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Saihi supervise une journée d’étude sur le Plan national des maladies rares en Algérie

ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a supervisé, jeudi, l'ouverture d'une Journée d'étude consacrée au Plan national des maladies rares en Algérie, en présence de plusieurs membres du Gouvernement et de représentants de plusieurs organismes nationaux. Dans son allocution à l'occasion de cette rencontre, organisée à Djamaa El-Djazair sous le thème "Ensemble pour le Plan national des maladies rares en Algérie", M. Saihi a affirmé que la prise en charge des personnes atteintes de maladies rares constitue "l'une des priorités du président de la République, qui a donné des instructions claires pour ne ménager aucun effort afin de mettre en place un mécanisme efficace garantissant à cette catégorie de patients des soins de qualité". Il a, en outre, indiqué qu'un "progrès significatif" a été réalisé en matière de prise en charge des malades, notamment à travers la mise à jour de la liste des maladies rares en 2024, en sus de l'élaboration, "prochainement", d'un Plan national des maladies rares, à même d'"améliorer les mécanismes de diagnostic précoce grâce à la mise à disposition de moyens modernes, la création d'une plateforme fiable de données sanitaires, l'implication des associations de malades et l'écoute de leurs préoccupations", a-t-il dit. De son côté, le président de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS), Pr Kamel Sanhadji a souligné que son organisme "accompagnera le ministère de la Santé dans toutes les étapes de l'élaboration du Plan national des maladies rares", relevant à cette occasion "l'intérêt particulier" que porte le président de la République à la prise en charge des personnes atteintes de ce type de maladies. Pour sa part, le recteur de Djamaa El-Djazair, Mohamed Mamoune El-Kacimi El-Houceini a salué l'organisation de telles rencontres, exprimant son souhait de voir les thématiques abordées contribuer à enrichir le Plan national des maladies rares en cours d'élaboration. Lors de leurs interventions, plusieurs spécialistes ont évoqué les défis et les perspectives liés à ces maladies, notamment en ce qui concerne le diagnostic précoce, mettant en avant l'importance de la numérisation dans ce domaine.
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L’Université d’Alger 3 reçoit des projets prometteurs dans le cadre de sa stratégie de transformation numérique globale

ALGER - L'Université d'Alger 3 a reçu des projets prometteurs réalisés par la Faculté des sciences de l'information et de la communication, dans le cadre de sa stratégie de transformation numérique globale, a indiqué mercredi un communiqué de l'université. "Dans une démarche pionnière reflétant son ambition de devenir l'une des universités modèles en Algérie et de s'aligner sur les standards internationaux des universités de quatrième génération, l'Université d'Alger 3 a reçu, mercredi, des projets innovants s'inscrivant dans sa stratégie de transition numérique intégrale, et ce au niveau de la Faculté des sciences de l'information et de la communication", précise le communiqué. La réception de ces projets "ambitieux" visant à "opérer un bond qualitatif dans l'environnement éducatif et à former de nouvelles générations capables de relever les défis de l'ère numérique", a été supervisée par le recteur de l'université, Khaled Rouaski, et la doyenne de la faculté des Sciences de l'information et de la Communication, Malika Atoui. Ces projets viennent confirmer que la rentrée universitaire 2025-2026 "sera numérique par excellence à la faculté des Sciences de l'information et de la communication", sachant que le processus de transformation numérique a été concrétisé à travers plusieurs mesures, notamment "la mise en place d'une infrastructure numérique intégrée pour les étudiants et les enseignants, avec la mise à disposition de salles de cours intelligentes et connectées", soit 30 salles de cours et quatre (4) grands amphithéâtres équipés d'un réseau interne et connectés à Internet à haut débit", selon la même source. A cela s'ajoutent "un projet d'équipement des deux (2) principaux amphithéâtres avec des écrans interactifs géants intelligents", ainsi que "l'installation à l'entrée de la faculté d'un système électronique d'accès assurant une meilleure organisation et plus de fluidité". Il s'agit, par ailleurs, de la réception "des studios numériques complets et d'une salle de rédaction dotée des couvertures de l'APS, ce qui permettra aux étudiants d'atteindre un haut niveau de formation et d'être prêts à intégrer le marché du travail dans les domaines des médias et de la communication numérique", poursuit la même source. Grâce à ces projets, l'Université d'Alger 3 "a concrétisé sa transition numérique, en attendant la réception des projets des facultés des Sciences économiques et des Sciences politiques", conclut le communiqué.
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L’Algérie engagée dans un processus de transformation numérique ambitieux reposant sur une stratégie souveraine en matière de cybersécurité

ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, M. Sid Ali Zerrouki, a affirmé que l'Algérie était engagée dans un processus de transformation numérique ambitieux reposant sur une stratégie nationale proactive et souveraine en matière de cybersécurité, a indiqué mercredi un communiqué du ministère. Présidant, mardi, l'ouverture des travaux du 2e Forum algéro-coréen sur la cybersécurité, M. Zerrouki a précisé que l'Algérie "s'est engagée dans un processus de transformation numérique ambitieux, concrétisé par la généralisation de l'infrastructure de fibre optique à haut débit, la réduction de la fracture numérique et la préparation du lancement des services 5G". Ces efforts, a-t-il dit, "participent d'une stratégie nationale proactive et souveraine en matière de cybersécurité, inspirée de la vision éclairée du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune". Dans ce cadre, le ministre a salué "le niveau du partenariat avec la République de Corée, qui est leader dans les domaines des télécommunications et de la cybersécurité", mettant en avant la volonté des deux pays de "développer une coopération concrète et fructueuse dans les domaines du transfert de connaissances, de l'innovation et du renforcement des capacités opérationnelles". De son côté, l'ambassadeur de la République de Corée, M. You Ki-Jun, a salué la stratégie mise en place par l'Algérie en matière de cybersécurité, ainsi que son engagement, depuis 2019, à développer les structures y afférentes, soulignant que son pays était "prêt à soutenir et même à s'inspirer de l'expérience de l'Algérie". "Au cours des trois dernières décennies, nos deux pays ont développé une relation fondée sur le respect mutuel, la confiance et des aspirations partagées", a-t-il poursuivi, relevant que "ce qui avait commencé par une coopération économique et en matière de développement s'est transformé en un partenariat plus large". Et de souligner que "les cybermenaces, qui ne connaissent pas de frontières, exigent une réponse empreinte d'un esprit de coopération suivant une approche coordonnée ancrée sur les principes de responsabilité et d'intérêts mutuels". Ce 2e Forum algéro-coréen sur la cybersécurité s'inscrit dans le cadre du "processus de transformation numérique dynamique et accéléré que connaît notre pays ces dernières années, et qui exige de renforcer les capacités de sécurité dans le cyberespace". Ce Forum incarne "un partenariat fructueux entre l'Algérie et la République de Corée, reflétant la volonté commune des deux pays de renforcer leur coopération à travers l'échange d'expertises, le renforcement des capacités et le suivi des évolutions technologiques dans le monde numérique", ajoute le communiqué. L'ouverture de ce Forum, organisé par le ministère de la Poste et des Télécommunications en collaboration avec l'Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), s'est déroulée en présence de la Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Mme Meriem Benmouloud, et des responsables de plusieurs instances et institutions.
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Le financement des projets communs entre universités algériennes et celles de l’UE, thème d’un atelier international

SOUK AHRAS - L’université Mohamed Chérif Messaâdia de Souk Ahras a abrité mardi un atelier international sur les mécanismes de financement des projets de recherche scientifique communs entre les universités algériennes et celles de l’Union européenne dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale. Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’élargissement des partenariats universitaires à l’échelle régionale et internationale, notamment avec des établissements européens de l’enseignement supérieur pour servir les objectifs de développement durable et de renforcement de l’innovation, a indiqué le directeur de la maison de l’intelligence artificielle de l’université hôte, Dr. Noureddine Guezgouz qui a souligné que les priorités de coopération concernent les trois domaines de l’intelligence artificielle, l’énergie et l’environnement et l’économie circulaire. Il a également relevé que la rencontre s’inscrit également dans le cadre du programme de coopération académique international " Erasmus+ " qui a pour but l’échange d’expériences entre les pays des deux rives Nord et Sud de la Méditerranée, ajoutant que le programme repose sur la formation de terrain et les échanges de visites entre enseignants et étudiants et le soutien des recherches dans le domaine des technologies et de l’environnement. L’université de Souk Ahras a adhéré à ce programme en 2024 à travers son partenariat efficace avec l’université italienne Frédéric-II, a rappelé le même intervenant soulignant que la rencontre constitue " une opportunité pour exposer les projets futurs et consolider la coopération scientifique entre les universités ". De son côté, la responsable de cet atelier, l’experte internationale en écologie et toxicologie environnementale de l’université italienne de Naples Frédéric-II, Anna De Marco, a mis l’accent sur l’importance de cet atelier pour "l’échange d’expérience scientifique concernant la réhabilitation des zones forestières détruites par les incendies dans la wilaya de Souk Ahras et la régénération du couvert végétal par des solutions scientifiques avancés " ainsi que pour faire le point sur " les récentes recherches sur la qualité du sol et les indicateurs de l’évaluation écologique ". L’atelier vise aussi, a-t-elle ajouté, à accompagner les chercheurs algériens à élaborer des projets de recherche remplissant les conditions de candidature au financement européen et à renforcer les opportunités de partenariat entre les universités algériennes et les centres de recherche européens.
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Baddari inaugure deux projets pilotes dans les domaines des énergies renouvelables et de l’agriculture durable

ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a procédé, mardi, à l'Institut technique des élevages d'Alger (ITELV), à l'inauguration de deux projets pilotes dans les domaines des énergies renouvelables et de l'agriculture durable, et ce dans le cadre de la valorisation des résultats de la recherche scientifique et de leur transformation en valeur ajoutée au service de l'économie nationale. Ces deux projets portant sur la "technique de culture hydroponique de l'orge dans des chambres hermétiques pour la production de fourrage vert et l'amélioration de son fonctionnement par l'énergie solaire" et le "refroidissement d'un bâtiment d'élevage de poulets de chair par l'énergie solaire", s'inscrivent dans le cadre de l'orientation de l'Algérie vers le renforcement de l'utilisation de la recherche scientifique au service du développement durable, ainsi que ses efforts pour soutenir l'innovation et le transfert de technologie sur le terrain. A cette occasion, M. Baddari a souligné que ces projets interviennent dans le contexte de la "valorisation des résultats de la recherche et de leur transformation en valeur ajoutée au service de l'économie nationale, à travers la création de Start-up économiques, et le renforcement de la contribution de la recherche scientifique au développement durable et à la réalisation de l'autosuffisance et de la sécurité alimentaire, et ce dans le cadre de la mise en œuvre du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour la période 2024/2029". A ce titre, le ministre a estimé que le recours aux énergies renouvelables, notamment l'énergie solaire, "contribuera à la réalisation de la sécurité alimentaire et à la rationalisation des dépenses, particulièrement celles liées à l'énergie, et améliorera la production". Le premier projet vise à "développer la production de fourrage vert, à réduire la dépendance à l'importation et à s'orienter vers une agriculture durable, capable de s'adapter aux changements climatiques", un système qui permettra de "produire quotidiennement jusqu'à 110 kg de fourrage, grâce à la culture de 18 carrés de germination d'orge, dans un environnement climatique entièrement contrôlé en termes de température, d'humidité et d'éclairage, avec l'utilisation de systèmes avancés de ventilation et de rationalisation de l'eau". Quant au second projet, il vise à "développer un système de refroidissement par évaporation solaire, dédié aux bâtiments d'élevage de volailles, permettant une réduction significative des températures allant jusqu'à 16 degrés, ce qui améliore la qualité et les conditions d'élevage et réduit la mortalité des volailles en été, avec un impact positif sur la capacité de production". Ce type de projets constitue "une nouvelle étape dans le processus de consécration de l'économie verte et la promotion de l'investissement dans les technologies propres, susceptibles d'améliorer la qualité de vie et de créer de nouvelles opportunités d'emploi", outre le "renforcement de la compétitivité de l'économie nationale au niveau régional avec des similitudes en termes de caractéristiques climatiques et de besoins agricoles", selon une présentation faite à cette occasion.
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Saihi rencontre les ministres tunisiens de l’Agriculture et de l’Environnement

ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a rencontré à Tunis (Tunisie) les ministres de l'Agriculture Ezzedine Ben Cheikh et de l'Environnement Abid Habib de la République tunisienne, pays frère, avec lesquels il a passé en revue l'expérience de l'Algérie dans l'activation de l'approche "une seule santé", reposant sur l'amélioration des conditions de vie des citoyens, a indiqué, lundi, un communiqué du ministère. Lors de la rencontre qui s'est déroulée en marge des travaux de la première Conférence régionale "Une seule santé" dans la région du Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), qui se tient à Tunis, M. Saihi a passé en revue l'expérience de l'Algérie dans l'activation de l'approche « une seule santé » reposant essentiellement sur l'amélioration des conditions de vie des citoyens et la réduction des disparités sociales, comptant parmi les priorités de l'Etat algérien. Il a ajouté que cette démarche s'est faite "en coordination avec les différents secteurs, notamment les secteurs de l'environnement, de l'agriculture, du commerce, des ressources en eau et de la santé, en sus des ministères de l'Industrie et du Commerce au titre d'une approche coordonnée et conjointe visant à adapter les plans d'action, à travers la prise de mesures pratiques". Lire aussi: Santé: M. Saihi s'entretient avec son homologue tunisien Lors de la rencontre, le ministre a proposé "une vision future" pour une seule santé, consistant en l'impératif de "créer une instance indépendante chargée de la coordination avec les pays du Moyen-Orient et du Maghreb, notamment en ce qui concerne la sécurité alimentaire et les normes environnementales", selon la même source. M. Saihi a affirmé à cette occasion "l'engagement de l'Algérie à œuvrer à la cristallisation d'une vision claire et intégrée autour de ce sujet vital, comptant parmi les priorités de l'Etat, en ce sens qu'il intéresse directement le citoyen, notamment en ce qui a trait à la sécurité alimentaire et à la garantie d'une alimentation saine et équilibrée". De son côté, le ministre tunisien de l'Agriculture est revenu sur "le grand impact des maladies zoonotiques sur la santé humaine et la sécurité alimentaire", affirmant l'importance de "renforcer la coopération et la coordination entre les secteurs de la Santé, de l'Agriculture et de l'Environnement pour relever ces défis". Le ministre tunisien de l'Environnement a souligné, quant à lui, l'importance de "l'environnement sain dans la réalisation d'un développement durable", rappelant "les points positifs du travail conjoint entre les secteurs pour préserver la santé humaine dans un environnement sain".
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Le nouveau modèle économique dans le secteur des startups repose sur l’exportation de solutions technologiques sous forme de services

MOSTAGANEM – Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Startups et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, a souligné, lundi à Mostaganem, que le nouveau modèle économique dans le secteur des startups repose essentiellement sur l’exportation de solutions technologiques sous forme de services. Dans une déclaration à la presse, après avoir visité une startup spécialisée dans les solutions technologiques, dans le cadre de sa visite dans la wilaya, le ministre a indiqué que "le modèle économique prôné par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, repose sur la valorisation des compétences des jeunes diplômés des universités et des établissements de formation professionnelle, en développant des services numériques et électroniques proposés comme solutions aux secteurs public et privé, aux niveaux local et national, et en les exportant". Saluant le travail de cette startup, qui a réussi en peu de temps à exporter ses services numériques vers plusieurs pays arabes, M. Ouadah a ajouté que son ministère œuvre actuellement avec l’ensemble des secteurs pour permettre à ces entreprises pionnières de s’imposer sur les marchés national et international. Dans ce cadre, il a annoncé la création d’un centre d’innovation local dans la wilaya de Mostaganem, qui regroupera des dizaines de startups innovantes, avec pour principal objectif de renforcer leur présence sur les marchés national et international, notamment à travers l’exportation de solutions technologiques sous forme de services. Le ministre a également visité plusieurs startups spécialisées dans la production de cosmétiques, le développement de produits traditionnels et de santé, ainsi que dans la distribution de fournitures médicales, soulignant l’importance de ces initiatives pour le soutien au secteur de la santé. Par ailleurs, M. Ouadah a inspecté les mécanismes de soutien à l’innovation entrepreneuriale en milieu universitaire, en se rendant à l’incubateur de startups et au Centre de développement de l’entrepreneuriat de l’Université "Abdelhamid Ibn Badis" de Mostaganem, ainsi qu’au Centre de développement de l’entrepreneuriat de l’Institut national spécialisé de la formation professionnelle "Bensaber Afif". Lors de sa visite à la pépinière d’entreprises rattachée à l’Agence de développement des PME et de promotion de l’innovation, il a indiqué que son ministère, en coordination avec le ministère de l’Industrie, œuvre à résoudre la question des locaux pour les micro-entreprises et startups, à travers ces structures implantées dans plusieurs wilayas. Enfin, le ministre a visité plusieurs unités du complexe industriel GSP Electric, spécialisé dans l’industrie électrique, notamment celles apportant une valeur ajoutée dans les domaines de l’économie verte, des solutions énergétiques intégrées et renouvelables, ainsi que des villes intelligentes.
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Zerrouki s’enquiert de l’application des instructions pour l’augmentation de la capacité de production des cartes monétiques Edahabia à 50000 cartes par jour

ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, M. Sid Ali Zerrouki, a effectué, lundi à Alger, une visite sur le terrain au Centre de fabrication et de personnalisation des cartes Edahabia pour s'enquérir de l'application des instructions données pour l'augmentation de la capacité de production du centre à 50.000 cartes par jour, indique un communiqué du ministère. "Dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de la feuille de route gouvernementale pour le développement du paiement électronique, le ministre de la Poste et des Télécommunications a effectué, lundi matin, une visite sur le terrain au Centre de fabrication et de personnalisation des cartes monétiques situé à Birtouta (Alger)", précise la même source. Cette visite a permis de "'s'enquérir de la mise en œuvre des instructions précédemment données par le ministre concernant l'augmentation de la capacité de production du centre", selon la même source ajoutant que le ministre "a constaté aujourd'hui que la capacité de production a été portée à 50.000 cartes par jour, suite à la mise en service d'une nouvelle ligne de production dotée des technologies de pointe répondant aux normes les plus élevées en matière de sécurité". Cette augmentation "contribuera à réduire les délais de réalisation et de livraison des cartes monétiques Edahabia, dont le nombre en circulation atteint actuellement 15 millions, en sus de renforcer l'inclusion financière et de créer les conditions favorables au développement du paiement électronique dans notre pays", souligne le communiqué. A cette occasion, M. Zerrouki a insisté sur "la nécessité d'exploiter ces capacités pour diversifier la gamme de services offerts aux citoyens via la carte monétique, selon les besoins. Des services qui seront annoncés dans les prochaines semaines".
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Organisation d’un atelier d’auto-évaluation en matière de production et de commercialisation de médicaments et de vaccins

ALGER - Un atelier d'auto-évaluation de la réglementation en vigueur dans la production et la commercialisation de médicaments et de vaccins a été organisé dimanche à Alger, a indiqué un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique. Cette rencontre a réuni des experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que des représentants des secteurs de l'industrie pharmaceutique et de la santé, de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS), de l'Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP), de l'Institut Pasteur d'Algérie, du Centre national de pharmacovigilance et de matériovigilance (CNPM) et du Commissariat à l'énergie atomique (COMENA). L'ouverture de cet atelier a été présidée par le chef de cabinet du ministère de l'Industrie pharmaceutique, Fouad Benslimane, au nom du ministre du secteur, en présence du Représentant de l'OMS en Algérie, Phanuel Habimana, selon la même source.
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Le ministre de la Santé rencontre à Tunis le Directeur pays de la BM pour le Maghreb et Malte

ALGER - Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a rencontré, à Tunis, le Directeur pays de la Banque mondiale (BM) pour le Maghreb et Malte, M. Ahmadou Moustapha NDiaye, avec lequel il a procédé à un échange de vues sur l'importance d'améliorer le système de santé publique, a indiqué, dimanche, un communiqué du ministère. M. Saihi a rencontré M. Ndiaye samedi, en marge des travaux de la première Conférence régionale "Une seule santé" pour le Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), a précisé la même source. A cette occasion, les deux parties ont évoqué "l'importance d'améliorer le système de santé publique, de renforcer la sécurité alimentaire et de préserver les ressources environnementales afin de faire face aux risques sanitaires complexes et aux défis environnementaux croissants qui affectent la région à plusieurs niveaux". Les deux parties ont souligné l'importance de "mettre en place un cadre régional unifié garantissant la sécurité sanitaire et répondant aux attentes des populations de la région en ce qui concerne la création de systèmes de santé justes et durables, à travers la conjugaison des efforts, la coordination des politiques et l'engagement de toutes les parties à une approche globale et intégrée mobilisant les différents secteurs, ainsi que les bailleurs de fonds et la société civile". Elles ont également affiché leur volonté de "renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de la santé et de mettre en œuvre l'approche « Une seule santé », notamment à travers la mobilisation des mécanismes de coordination, l'adoption de politiques préventives et de lutte contre les maladies communes, et le développement des systèmes d'alerte et de réponse rapide afin de renforcer la résilience face aux crises sanitaires potentielles", a conclu le communiqué.