ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki a effectué une visite aux directions générales d'"Algérie Télécom" (AT) de téléphonie mobile et d'Algérie Poste (AP), a indiqué vendredi un communiqué du ministère. Au cours de cette visite effectuée jeudi, le ministre a écouté des exposés sur la mise en œuvre des projets en cours de réalisation au niveau de ces deux établissements ainsi que leurs projets futurs, exhortant les responsables à "poursuivre le renforcement du réseau de télécommunications mobiles, notamment à travers la couverture des points noirs". Il a insisté sur l'impératif d'"augmenter le débit du réseau 4G et d'améliorer la qualité de service, en réduisant le temps des interruptions à travers l'intervention rapide, pour ce qui est de l'entreprise Mobilis", ajoute le communiqué. D'autre part, M. Zerrouki a mis l'accent sur la nécessité "d'améliorer la qualité des services postaux assurés au citoyen, en adoptant des solutions numériques pour Algérie Poste", conclut la même source.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Samira Sidhoum )
ALGER - Les candidats au concours de doctorat sont invités à remplir leurs formulaires en ligne à compter du 2 janvier 2025, a annoncé dimanche le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans un communiqué. "Les candidats au concours de doctorat doivent remplir leurs formulaires en ligne uniquement via le lien https://progres.mesrs.dz/webdoctorat, et ce, à compter du jeudi 2 janvier 2025 à 00:00, sans avoir besoin de télécharger des documents supplémentaires", précise le communiqué.
ALGER- Les ministres africains en charge du secteur des Start-up, ont appelé, samedi à Alger, à l'adoption de politiques continentales unifiées sur l'intelligence artificielle, à même de renforcer la coopération entre les pays africains dans ce domaine en assurant le cadre réglementaire adéquat. Cet appel a été lancé dans "la Déclaration ministérielle d'Alger sur le développement des start-up et de l'intelligence artificielle en Afrique", lue à la clôture des travaux de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up (5 au 7 décembre 2024) au Centre international de conférences (CIC), Abdellatif Rahal (Alger) avec la participation de 45 ministres africains. Les ministres ont affirmé, dans ce sens, l'importance du rôle des start-up et de l'intelligence artificielle dans la réalisation du développement socio-économique en Afrique, ainsi que leur soutien à l'Agenda 2063 de l'Union africaine (UA) et aux stratégies de transition numérique et d'innovation, saluant les efforts consentis par l'Algérie pour renforcer l'innovation et soutenir les start-up africaines, à travers le regroupement des plus importants acteurs dans ce domaine pour la troisième année consécutive. Dans la Déclaration ministérielle d'Alger, l'accent a été mis sur l'importance d'investir dans l'infrastructure numérique, comme l'internet à haut débit et les centres de données pour assurer un accès équitable aux technologies entre les zones rurales et urbaines de manière à réduire le fossé numérique. Concernant le développement de l'intelligence artificielle dans le continent, les ministres ont souligné la nécessité d'adopter des politiques unifiées qui renforcent la coopération entre les pays africains, en sus de garantir un cadre réglementaire englobant la gestion des données, la protection de la vie privée et des principes éthiques. Ils ont également souligné l'importance de lancer des programmes de formation au profit des jeunes, hommes et femmes, et d'établir des partenariats entre les universités, les centres de recherche et les entreprises privées, pour renforcer les capacités locales dans les domaines de l'intelligence artificielle. Les ministres ont appelé aussi à "accélérer la création d'un fond africain pour soutenir les Start-up et l'intelligence artificielle, afin de financer les projets à fort impact socioéconomique, outre la création de pôles technologiques et d'incubateurs soutenant l'innovation", et à "la mobilisation des moyens technologiques et numériques pour réaliser une transition globale et durable à même de renforcer la place de l'Afrique au sein de l'économie numérique mondiale". Mme Nacima Arhab nommée Secrétaire générale de la Conférence La Conférence s'est achevée par l'annonce officielle de la nomination de la