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Alger: l’hôpital Salim-Zemirli se dote de nouveaux équipements modernes et d’un bloc pédagogique

ALGER - L'hôpital Salim-Zemirli d'El-Harrach (Alger) s'est doté, lundi, de nouveaux équipements modernes (IRM et scanner) et d'un bloc pédagogique, inaugurés par le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi. Dans une déclaration à la presse à l'issue de l'inauguration du bloc pédagogique et des nouveaux équipements, M. Saihi a indiqué que l'Etat "n'a ménagé aucun effort au service des citoyens, conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans le domaine de la santé". Il a précisé que l'ouverture du bloc pédagogique, qui s'inscrit dans le cadre des efforts de l'Etat visant à améliorer la qualité de la formation médicale et académique des étudiants et médecins résidents, "a vocation à renforcer la complémentarité entre les aspects théorique et pratique et à soutenir la recherche scientifique à travers l'accueil de conférences scientifiques et de séminaires spécialisés, à même de contribuer au développement des compétences médicales et de favoriser l'échange d'expertises aux niveaux local et international". Les nouveaux équipements (IRM et scanner) mis en service permettront d'améliorer les prestations de santé et la qualité du diagnostic médical dans cet Etablissement hospitalier spécialisé (EHS), a ajouté le ministre. Il a, à ce propos, rappelé que l'hôpital Salim-Zemirli, inauguré en 1988, était initialement dédié à la prise en charge des urgences, avant de se développer et d'étendre ses spécialités, évoquant des projets futurs en matière de recherche et de formation pour améliorer les services de santé au sein de cet établissement. Dans le même contexte, M. Saihi a fait savoir que le système de santé en Algérie verra bientôt la mise en service de plusieurs nouvelles structures de santé qui permettront d'alléger la pression sur l'hôpital Salim-Zemirli, citant, entre autres, les hôpitaux de Baraki, de Khemis El Khechna et de Boudouaou (d'une capacité de 120 lits chacun) et les hôpitaux de Réghaïa (180 lits) et de Boumerdès (240 lits).
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Aïn Temouchent : signature d’un accord de partenariat entre l’Université « Belhadj Bouchaib » et l’Université des Sciences Appliquées en Pologne

AIN TEMOUCHENT - L'Université Belhadj Bouchaib d'Aïn Temouchent a signé un accord-cadre de partenariat avec l'Université des Sciences Appliquées de Nysa, en République de Pologne, a-t-on, appris, lundi, auprès de l'université d'Aïn Temouchent. Cet accord, signé récemment en Pologne, vise à renforcer la coopération académique et scientifique entre les deux établissements dans plusieurs domaines convenus, a indiqué le recteur de l'université d'Aïn Temouchent, Abdelkader Ziaïdi. L'accord ouvre la voie à une coopération dans le cadre du programme "Erasmus+", notamment des programmes spécifiques pouvant être convenus entre les deux parties, ainsi qu'à une collaboration dans d'autres programmes européens favorisant l'échange d'expériences et le renforcement de la formation et de la recherche, a précisé le même responsable. Ce partenariat permettra également l'organisation de conférences et de consultations scientifiques, la réalisation de recherches conjointes, la participation à des manifestations et colloques scientifiques, l'échange de jeunes enseignants-chercheurs et d'étudiants dans le cadre de formations et de stages pratiques, ainsi que le partage de publications académiques et d'informations scientifiques d'intérêt commun. Les deux parties ont réaffirmé leur engagement total à mettre en œuvre cette coopération, conformément aux lois et réglementations en vigueur dans les deux pays, au service des intérêts communs des deux établissements universitaires et dans le but de rehausser la qualité de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a-t-on souligné.
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L’UFC ouvre de nouvelles spécialités pour attirer les étudiants internationaux dès la prochaine année universitaire

