ORAN - Pas moins de 6821 étudiants en licence et master ont reçu leurs diplômes cette année à l’université d’Oran 2 "Mohamed Benahmed", a-t-on appris, mercredi, du recteur de cet établissement d’enseignement supérieur, le professeur Ahmed Chaalal. Lors de la cérémonie de clôture de l’année universitaire 2023-2024, en présence de membres du corps universitaire, des étudiants diplômés et des autorités locales, M. Chaalal a souligné que les diplômés sont au nombre de 4063 en licence et 2758 en master. En outre, 30 étudiants étrangers ont obtenu leurs diplômes cette année à l’université d’Oran 2, qui accueille actuellement un total de 106 étudiants de 20 nationalités de pays amis et frères, dont 16 Etats africains, et quatre autres arabes dont la Palestine. L’effectif total des étudiants affiliés à l’université d’Oran 2 "Mohamed Benahmed" a atteint, cette année universitaire, 25028 étudiants de différents paliers, filières et spécialités. Dans le cadre du renforcement de l’encadrement pédagogique de l’université, 102 enseignants ont été recrutés dans différentes spécialités au début de l’année universitaire écoulée, selon le même responsable qui a annoncé l’ouverture de 41 postes d’enseignants dans le cadre du recrutement externe. Dans le cadre de l'ouverture de l'université sur l'environnement économique et social, 5 accords nationaux ont été signés avec différents partenaires et cinq autres internationaux avec des universités étrangères, selon la même source, qui a indiqué que l’université Oran 2 a enregistré d'autres réalisations cette année, notamment dans le domaine de la recherche et la formation universitaire, au nombre de 101 projets en majorité par des doctorants. L’année universitaire 2023-2024 a enregistré également l’inscription de 90 projets de start-up dans différents domaines, 43 micro-entreprises, 15 projets de brevet, ainsi que la soutenance de dix thèses de start-up en attendant le reste au début de l’année universitaire prochaine, a-t-on signalé. Cette cérémonie a été mise à profit pour honorer un nombre de diplômés et d’étudiants étrangers, d’enseignants promus au grade de professeur, d’étudiants porteurs de projets et détenteurs de label de projet innovant, des diplômés ayant acquis un certificat de start-up, et des vainqueurs dans différentes compétitions sportives et culturelles universitaires.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Seddoud Dehia)
ALGER - Le Centre hospitalo-universitaire (CHU) "Issaad Hassani" de Beni Messous (Alger), s'est doté de nouvelles unités sanitaires inaugurées par le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, lors d'une visite menée, mardi, dans cet établissement hospitalier. Il s'agit d'un bloc opératoire pour le service de chirurgie générale et d'une unité de cancer et de malformations congénitales du service d'immunologie, ainsi que deux unités de tumeurs et de rééducation respiratoire relevant du service de maladies respiratoires, qui ont bénéficié d'opérations d'aménagement et de modernisation. Le ministre a également inspecté le projet de réalisation du service d'oncologie, où il a affirmé à l'occasion que l'Etat "déploie tous les efforts pour améliorer la prise en charge des patients", relevant que le secteur de la Santé "s'est renforcé depuis 2021 de plusieurs réalisations". "L'intérêt accordé par l'Etat à ce secteur lui a permis de réaliser un saut qualitatif en termes de structures, d'unités sanitaires, de consultations et de compétences humaines", a-t-il ajouté. Rappelant que sa visite d'aujourd'hui au CHU de Beni Messous s'inscrivait dans le cadre du "suivi des activités du programme du ministère de la Santé", M. Saihi a précisé que la modernisation de plusieurs unités et services permettra d'améliorer la qualité de la prise en charge du patient. Un service de chimiothérapie équipé de moyens sophistiqués et un autre de radiothérapie seront réalisés au niveau du CHU de Beni Messous, a ajouté le ministre, ce qui permettra à ce centre de devenir "un pôle hospitalier par excellence", a-t-il dit.