Secrétaire générale du ministère de l'Economie de la connaissance, des startups et des micro-entreprises, Mme Nacima Arhab, en tant que Secrétaire générale de la Conférence africaine des Start-up. A son tour, Mme Arhab a annoncé dans son allocution, une série de nominations au niveau du Secrétariat permanent de la Conférence, incluant des personnalités de pays africains, et ce, dans le but de "renforcer la coopération africaine et échanger les expertises africaines en matière de Start-up". Les travaux de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up ont été sanctionnés par l'adoption d'un plan d'action du Secrétariat permanent à l'horizon 2063, lequel vise à contribuer à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD), et à assurer un environnement propice pour les start-up africaines, selon Mme Arhab. La Conférence a été marquée également par l'annonce de la nomination de Yacine Laskri, président de la Fédération africaine des anges d'affaires (African Federation of Business Angels Networks -AFBAN), créée lors de la 2e édition. Dans son allocution, M. Laskri a souligné la nécessité de relever les défis du continent africain avec des solutions novatrices, telles que le mécanisme des anges d'affaires, afin de créer un environnement propice aux start-up. Au terme de cette manifestation, les lauréats du Challenge des start-up, organisé en marge de la Conférence, ont été annoncés. Le prix du meilleur projet dans le domaine hydraulique a été attribué à un groupe de jeunes ayant proposé des solutions basées sur l'intelligence artificielle pour améliorer la qualité et l'utilisation de l'eau. Dans la catégorie de l'énergie, un prix a été décerné à un groupe de jeunes ayant développé une solution dans le domaine d'utilisation de l'énergie solaire. Enfin, un autre groupe a remporté le prix du changement climatique pour avoir présenté une solution visant à garantir une alimentation sûre et durable à l'aide de l'intelligence artificielle.
ALGER- Algérie Poste a organisé, samedi à Alger, une cérémonie de remise des prix aux lauréats de la 1ère édition de son challenge intitulé « InnovPost 2024 », placé sous le thème "Vers une poste connectée et innovante", et ce, en marge des activités de la 3e Conférence africaine des Start-up, organisée sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. La cérémonie s'est déroulée en présence du ministre de la Poste et des Télécommunications, M. Sid Ali Zerrouki, qui a affirmé dans une allocution prononcée à cette occasion, que cet évènement "témoigne du développement du secteur de la Poste et de son ouverture pour être en phase avec la nouvelle ère, et faire face ainsi aux défis de l'heure, notamment l'intelligence artificielle". Le ministre a salué par la même occasion, la participation massive à cet évènement, se disant fier des jeunes talents qui ont concouru dans différents domaines de la compétition. A cet égard, le ministre a annoncé qu'une "2e édition de cet évènement sera organisée pour donner un nouvel élan au challenge dans ce domaine". De son côté, le directeur général d'Algérie Poste, Louaï Zidi, a souligné que ce concours "s'inscrit dans le cadre de la vision éclairée d'Algérie Poste, en tant qu'entreprise citoyenne visant à renforcer la transition numérique et à soutenir l'entrepreneuriat et l'innovation en matière des services postaux et financiers". Il a également affirmé l'attachement de l'entreprise à adopter les solutions techniques modernes pour améliorer la qualité du service public et partant, assurer au citoyen des services modernes et sûrs répondant à ses besoins. Zidi a exprimé, dans ce sens, "la disponibilité constante d'Algérie Poste à accueillir des compétences nationales, notamment les jeunes innovateurs et porteurs de start-up dans le domaine numérique et à domicilier leurs projets dans le tableau de bord prospectif de l'entreprise". Il a également noté l'engagement de l'entreprise à intensifier les programmes de partenariat avec les universités et les établissements de recherche nationaux, notamment en ce qui a trait à l'utilisation de connaissances et de nouvelles techniques pour l'amélioration des services et la réalisation de la vision de l'Algérie numérique. La cérémonie a été marquée par la distinction de 16 équipes, classées selon 6 thématiques dédiées aux étudiants et aux start-up.
