bordj Badji Mokhtar où ces pathologies ont été signalées", a-t-il ajouté, tout en insistant sur une formation de qualité du corps médical. Le Pr Sanhadji a indiqué, en outre, que des avions cargos ont acheminé des médicaments adaptés au traitement des infections déclarées, précisant que la diphtérie est traitée par des antisérums, en plus de la vaccination. Le président de l'ANSS a expliqué, à ce propos, que les patients issus des pays subsahariens limitrophes "sont traités sur un pied d'égalité que les nationaux, conformément à une démarche humanitaire qui fait honneur à notre pays depuis son indépendance". Il a rappelé, à cet égard, que l'Algérie "a toujours vacciné en masse et dispose d'un programme qui lui a valu les félicitations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), permettant ainsi à notre population d'être sécurisée contre les grandes problématiques sanitaires".
ALGER- La commission médicale, dépêchée au Sud du pays, suite à l'apparition de cas de paludisme et de diphtérie, est à pied d'œuvre, a affirmé lundi à Alger le Pr Kamel Sanhadji, président de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire (ANSS). "La commission médicale, dépêchée sur ordre du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, au Sud du pays, suite à l'apparition de cas de diphtérie et de paludisme, est à pied d'œuvre", a déclaré le Pr Sanhadji sur les ondes de la Radio nationale. Il a précisé que cette commission, composée d'immunologues, épidémiologistes et paramédicaux, entre autres, "fera des recommandations pour la mise en place d'une annexe de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) au Sud du pays, et qui sera pourvue de l'équipement médical et de ressources humaines nécessaires pour analyser les prélèvements sur place et assurer la prise en charge thérapeutique des malades". Il sera question également de "renforcer les structures sanitaires existantes en moyens matériels et en personnel soignant, notamment au niveau des wilayas les plus éloignées comme In Guezzam et Bordj Badji Mokhtar où ces pathologies ont été signalées", a-t-il ajouté, tout en insistant sur une formation de qualité du corps médical. Le Pr Sanhadji a indiqué, en outre, que des avions cargos ont acheminé des médicaments adaptés au traitement des infections déclarées, précisant que la diphtérie est traitée par des antisérums, en plus de la vaccination. Le président de l'ANSS a expliqué, à ce propos, que les patients issus des pays subsahariens limitrophes "sont traités sur un pied d'égalité que les nationaux, conformément à une démarche humanitaire qui fait honneur à notre pays depuis son indépendance". Il a rappelé, à cet égard, que l'Algérie "a toujours vacciné en masse et dispose d'un programme qui lui a valu les félicitations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), permettant ainsi à notre population d'être sécurisée contre les grandes problématiques sanitaires".
ALGER- Le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Brahim Merad, a supervisé, samedi à l'Ecole nationale d'administration (ENA) Moulay Ahmed Medeghri (Alger), le cours inaugural de la 55e promotion de l'école, sur le thème "Le gestionnaire public entre les exigences du contexte actuel et les défis de la gestion par résultats". Dans son allocution à cette occasion, en présence du Médiateur de la République, M. Abdelmadjid Ammour, ainsi que de walis, de cadres et de responsables locaux, M. Merad a précisé que le cours inaugural "est consacré à un nouveau mode de gestion dans le cadre d'un programme prospectif de formation d'un système en adéquation avec les évolutions mondiales", relevant que "les nouveaux modes visent à surmonter les difficultés rencontrées et à améliorer la performance pour répondre aux ambitions des pouvoirs publics". "Une bonne performance pour les cadres de demain leur permettra de gagner la confiance des citoyens à travers la prise en charge de leurs préoccupations et la satisfaction de leurs besoins", a ajouté le ministre. Pour sa part, le directeur général de l'Ecole, M. Abdelmalik Mezhouda, a indiqué que l'ENA avait "adapté ses programmes pour être en phase avec les enjeux actuels, notamment en matière d'amélioration de la gestion publique, d'efficacité des politiques publiques et de transformation numérique, ainsi que le renforcement des programmes de coopération internationale et d'échange d'expériences". Le cours inaugural donné par le Pr. Omar Hemissi, diplômé de l'ENA et directeur général de l'Ecole supérieure de Banque (ESB), a porté sur "le management public moderne, comme domaine d'étude qui concilie les objectifs de performance et les exigences de l'orientation sociale de l'Etat, ainsi que le gestionnaire public, acteur clé, et la gestion par objectifs, comme approche moderne et processus méthodologique allant de la planification à l'évaluation". Il a également évoqué les "politiques publiques, le cadre juridique, et les instances et institutions de gouvernance, ainsi que les outils et mécanismes pour la mise en œuvre des programmes et projets", tout en se penchant sur "la mission de l'Etat qui repose sur l'établissement de règles et de normes, outre la gestion par résultats comme processus visant à réaliser un équilibre harmonieux". "Le gestionnaire est le représentant de l'Etat et responsable de l'exécution des programmes et projets tracés" avec la garantie des mécanismes et des ressources nécessaires, de même qu'il est "un centre de décision opérationnel et technique, représentant les organismes de gouvernance et responsable de la mise en œuvre des décisions", a expliqué M. Hemissi.