ALGER - Le recteur de l'Université de la formation continue (UFC) Didouche-Mourad, M. Yahia Djaafri, a indiqué, dimanche, que cet édifice scientifique s'apprêtait à recevoir, dès la prochaine année universitaire, des étudiants internationaux avec l'ouverture de nouvelles spécialités dans divers domaines. Dans une allocution prononcée à l'occasion de la célébration du 35e anniversaire de la création de l'Université de la formation continue, M. Djaafri a invité les étudiants internationaux à rejoindre l'UFC, dès l'année prochaine, dans les nouvelles spécialités qui leur sont dédiées dans divers domaines. L'UFC compte aujourd'hui 75.000 étudiants, 150 enseignants permanents, près de 3000 enseignants vacataires et 2.200 employés en charge de la logistique, alors que dans les années 1990, elle ne comptait que quelques étudiants, enseignants et employés, a fait observer le responsable, rappelant que cet édifice scientifique "s'emploie à offrir un service de qualité répondant aux aspirations des citoyens en matière d'acquisition des savoirs et de perfectionnement". Evoquant le rôle de l'UFC sur le plan économique, le recteur a souligné que cette institution dispose d'un incubateur d'entreprises qui accompagne les porteurs de projets et compte des clubs scientifiques actifs dans divers domaines. Saisissant cette occasion, qui coïncide avec la célébration par l'Algérie de la Journée mondiale de l'Afrique, marquant l'anniversaire de la création de l'Organisation de l'unité africaine (OUA), M. Djaafri a salué le rôle de l'Algérie en faveur de l'indépendance de plusieurs pays africains. Pour sa part, le recteur de l'Université d'Alger 1 Benyoucef-Benkhedda, M. Ammar Haiahem, a salué le rôle majeur de l'UFC dans le paysage universitaire. Il s'agit de "la plus grande université du pays en termes de nombre d'étudiants", a-t-il noté. Par ailleurs, l'événement a été marqué par la projection d'une vidéo sur le processus de développement de l'UFC et la présentation de deux communications mettant en avant le rôle pionnier de l'Algérie dans le développement du continent africain.
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ARPCE : campagne de sensibilisation sur l’importance de l’identification des abonnés de la téléphonie mobile

ALGER - L'Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) a annoncé, jeudi dans un communiqué, le lancement d'une campagne de sensibilisation sur l'importance de l'identification des abonnés de la téléphonie mobile, dans le but de renforcer la sécurité des usagers et de prévenir les abus liés à l'utilisation des cartes SIM. A cet effet, l'autorité a rappelé que la carte SIM est destinée à "un usage personnel et exclusif" de la part de son détenteur légal, lequel ne devrait "pas permettre à d'autres personnes d'utiliser sa carte SIM ou son numéro personnel, et ce, pour éviter des conséquences pouvant être graves". L'ARPC a, en outre, précisé que "toute cession de la carte SIM, en dehors des agences commerciales des opérateurs de téléphonie mobile, est strictement interdite". Dans le cas du décès du détenteur légal de la carte SIM, l'ARPCE a souligné que les ayants droit devront se rapprocher d'une agence commerciale de l'opérateur concerné afin de résilier le contrat d'abonnement. La même source ajoute qu'en cas de perte ou de vol de la carte SIM, l'abonné est tenu de "se rapprocher, sans délai, du service client de l'opérateur concerné pour la désactiver et se présenter aussi aux services habilités de la Sûreté nationale ou de la Gendarmerie nationale pour établir une déclaration de perte ou de vol". L'ARPCE a rappelé que cette campagne "vise à assurer la protection des détenteurs légaux de cartes SIM contre toute utilisation susceptible de leur porter préjudice", invitant les usagers de la téléphonie mobile à contribuer à cette campagne de sensibilisation par une large diffusion de ces "informations essentielles".
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La création de pôles de santé spécialisés sur tout le territoire national est une priorité de l’Etat