ALGER- Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a eu plusieurs rencontres bilatérales avec ses homologues de pays africains, en marge du Sommet ministériel de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up tenue à Alger, a indiqué, samedi, un communiqué du ministère. Zerrouki s'est entretenu avec le ministre de la Technologie de la communication de la République tunisienne, Sofiene Hemissi, le ministre de la Transformation numérique, de l'Innovation et de la Modernisation de l'administration de la République islamique de Mauritanie, Ahmed Salem Bede, le ministre des Postes, des Télécommunications, de l'Economie numérique et de la Transparence de l'Union des Comores, Oumouri M'madi Hassani, et le ministre des Postes, des Télécommunications et de l'Economie numérique de la République du Congo, Léon Juste Ibombo, ajoute le document. Les entretiens ont porté sur "les moyens de développer la coopération et l'échange d'expériences dans plusieurs domaines d'intérêt commun visant à renforcer le développement dans les pays africains et à soutenir l'intégration économique interafricaine, tels les services de la poste, les infrastructures de communication, la régulation des communications électroniques, la formation, les centres de données, le développement de l'industrie informatique et le soutien à l'innovation technologique et l'entrepreneuriat", conclut le communiqué.
ALGER- Les travaux de la réunion annuelle des Académies africaines des sciences (AMASA 2024) ont pris fin mercredi soir, au Centre international de conférences (CIC)"Abdelatif Rahal", à Alger. A cette occasion, le président de l'Académie algérienne des sciences et des technologies (AAST), Mohamed Hichem Kara, a rappelé l'engagement de l'Algérie dans le réseau des académies africaines des sciences depuis 2018, soulignant que la réunion annuelle reflète "la volonté du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, de renforcer les liens avec l'Afrique, notamment dans les domaines de l'économie et de la recherche". Kara a également insisté sur l'importance de discuter des enjeux de santé et des catastrophes naturelles, tout en appelant à une "meilleure coopération entre chercheurs africains pour limiter leur émigration" et plaidant pour "la protection des ressources du continent et leur exploitation locale grâce à la technologie". Le président de l'AAST a annoncé par la même occasion, "un projet de coopération avec l'Académie de Palestine des sciences, intitulé « Passerelle des sciences », visant à organiser des conférences et à soutenir la formation d'étudiants palestiniens, dans le cadre du soutien constant de l'Algérie à la cause palestinienne et aux autres causes justes dans le monde". De son côté, Mme Habiba Bouhamed Chaabouni, académicienne de Tunisie et dont le pays organisera la prochaine édition de l'AMASA, a souligné "l'importance de l'intelligence artificielle (IA) dans le domaine médical, notamment pour l'étude des gènes et les échographies". Elle a soutenu que ces technologies "améliorent le diagnostic et le traitement des données", appelant à ce propos, les systèmes de santé africains à "adopter l'IA de manière rationnelle pour qu'elle soit bénéfique pour l'humanité". Dans le même sillage, M. Tshilolo Leon, académicien de la République démocratique du Congo, a mis l'accent sur les avantages de la numérisation dans le secteur de la santé, appelant les pays africains à "s'approprier l'Intelligence artificielle pour ne pas rester en retard dans le progrès technologique". Concernant la fuite des cerveaux, il a proposé de remédier à cette situation par une "approche collective, afin de mieux comprendre les forces et les faiblesses du continent et de trouver des solutions ensemble". Lors de l'AMASA 2024, le "Prix du scientifique africain" a été décerné pour la première fois afin d'encourager les chercheurs d'exception sur le continent. Ce prix a été attribué au professeur Abdelouahed Tounsi de l'université de Sidi Bel Abbès pour ses travaux en génie civil, ainsi qu'au professeur Dan J. Stein de l'université de Cape Town en Afrique du Sud pour ses recherches en psychiatrie. Placée sous le haut patronage du président de la République, cette rencontre, qui a débuté mardi sous le thème "Ressources, sciences et technologies pour le développement en Afrique", a constitué une opportunité pour discuter de l'évolution des sciences et de leurs applications dans les domaines social, économique et industriel. Elle représente, également, un cadre consultatif pour faire face aux défis auxquels sont confrontées les sociétés africaines afin d'atteindre un développement durable.