ALGER - Le ministère de l'Education nationale a annoncé, mercredi, que les inscriptions aux classes préscolaires pour les enfants nés entre le 1 janvier et le 31 décembre 2019 seront lancées dimanche prochain et se poursuivront jusqu'au 9 octobre. L'opération se fait uniquement via le système d'information du secteur de l'Education nationale, a tenu à préciser le ministère, ajoutant que les parents sont appelés à s'inscrire aux classes préscolaires sur le lien suivant : https://awlya.education.dz . Les parents adhérés à l'espace Parents sur le système d'information du secteur de l'éducation nationale doivent remplir le formulaire d'inscription numérique et choisir d'une (1) à cinq (5) écoles primaires parmi les établissements proposés comptant des groupes d'éducation préscolaire, lit-on dans le communiqué. Le parent ou le tuteur légal doit téléverser des photos ou des copies des documents justifiant le lien de parenté avec l'enfant et le lieu de résidence ou de travail, selon le cas. Le parent ou le tuteur est appelé à garder le formulaire d'inscription dument rempli sur le système d'information comportant le nom d'utilisateur et le mot de passe. Pour les parents non adhérés à l'espace Parents, ils doivent d'abord ouvrir leurs propres comptes via le lien susmentionnés afin qu'ils puissent saisir les informations contenues dans le formulaire d'inscription aux classes préscolaires suivant les mêmes étapes. Les parents seront informés des résultats d'examen de leurs demandes à travers l'espace qui leur est dédié sur la plateforme du secteur de l'Education nationale. Les listes des admis seront affichées, jeudi le 10 octobre 2024, au niveau des établissements scolaires concernés, a ajouté la même source. Les élèves pourront, ainsi, rejoindre les écoles primaires où ils ont été admis, le 13 octobre 2024. Par ailleurs, toute inscription en dehors de la plateforme du ministère de l'Education est considérée nulle en non avenue, a conclu le ministère.
ALGER - Le Gouvernement a examiné, mercredi, lors de sa réunion présidée par le Premier ministre, M. Nadir Larbaoui, un projet de décret exécutif fixant les conditions et les procédures d'agrément, de fonctionnement et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement, indique un communiqué des Services du Premier ministre. Lors de sa réunion consacrée au suivi de la rentrée scolaire et universitaire, le Gouvernement a examiné "un projet de décret exécutif fixant les conditions et les procédures d'agrément, de fonctionnement et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement", précise la même source. Ce projet de décret exécutif vise "à améliorer la qualité de l'enseignement et les conditions de scolarisation, et à promouvoir les normes techniques et pédagogiques applicables à l'investissement privé dans le domaine éducatif, et à assurer la complémentarité avec le secteur public à travers la consécration de la loi d'orientation sur l'éducation nationale comme une référence fondamentale pour l'activité de ces établissements", souligne la même source.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a présidé, mardi, l'ouverture de l'année universitaire 2024-2025 à l'Ecole nationale supérieure de cybersécurité au niveau du pôle universitaire des sciences et technologies Abdelhafid-Ihaddadene à Sidi Abdellah (Alger). S'exprimant lors de la cérémonie d'ouverture, en présence du conseiller du président de la République chargé de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle et de la culture, Mohamed Seghir Saâdaoui, M. Baddari a affirmé que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, "place l'Université algérienne au centre de ses intérêts et des priorités de l'action du gouvernement". "L'Algérie victorieuse a besoin d'un système éducatif universitaire solide", a-t-il soutenu, mettant en avant la poursuite des efforts visant à atteindre un système de qualité de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, à travers une série de mesures dont "le développement du réseau des écoles nationales supérieures et la diversification des programmes de formation pour hisser le niveau de performance". Rappelant les étapes historiques de l'évolution de l'Université, le ministre a mis en avant "le rôle et la dimension stratégique de l'Université algérienne aujourd'hui en tant que levier de l'économie nationale". Concernant les futurs défis, M. Baddari a insisté sur l'importance de "rapprocher l'Université de son environnement socioéconomique, et de former des diplômés capables de créer des opportunités d'emploi et de contribuer efficacement au développement aux niveaux local et national", appelant la communauté universitaire à "conjuguer les efforts pour gagner les enjeux et hisser l'université algérienne au plus haut niveau".