ORAN – Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a souligné, jeudi à Oran, que l’Etat œuvre à la création de pôles de santé spécialisés à travers l’ensemble du territoire national, dans le but de rapprocher les soins du citoyen et d’améliorer les prestations qui lui sont offerts . Lors de sa visite au nouveau service des urgences médico-chirurgicales de l’établissement hospitalier spécialisé en pédiatrie "Abdelkader Boukhroufa" au quartier El Menzah d’Oran, le ministre a indiqué que ce type de structure permettra une meilleure prise en charge des enfants atteints de maladies cardiaques, dans le cadre de la politique nationale visant à rapprocher les soins des citoyens. Il a souligné que l’Etat œuvre à mettre en place des pôles de santé spécialisés dans toutes les régions du pays pour assurer une prise en charge optimale des patients et leur éviter les déplacements vers d’autres régions. Il a ajouté que les établissements hospitaliers disposent d’une grande expertise et joueront un rôle moteur dans la création de ces pôles. Le ministre a précisé qu’un hôpital spécialisé dans les maladies et la chirurgie cardiaque infantile a été créé à Mâalma (Alger) avec une capacité de 120 lits, et que l’extension du programme est prévue pour inclure d’autres centres à Oran, Constantine et Annaba. Il a souligné que l’Etat, sous la direction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, n’a ménagé aucun effort dans la création de pôles médicaux spécialisés. Il a rappelé qu’auparavant, les cas de brûlures graves étaient pris en charge à l’étranger, mais depuis la création d’hôpitaux spécialisés dans les brûlures graves à Zeralda (Alger), Oran, dans l’Est et le Sud du pays, tous les cas, même les plus complexes, sont désormais pris en charge localement. Pour rappel, le ministre de la Santé a inauguré lors de sa visite à Oran l’établissement hospitalier spécialisé en urgences médico-chirurgicales "Dr Mahmoudi Mohamed" à Oued Tlelat, l’établissement hospitalier spécialisé "Aïssa Benali" (60 lits) dans la commune d’El Kerma, le service des urgences médico-chirurgicales (120 lits) de l’hôpital pédiatrique spécialisé "Dr Abdelkader Boukhroufa" à El Menzah, l’établissement public hospitalier "Dr Mohamed Balaska" (240 lits) à Sidi Chahmi et la clinique médicale privée "El Djazaïr" à Bir El Djir.
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Examens de fin d’année : journée de formation pour une meilleure prise en charge des cas de stress chez les candidats

ALGER - Une journée de formation au profit des spécialistes de la santé scolaire a été organisée mercredi à Alger par le ministère de la Santé pour mieux prendre en charge les cas de stress chez les candidats lors des examens de fin d'année. Destinée aux médecins généralistes, aux psychologues et aux personnels de la santé scolaire, cette journée de formation vise à "améliorer la prise en charge des urgences physiques et psychologiques dans les centres d'examen, notamment lors des épreuves du Baccalauréat et du Brevet d'enseignement moyen (BEM)", a-t-on indiqué. A ce propos, Pr Yacine Ayadi, spécialiste en réanimation médicale au Centre hospitalo-universitaire Mustapha-Pacha (Alger), a expliqué, que "cette formation porte à la fois sur la gestion des urgences physiques, telles que les syncopes, les palpitations ou encore les crises d'asthme ainsi que le soutien psychologique des candidats en situation de stress aigu", faisant observer que "depuis le lancement de ce genre de formation en 2021, le nombre d'évacuation lors des examens de fin d'année a significativement diminué". Il a ajouté que cette formation aborde d'autres aspects, notamment ceux liés à l'hygiène alimentaire, recommandant d'"éviter tout ce qui est susceptible de provoquer des troubles digestifs afin d'améliorer la concentration des candidats lors des épreuves du BAC et du BEM". De son côté, la chargée du programme de santé scolaire au sein du ministère, Mme Sabah Abada, a précisé que l'accent a été mis sur "la conduite à adopter par les professionnels de la santé scolaire afin d'améliorer leur réaction face aux différents cas d'urgences et de stress", soulignant "l'importance de la prise en charge psychologique des candidats, qui se retrouvent face à des situations de blocage et incapables de mobiliser leurs connaissances".
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Le ministère de l’Education entame le traitement du dossier des personnels des services économiques après approbation du gouvernement