ALGER- La Direction générale des Douanes (DGD) a annoncé, samedi, le lancement, le 1er novembre prochain, de son système d'information dédié aux voyageurs, permettant d'accéder aux services des titres de passage en douane (TPD) des véhicules et des déclarations de monnaie en ligne. En marge d'une conférence organisée par la Direction générale des Douanes à l'occasion du 70e anniversaire du déclenchement de la Révolution, le Directeur de l'information et de la communication à la direction, Hocine Bouzid, a précisé que "dans le cadre de la poursuite de la numérisation du secteur, les services des Douanes lanceront, le 1er novembre prochain, un système d'information dédié aux voyageurs, ce qui permettra d'accéder aux services des titres de passage en douane (TPD) des véhicules et des déclarations de monnaie en ligne". Et d'ajouter que la DGD procédera également, le 1er novembre, à la publication d'une version actualisée du Guide de l'exportateur, au titre de la promotion et de la diversification de l'économie nationale. Ces efforts s'inscrivent dans le cadre de la finalisation de la mise en œuvre du nouveau système d'information douanier, entré en service en novembre 2023, a souligné M. Bouzid.
ALGER- La 3e édition du Salon de l'éducation, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et des technologies de la connaissance (EDUCTECK) s'est ouverte, mardi au Palais des expositions (Alger), avec la participation de près de 100 exposants. Placé sous le slogan "L'intelligence collective au service de l'apprentissage", le salon vise à créer "un espace de dialogue, de réflexion et d'innovation dans le domaine de l'éducation et des techniques éducatives". Les organisateurs aspirent à ce que l'édition 2024 soit "plus riche et variée en termes d'innovations et de débats sur l'avenir de l'éducation et de la formation professionnelle en Algérie, notamment en matière d'apprentissage en ligne". A ce titre, le commissaire du salon, Abdenour Derias a affirmé que cette édition permettra à "tous les acteurs du domaine de l'éducation et de l'apprentissage, des technologies de la connaissance, de la numérisation, de l'économie de la connaissance et de l'intelligence artificielle, de découvrir les nouvelles innovations, de développer les compétences, et d'échanger des expériences, techniques, applications et logiciels". Ce salon de quatre (4) jours constitue une opportunité pour rassembler chercheurs et développeurs dans le domaine de l'éducation, avec un programme "intensif" prévoyant des conférences sur divers sujets et spécialités, suivies de débats sur l'éducation ainsi que les moyens de la développer, ajoute M. Derias. De son côté, la directrice de l'Institut national de recherche en éducation (INRE), Radia Bernaoui a affirmé que ce partenariat, premier du genre, "vise à renforcer la coopération entre les établissements d'enseignement et de recherche d'une manière qui traduit l'engagement commun à améliorer le niveau d'éducation à travers l'utilisation des technologies de pointe au service des générations futures". Elle a, par là même, souligné l'importance de "cette rencontre scientifique et professionnelle", qui constitue "une opportunité pour les établissements de recherche et les entreprises économiques d'explorer les possibilités de communication et de renforcer des partenariats efficaces entre les parties concernées pour parvenir à la complémentarité entre la recherche scientifique et les besoins économiques, au service du développement durable, et renforcer le rôle des jeunes dans l'entrepreneuriat". Le salon "Educteck" est organisé sous le patronage du ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, du ministère des Poste et des Télécommunications et du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ).