ALGER - Le Secrétaire général du ministère de la Poste et des Télécommunications, Abdelouahab Bara, a souligné, dimanche à Alger, l'engagement de l'Algérie en faveur de la concrétisation du projet de Dorsale transsaharienne à fibre optique, avec le parachèvement du déploiement de près de 2600 km de fibre optique. Intervenant à l'ouverture des travaux de la 5e session du Comité de liaison de la Dorsale transsaharienne à fibre optique (CLDT), en présence de représentants des pays africains concernés, le représentant du ministère a mis en avant "l'engagement de l'Algérie en faveur de la concrétisation de ce projet", rappelant, à cet égard, "le parachèvement des travaux de déploiement de près de 2600 km de fibre optique reliant Alger à In Guezzam, outre l'extension d'une autre ligne jusqu'à la wilaya de Tindouf". Ces deux dernières années, l'Algérie a également doublé sa capacité de bande passante internationale avec l'entrée en service d'un câble sous-marin, a-t-il ajouté, soulignant, dans ce sens, l'importance de ce projet stratégique transsaharien, qui constitue, a-t-il dit, "un modèle de partenariat réussi entre les pays africains". "Le projet a vocation à créer une dynamique technologique favorisant l'émergence d'une économie numérique dans les pays concernés à même de contribuer au développement du commerce électronique sur le continent et des services financiers en ligne et à l'amélioration du climat des affaires", a expliqué M. Bara. De son côté, le Secrétaire général du CLDT, Mourad El Alia, a indiqué que cette session permettra de "discuter de l'état d'avancement des travaux du projet et des contraintes rencontrées". L'Algérie compte, à travers ce projet, "mettre à profit le câble sous-marin reliant Alger et Valence (Espagne) pour favoriser l'accès des Algériens à internet et permettre ensuite aux pays africains ne disposant d'aucune bande côtière de bénéficier des mêmes services". Le projet de Dorsale transsaharienne à fibre optique reliant l'Algérie, le Niger, le Nigeria, le Tchad, le Mali et la Mauritanie s'inscrit dans le cadre de l'initiative du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD).
ALGER - L'Université de la Formation continue a célébré, jeudi à Alger, le 62e anniversaire de la fête de l'indépendance et de la jeunesse, en coordination avec le Centre national des études et recherches sur le mouvement national et la Révolution du 1er Novembre (CNERMN54), en présence d'étudiants et de Moudjahidine. A cette occasion, le Directeur de l'université, Pr. Yahia Jaafari, a souligné "la nécessité de demeurer fidèles au serment fait aux chouhada et à leurs sacrifices pour le recouvrement de la souveraineté nationale, et ce en poursuivant l'édification de la Patrie", considérant que la bataille d'aujourd'hui est "une bataille pour la réalisation de la souveraineté numérique". M. Djaafri a ajouté que la réalisation d'un "système numérique" est le défi à relever pour faire face aux "menaces transfrontalières et aux nouvelles guerres" auxquelles de nombreux pays sont confrontés à l'ère actuelle. La conférence a connu des interventions de plusieurs moudjahidine, dont Mohamed Debbah, Mahmoud Arbadji et Abdelkader Bakhouche, qui ont témoigné des crimes commis par le colonialisme français contre le peuple algérien pendant l'occupation. Le moudjahid Mohamed Ghafir, qui était responsable de la Fédération du FLN en France a, quant à lui, consacré son intervention au rôle des Algériens résidant à l'étranger pendant la Guerre de libération nationale, notamment "leur grande contribution au financement de la guerre et à l'internationalisation de la cause algérienne". Il a, à cet égard, souligné que les événements du 17 octobre 1961, où le peuple algérien a porté la guerre au cœur de la France, constituaient "la dernière bataille de la Guerre de libération". Par ailleurs, un court métrage sur l'histoire du mouvement national algérien depuis le début de l'occupation française jusqu'à l'indépendance, et un autre sur les réalisations du secteur de l'enseignement supérieur depuis l'indépendance, ont été projetés. La clôture de la conférence a été marquée par un hommage rendu aux moudjahidine.
SKIKDA - Le coup d'envoi de la 5ème édition du championnat national de la robotique et l'intelligence artificielle (IA), qualificatif pour les olympiades mondiale de la robotique prévues novembre prochain en Turquie a été donné, mercredi, à la salle omnisports de la cité Larbi Ben M'hidi de la ville de Skikda. Ces joutes scientifiques mettent en lice 250 participants âgés entre 8 et 17 ans représentant les wilayas de Skikda, Oran, Tizi Ouzou, Mila, Tipaza, Bouira et M'sila, a-t-on appris des organisateurs. Ce concours de trois jours connait l'organisation de plusieurs challenges dont celui du robot sumo et de la célérité de contrôle, a indiqué le président du comité d'organisation et président du club "Les géants de la robotique" de Skikda, Tarek Thabet. Selon la même source, le concours est encadré par 11 referees de plusieurs wilayas, dont l'évaluation des prototypes tiendra compte de nombre de critères objectifs, selon la même source. L'objectif de ce championnat national est de diffuser la culture de la robotique en Algérie, notamment parmi la catégorie des enfants pour en favoriser l'épanouissement intellectuel, a ajouté M. Thabet. Les lauréats de ce concours participeront aux olympiades mondiales de la robotique qui auront lieu en novembre prochain en Turquie, a-t-on indiqué.