ALGER - Le ministre de l'Education nationale, Mohammed Seghir Sadaoui a révélé que son département ministériel a entamé, mardi, après approbation du gouvernement, le traitement du dossier des personnels des services économiques, au titre du statut particulier des corps spécifiques de l'éducation nationale. Dans une déclaration à la presse au terme de la cérémonie de signature d'une convention de coopération pour l'encadrement des élèves durant leurs temps libres, qu'il a coprésidée avec le ministre de la Jeunesse, chargé du Conseil supérieur de la jeunesse, Mustapha Hidaoui, M. Sadaoui a affirmé que le ministère de l'Education "a entamé, mardi, le traitement du dossier des personnels des services économiques, qui faisait l'objet d'examen par le gouvernement, dans le cadre des dossiers des personnels des services économiques dans les autres secteurs". Selon le ministre, "après l'accord sur le cadre général dans lequel seront traités les dossiers des personnels des services économiques des différents secteurs, le ministère procède au traitement de ce dossier au titre du statut particulier des corps spécifiques de l'éducation nationale, et ce après approbation du gouvernement". Cette démarche coïncide, précise le ministre, avec une séance de travail tenue avec les organisations syndicales dont les statuts particuliers portent sur le dossier des services économiques, en vue d'apporter leurs propositions en la matière. Le ministre a, par ailleurs, abordé le dossier du baccalauréat professionnel, au sujet duquel "de grandes avancées" ont été accomplies, en coordination avec le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels, soulignant que "le travail se poursuit pour finaliser ce dossier". Il a ajouté que ce projet permet aux élèves de la quatrième année de l'enseignement moyen ayant franchi le cycle obligatoire, de bénéficier de la formation au niveau des lycées professionnels qui constituent, a-t-il dit, "l'axe essentiel de ce projet".
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Chlef : le ministre de la Poste et des Télécommunications inaugure un centre de services de l’opérateur Mobilis

CHLEF - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a supervisé mardi à Chlef l’inauguration d’un centre de services de l’opérateur national de téléphonie mobile, Mobilis. Lors de cette inauguration, effectuée en marge de sa visite d’inspection dans la wilaya de Chlef, M. Zerrouki a souligné "l’importance" de cette structure "de nature à contribuer à l’amélioration des services assurés aux clients, tout en développant les compétences des jeunes et en soutenant les start-up". Ce centre, englobant un pôle de développement des compétences, "s’inscrit dans le cadre du plan de notre département ministériel pour le développement des compétences à travers le territoire national, en conformité avec la transition numérique, les évolutions technologiques, la cyber sécurité, l’intelligence artificielle et le cloud computing", a-t-il ajouté. Le ministre a expliqué que le centre de services Mobilis de Chlef offre aux étudiants et aux jeunes de la région des formations gratuites en intelligence artificielle et en programmation, tout en facilitant leur intégration avec les porteurs de projets, les chercheurs et les employeurs. Il permet également de concrétiser leurs idées sous forme de start-up spécialisées dans les services et les logiciels au profit de l’entreprise. La structure comprend également, un espace dédié aux start-up, en vue de l’accompagnement du ministère de l’Economie de la connaissance et des Start-up et du soutien des jeunes porteurs de projets. A cela s’ajoutent des espaces d’accueil pour les clients, permettant de découvrir les nouvelles technologies, en plus d’espaces de loisirs, selon les précisions de M. Zerrouki. Le ministre de la Poste et des Télécommunications est arrivé dans la matinée à Chlef pour une visite de travail et d’inspection de son secteur. Il a d’abord assisté, au siège de la wilaya, à un exposé sur le secteur, avant de se rendre dans la région d’El Kechachda dans la commune de Bouzeghaia pour la mise en service d’une station de base en téléphonie mobile de 4e génération (4G), dans le cadre du programme du service universel des télécommunications électroniques. Il s’est ensuite rendu dans la commune de Chlef où il a procédé à la mise en service d’un réseau de fibre optique à la cité El Hassani, puis a inauguré le centre de services Mobilis à la cité Bensouna, avant de visiter le bureau de la recette principale d’Algérie Poste à Chlef.
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Enseignement supérieur : M. Baddari supervise à Boumerdes le lancement officiel de la formation doctorale 2024/2025