ALGER - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, lundi soir, que l'année universitaire 2024-2025, verra une amélioration de la qualité de l'enseignement supérieur pour promouvoir la place de l'université algérienne. Invité de la Télévision algérienne, M. Baddari a souligné que "l'université algérienne occupe désormais une place honorable aussi bien dans son volet pédagogique que celui de la recherche, ce qui exige de la préserver à travers un enseignement supérieur et un encadrement de qualité". Il a, à cet égard, appelé la communauté universitaire à poursuivre ses efforts qui lui ont permis d'élever le niveau de l'université algérienne, rappelant les remerciements adressés par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, à tous les cadres du secteur de l'enseignement supérieur, enseignants et administrateurs, pour leur contribution à la promotion de l'université algérienne au niveau régional et international. A l'occasion de la rentrée universitaire mardi, M. Baddari a indiqué que cette année universitaire connaîtra un renforcement du réseau des écoles nationales supérieures, notamment avec l'inauguration de l'Ecole nationale de la cybersécurité au niveau du pôle universitaire des sciences et technologies de Sidi Abdellah (Alger), qui entamera la formation dans ce domaine sensible dès mardi, soulignant que les choix des bacheliers distingués ont été majoritairement orientés vers les écoles nationales supérieures ainsi que les sciences médicales. Le ministre a également révélé que la nouvelle année universitaire verra la réception de 31 000 places pédagogiques et de 12 000 lits, ce qui reflète l'intérêt croissant porté aux étudiants, notamment avec le renforcement du recrutement des enseignants universitaires, outre l'augmentation de 60% du budget du secteur entre 2020 et 2024. D'autre part, le ministre de l'Enseignement supérieur a souligné que le secteur tend à rapprocher l'université de son environnement économique afin que chaque diplômé ait l'opportunité d'être un acteur sur le marché et de contribuer à résoudre les problèmes de la société en participant au développement économique à travers la création d'emplois, ainsi que l'innovation et la créativité. Pour ce faire, a-t-il ajouté, un environnement entrepreneurial a été créé avec 117 incubateurs pour accompagner les porteurs d'idées innovantes, ainsi que 107 centres de développement entrepreneurial, en plus d'accompagner ces étudiants ainsi que plusieurs établissements universitaires pour le passage à une université de quatrième génération au cours de cette année universitaire. Concernant l'amélioration de la visibilité de l'université algérienne, le ministre a fait savoir que des milliers d'étudiants étrangers ont rejoint les universités algériennes cette année, grâce au "Label Study in Algeria", visant à faire de l'université algérienne une destination de choix pour les étudiants de différents pays, notamment africains, arabes et asiatiques. Concernant le sport universitaire, M. Baddari a indiqué que "le secteur œuvre à son développement à travers la création d'un championnat sportif universitaire, qui permettra l'émergence d'une élite de jeunes étudiants qui honoreront l'Algérie lors de différentes compétitions, notamment internationales, conformément à l'instruction donnée par le président de la République lors de la dernière réunion du Conseil des ministres pour promouvoir le sport universitaire. Le ministre a également évoqué le dossier de la numérisation du secteur, placé sous le slogan "Efficacité et simplification", avec la création de 60 plateformes numériques, permettant aux étudiants, notamment aux nouveaux bacheliers, de s'inscrire avec "zéro papier", outre la rationalisation des dépenses liées aux inscriptions et aux œuvres universitaires, notamment dans les domaines du transport et de la restauration.