ORAN - L'Algérie a réalisé des résultats positifs en matière de vaccination contre différentes maladies et épidémies au titre de sa politique de prévention sanitaire, a indiqué, mercredi à Oran, le Directeur général de l'Institut national de la santé publique, Dr Bouamra Abderrazek. Dr Bouamra a souligné, lors d'une rencontre régionale de formation des médecins et gestionnaires des programmes de vaccination, organisée à partir de ce jour par l'Observatoire régional de la santé d'Oran, que "l'Algérie a réussi, grâce aux capacités matérielles et humaines qu'elle a mobilisées au cours des dernières années, à atteindre de grands résultats positifs dans le domaine de la vaccination". Il a ajouté que le succès du programme national de vaccination en Algérie a permis de réduire le taux de mortalité infantile, atteignant 17 décès pour 1.000 naissances, ces dernières années, alors qu'il était estimé à environ 180 décès pour 1.000 naissances au lendemain de l'indépendance. L'Algérie a également réussi à lutter contre plusieurs maladies et épidémies, dont la varicelle, la poliomyélite, la rougeole et autres, selon le même responsable, qui a déclaré que l'Institut national de la santé publique, en coopération avec le ministère de tutelle, a récemment lancé un programme de formation au profit des médecins et des responsables des programmes de vaccination au niveau de wilayas, leur permettant d'échanger expertises et expériences, sachant que le lancement a été effectué à partir des wilayas de l'Ouest du pays et l'opération sera généralisé au reste du pays lors de l'étape suivante. La Directrice de l'Observatoire régional de la santé d'Oran, Nawel Belarbi, a indiqué que cette rencontre de formation de deux jours, en présence de 100 médecins et gestionnaires de programmes de vaccination au niveau de dix wilayas de l'Ouest du pays, porte sur des communications sur le programme national de vaccinations, animées par des praticiens de l'Observatoire régional de la santé d'Oran, des directions de la santé d'Oran et de Relizane. L'assistance participe aussi à des ateliers traitants entre autres le système d'information, la qualité des données comme moyen de prise de décisions dans la programmation de campagnes de vaccination et la stratégie de communication comme moyen de sensibilisation à l'importance de ces programmes.
ALGER - Les participants à une journée d'étude sur "l'innovation en santé et l'industrie pharmaceutique en Algérie" ont souligné, mardi à Alger, l'importance pour les entreprises de ce secteur de s'ouvrir sur les startups pour stimuler l'innovation et améliorer les services de la santé. Opérateurs économiques, startups et cadres de ministères concernés par le thème, présents à cet évènement ont considéré que l'accélération technologique et la complexité croissante des marchés "imposent aux entreprises l'ouverture sur les startups pour stimuler l'innovation et œuvrer à trouver des solutions à des problèmes posés, notamment dans le secteur de la santé". Dans cette optique, le directeur de la sérialisation et des données pharmaceutiques au ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, Mehdi Amrouni, a relevé que le département qu'il représente s'emploie depuis des années à allier des startups dans ses projets, soulignant que pendant la crise sanitaire du COVID-19, le ministère s'est associé avec une startup pour créer une plateforme de ''supply chain'' sur la disponibilité des médicaments dans le cadre d'un système de veille lancé dans la foulée des actions entreprises. Il a dans le même ordre d'idée assuré que la même startup a développé pour le ministère une plateforme pour créer un système de transfert de données pharmaceutiques. M. Amrouni a également indiqué que des startups accompagnent actuellement, à travers leurs innovations et solutions, le ministère dans ses efforts de numérisation du secteur et de promotion de la production pharmaceutique. De son côté, la Secrétaire générale du ministère de l'l'Economie de la connaissance, des Startups et des Micro-entreprises, Nacima Arhab a relevé que la nouvelle loi des marchés publics facilite pour les startups labellisées la participation aux appels d'offres et par ricochet encourage les entreprises à faire appel aux startups pour promouvoir leurs services. Elle a, dans ce contexte, mis en avant le rôle de l'accélérateur de startups public, Algeria venture, dans la création de liens et d'opportunités d'innovation entre les startups et les entreprises. Intervenant à l'occasion, la fondatrice d'une plateforme de vigilance pharmaceutique, Farah Bouras, a estimé que "la collaboration startups-entreprises s'impose aujourd'hui comme une démarche importante dans l'accès des entreprises à de nouvelles idées et technologies", appelant à "une synergie d'efforts entre différents acteurs du domaine pour mettre en lumière le rôle que peuvent jouer les startups dans la promotion des divers secteurs et l'amélioration de la qualité des services". Des thèmes en relation avec l'intelligence artificielle (IA) et l'innovation technologique en santé ont été également débattus par les participants à cette journée d'étude, organisée par l'incubateur numérique, DZ HadinaTech.