BOUMERDES - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a supervisé mardi à partir de l’Université M’hamed-Bougara de Boumerdes, le lancement officiel de la formation en troisième cycle (Doctorat) pour l’année universitaire 2024/2025, en présence d’étudiants et de représentants de différentes facultés et organismes relevant de l’université. Dans son allocation inaugurale, suivie par visioconférence par les responsables et cadres des universités à travers le pays, M. Baddari a indiqué que les étudiants de ce cycle doctoral ont été orientés "vers ce qui sert les objectifs de l’Algérie victorieuse à travers l’innovation et la valorisation des résultats de la recherche scientifique", soulignant que l’Université est devenue "un facteur important, au regard de la compétitivité et des profondes mutations que connaît la société, et un moteur essentiel pour le soutien du développement durables et du progrès". Le ministre a qualifié les doctorants de "représentants de l’Algérie innovante, qui génèrent des valeurs ajoutées pour l’économie nationale, et de véritables acteurs dans cette période marquée par une accélération de la diversification économique". Cette session de formation vise également à "consacrer le bien-être économique, relever les défis de l’Algérie, créer des pôles de savoir, promouvoir l’innovation et générer des emplois", a-t-il ajouté, en outre. Après avoir évoqué le rôle joué par l’Université de Boumerdes depuis l’indépendance à ce jour, notamment sa contribution à la nationalisation des hydrocarbures, M. Baddari a affirmé que "les objectifs de l’Algérie victorieuse seront atteints, grâce à l’université, dans le cadre du programme et de la vision de développement de l’Etat (2024-2029)". Il a souligné, à ce titre, que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a "accordé une importance capitale à l’université algérienne dans le cadre de ses 54 engagements, en faisant d’elle une locomotive du développement, un acteur majeur de l’économie nationale et un pivot essentiel pour propulser l’économie et la société vers le progrès". L’Université algérienne est devenue "un pôle de valorisation des innovations et des valeurs ajoutées dans l'entrepreneuriat, grâce à l’adoption de nouvelles approches telles que l’intelligence artificielle, les incubateurs d’entreprises, et autres", a-t-il, encore, relevé. Durant cette visite, des exposés sur des projets du Laboratoire d’excellence, signaux et systèmes, ont été présentés au ministre, avant son inspection du projet du compteur électrique intelligent, du projet de système de gestion des batteries, d’un prototype de batteries au plomb-acide, et d’une plateforme de réseau intelligent monophasé pour l’intégration des énergies renouvelables. Baddari a également écouté des explications sur un projet de surveillance intelligente, un exposé sur un projet de recherche national prêt à la production et à la commercialisation, ainsi qu’un autre projet de production d’enzymes naturelles destinées à la fabrication de produits de nettoyage écologiques. La visite a aussi englobé l’inspection de l’incubateur de l’université, de startups accélérées, d’une plateforme de gestion médicale, d’une plateforme de nutrition médicale, et d’un atelier de formation sur les modèles et l’intelligence artificielle.
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Produits Pharmaceutiques : environ 2500 décisions enregistrées en 2024

ALGER - L'Agence Nationale des Produits Pharmaceutiques (ANPP) a répertorié environ 2500 décisions d'enregistrement des médicaments et d'approbation de la commercialisation des dispositifs médicaux au cours de l'année écoulée 2024, a indiqué mardi la responsable de management de qualité à l'Agence, Khadidja Bouguerra. S'exprimant sur les ondes de la Radio Algérienne, Mme Bouguerra a précisé que l'ANPP avait répertorié l'année dernière près de 1350 décisions d'enregistrement des médicaments, et plus de 1100 décisions d'approbation de la commercialisation de matériel médical, ce qui représente une "augmentation notable" par rapport à 2023 qui avait vu la délivrance d'environ 1050 décisions et approbations. Ces chiffres reflètent "l'amélioration des performances de l'Agence et la stabilité du système réglementaire, devenu plus efficace et plus clair", d'autant plus que le produit local couvre actuellement 79% des besoins du marché, a-t-elle ajouté mettant en avant les efforts déployés pour faciliter les procédures sans compromettre la qualité et la sécurité des produits, à travers l'étude des dossiers, les analyses en laboratoire, et l'évaluation scientifique et technique des produits pharmaceutiques. Elle a également fait état d'un intérêt croissant de la part des investisseurs, grâce à l'environnement réglementaire qui a prouvé son efficacité au cours des quatre dernières années, considérant que cette nouvelle dynamique est la concrétisation de la vision des hautes autorités du pays visant à encourager l'investissement dans ce secteur et à élargir la production locale. Dans le même sillage, l'Agence, en application des orientations du ministère de l'Industrie Pharmaceutique, oriente les investisseurs vers la production de médicaments connaissant un manque sur le marché, a ajouté Mme Bouguerra, saluant la "maîtrise totale" que connaît désormais l'industrie locale dans les différentes catégories de médicaments. En outre, les opérateurs sont orientés vers l'investissement dans le domaine de la fabrication de médicaments innovants ainsi que ceux liés à la biotechnologie, en phase avec les évolutions mondiales, a conclu la responsable.