ALGER- Le thème "explorer les moyens pour faire de l'Algérie une destination touristique médicale par excellence", a été au centre du Congrès international de la santé et du tourisme médical (IHTC), dont les travaux ont débuté lundi à Alger, avec la participation d'experts et de spécialistes de différents pays leaders dans ce domaine. Premier du genre, ce congrès de trois jours vise à explorer les moyens pour faire de l'Algérie une destination touristique médicale par excellence, compte tenu des potentialités médicales, touristiques et humaines disponibles et à développer une vision claire pour concrétiser cet objectif. Selon les organisateurs, l'IHTC se veut aussi "une opportunité pour les participants à cette rencontre, venus de plusieurs pays, dont la Tunisie, la Jordanie, l'Inde et la Turquie, en vue d'échanger les expertises et les expériences qui permettent de développer ce genre de tourisme et contribuer au développement socio-économique du pays". Pour ce faire, le représentant du ministère du Tourisme et de l'Artisanat et directeur des activités thermales, Mohamed Karim Chikhi a mis en avant dans son allocution, l'importance d'organiser ce congrès, en vue de vulgariser "les atouts touristiques dont dispose l'Algérie et qui peuvent en faire une destination touristique médicale par excellence". Chikhi a mis en avant '"les efforts consentis par le secteur afin de développer le tourisme médical à travers l'élaboration d’une stratégie nationale permettant une bonne prise en charge des sources thermales et de soutenir l'investissement dans ce domaine, qui suscite, a-t-il dit, un intérêt croissant de nombreux citoyens, tous âges confondus". Chikhi a rappelé que l'Algérie compte "280 sources thermales et 1600 établissements hôteliers d'une capacité d'accueil de 151.000 lits à l'échelle nationale, ainsi que 3 centres de thalassothérapie, outre la programmation de 22 projets pour la réalisation de nouveaux centres le long du littoral national". De son côté, M. Elias Rahal, représentant du ministère de la Santé, a salué la "qualité des services de soins" prodigués en Algérie grâce à la politique de l'Etat visant à promouvoir le secteur de la santé ainsi que les efforts consentis pour son développement. Le président de la Fédération nationale du transport et du tourisme, Nacereddine Harek a, quant à lui, mis l'accent sur la "nécessité de tirer profit des expériences et des expertises des pays participants, pionniers dans ce domaine", afin de faire de l'Algérie une "destination attractive dans le domaine du tourisme médical", au regard des progrès que connait le pays dans différents domaines connexes. Il a également passé en revue les "atouts touristiques et médicaux dont dispose le pays, qui lui permettent, a-t-il dit, de promouvoir cette activité et de contribuer au développement économique et à la création de nouveaux postes d'emploi" , soulignant que ce congrès constitue "une opportunité pour formuler des recommandations et des propositions à même de contribuer au développement de ce secteur".
ALGER- Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, a reçu, lundi à Alger, le ministre de la Communication, des Postes et de l'Economie numérique de la République du Niger, Sidi Mohamed Raliou, avec lequel il a passé en revue les moyens du renforcement des mécanismes de la coopération bilatérale. Dans une déclaration à la presse, M. Bibi Triki a précisé que cette rencontre a été l'occasion de réaffirmer "l'engagement des deux parties à soutenir la coopération entre les deux pays frères et voisins, à travers la concrétisation d'un nombre de projets structurants dans le domaine de la Poste et des communications". Par la même occasion, M. Bibi Triki a exprimé la satisfaction des deux parties quant à "l'avancement du projet de Dorsale transsaharienne à fibre optique, qui reliera le Niger au réseau international des communications à partir de l'Algérie, et ce, par le biais des capacités importantes dont dispose notre pays en termes de la capacité de la bande passante internationale". Ce projet régional important, visant à "renforcer la complémentarité et l'intégration économique et sociale entre les pays africains concernés", a connu "le parachèvement des travaux situés dans les deux pays, et ce, en vue d'installer la Dorsale à fibre optique". La rencontre a également été une occasion pour évoquer "les opportunités de coopération bilatérale dans les domaines d'intérêt commun, tels que les services postaux, la régulation les communications électroniques et la formation". Pour sa part, M. Sidi Mohamed Raliou a souligné la disposition de son pays à renforcer et à intensifier la coopération bilatérale dans le domaine de la Poste et des communications, notamment en termes du projet de Dorsale transsaharienne à fibre optique, mettant en avant l'importance de l'échange des expertises relatives à la formation dans ce domaine.