OUARGLA - Une convention a été signée, lundi à Ouargla, entre l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla (UKMO) et l’Entreprise nationale de forage (ENAFOR), dans le but de promouvoir les opportunités de partenariat et d’échange d’expérience notamment, dans les questions liées à la formation continue et l'accomplissement de stage pratique. L’accord a été paraphé par le recteur de l’UKMO, Pr Mohamed Tahar Halilat et le Président directeur général (PDG) de l’ENAFOR, M. Mohamed Bennezzar, lors d’une cérémonie tenue à la salle de conférences du rectorat, en présence d'une pléiade d’enseignants de cet établissement de l’enseignement supérieur et des cadres de l’opérateur économique précité. Intervenant à cette occasion, Pr Halilat, s'est félicité de cette démarche qui constitue, a-t-il dit, un prolongement d’un accord similaire que l'université a signé récemment avec l’Entreprise nationale de services aux puits (ENSP). Et d’ajouter que cette convention prévoit des formations en faveur des cadres et ingénieurs techniciens de l’enENtreprise, assurées par l’université d’Ouargla dans diverses spécialités, y compris l’amélioration de leurs compétences linguistiques notamment dans la langue anglaise. En vertu de la convention, a-t-il poursuivi, les étudiants vont bénéficier de stages pratiques au niveau de l’entreprise, en plus de l’accompagnement des étudiants du premier et second cycles de l’enseignement supérieur (Licence et Master), en application de l'arrêté ministériel 1275 (un diplôme-une start-up et un diplôme-un brevet d'invention). Il a en outre fait savoir que l’entreprise, à la lumière de cette convention, est appelée aussi à assurer l’accompagnement des doctorants afin de leur permettre de réaliser leurs travaux de recherches, en plus de trouver des solutions et de résoudre certains problèmes techniques rencontrés par l’entreprise. Le PDG de l’ENAFOR a, de son côté, indiqué que l’entreprise dont la création remonte à 1966, avait déjà conclu des accords avec plusieurs compagnies étrangères pour développer les techniques de production d'hydrocarbures. Totalisant plus de 7.500 postes permanents, l’ENAFOR qui avait commencé ses activités par un seul appareil de forge dispose actuellement 52 appareils, a affirmé M. Bennezzar, estimant que la sonde école d'ENAFOR et la Faculté des Hydrocarbures de l’université d’Ouargla, constituent en soi un facteur positif pour consolider le partenariat entre les deux parties.
ALGER - Une convention a été signée, mercredi à Alger, entre la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés CNAS, et l'entreprise Algérie Poste concernant la numérisation des virements des indemnités aux assurés sociaux et aux ayants droit, propriétaires de comptes CCP. Cette convention a été signée par le Directeur général de la CNAS, Nadir Kouadria et le Directeur général d'Algérie Poste, Louai Zidi. En vertu de cette convention, la CNAS et Algérie Poste œuvreront à la mise en place de "mécanismes de traitement à distance des virements via une plateforme électronique sécurisée pour l'échange de données et d'informations, dans le but d'assurer et d'accélérer le paiement des indemnités aux assurés sociaux et aux ayants droit". Selon les organisateurs, cette convention s'inscrit dans le cadre de "la poursuite des efforts de modernisation et de numérisation de la Caisse et de simplification de ses procédures en matière d'accélération des virements relatifs aux différentes transactions financières, en coordination avec l'entreprise Algérie Poste". S'exprimant à cette occasion, M. Kouadria a fait savoir que cette convention "contribue à garantir le paiement régulier et sans retard des indemnités aux assurés" , estimant que cela s'inscrit dans le cadre de "l'amélioration continue du service public offert à nos citoyens et de l'amélioration du niveau des services numériques". Pour sa part, M. Zidi a souligné l'importance de cette convention qui vise à "renforcer la coopération entre la CNAS et l'entreprise Algérie Poste" et qui s'inscrit dans le cadre de "la modernisation des services d'Algérie Poste au profit des citoyens".
ALGER - Les travaux du Forum international sur la santé dans toutes les politiques ont débuté, mardi à Alger, en présence de représentants de ministères, d'instances consultatives et de la société civile, ainsi que d'experts internationaux. Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a présidé l'ouverture des travaux de ce Forum, organisé par son département, en coordination avec le Conseil national économique, social et environnemental (CNESE) et l'Agence nationale de sécurité sanitaire, avec l'appui de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette rencontre de trois jours vise à présenter aux intervenants nationaux l'approche de l'OMS relative à la santé dans toutes les politiques et à favoriser le partage d'expériences entre les différents secteurs concernés. Plusieurs thématiques seront abordées lors de ce Forum, dont les villes-santé, la sécurité routière, la lutte contre l'addiction, le surpoids et l'obésité. Les travaux seront sanctionnés par des recommandations visant à appuyer les stratégies et plans nationaux de santé publique en vue d'améliorer la santé des citoyens.